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Re: "Infos" insolites

04 Aoû 2024, 18:01

Y a vraiment des grands malades sur terre :lol:

Re: "Infos" insolites

04 Aoû 2024, 21:33

D-Dro a écrit:Fake non?
Du moins j'espère

Christine Boutin great again ! :trump:

Re: "Infos" insolites

08 Aoû 2024, 09:18

Re: "Infos" insolites

15 Aoû 2024, 07:49

C’est devenu chelou Libération

Re: "Infos" insolites

15 Aoû 2024, 10:10

Dragan, ils ne sont pas devenus chelous, ils ont fait pire par le passé.

Spoiler: montrer

Re: "Infos" insolites

20 Aoû 2024, 09:13

Information
SANTÉ; L'araignée violoniste, espèce présente à Marseille, est-elle si dangereuse ?

En Italie, deux personnes sont mortes depuis le début de l'été en raison de complications liées à des morsures d'araignées violonistes. Cette espèce, présente dans les pays méditerranéens et à Marseille notamment, n'est pas considérée comme dangereuse.

Pour l'arachnologue Anne Bounias-Delacour, il n'y a pas d'inquiétude à avoir. Selon la spécialiste, les araignées violonistes sont inoffensives et leurs morsures ne sont ni douloureuses ni mortelles.

Selon l'Ansa, principale agence de presse italienne, Giuseppe Russo, un Italien de 23 ans, est mort samedi après avoir été mordu par une araignée violoniste. Le deuxième incident mortel de cette nature, cet été, dans la péninsule. En juillet, un carabinier sicilien de 52 ans, Franco Aiello, avait lui aussi succombé à une morsure.

Ces araignées violonistes sont de petites tailles (jusqu'à 7,5 mm) et doivent leur nom à une tache en forme de violon sur le corps. "Désormais, on les nomme plutôt Loxosceles rousses en français", assure Anne Bounias-Delacour, contactée par téléphone. C'est pour éviter d'inquiéter les gens. Il y a eu beaucoup d'articles peu délicats (sic) sur le sujet et le terme violoniste commençait à faire peur." "En France, ces araignées sont très communes dans le Gard, l'Hérault et les Bouches-du-Rhône, précise la spécialiste. À Marseille et dans le reste du département, elles vivent dans les vieilles maisons et sous les pierres. Elles fuient la lumière et se réfugient dans des zones très sombres."

"Selon le CHU de Nîmes, il y a une morsure nécessitant une hospitalisation tous les cinq ans en moyenne", expose l'arachnologue, perplexe concernant la mort de deux personnes, coup sur coup, en raison d'une morsure d'araignée violoniste.

Aucune inquiétude à avoir

"Avec sept morts par an dans le monde des suites d'une morsure d'araignée, c'est étonnant d'en relever deux de suite dans le même pays. Je prends cette information avec beaucoup de pincettes, indique Anne Bounias-Delacour. Dans le cas d'une morsure, on ne la sent pas sur le moment, mais on a des douleurs dès le lendemain. Généralement les gens vont voir un médecin et un traitement antibiotique suffit." Dans les cas les plus graves, mais "extrêmement rares", ces morsures peuvent provoquer des "lésions nécrotiques", qui, sans traitement, peuvent "gangrener".

Pour la scientifique, il n'y a vraiment aucune inquiétude à avoir : "Il n'y a jamais eu de mort en raison d'une morsure d'araignée en France métropolitaine."

La Provence

Re: "Infos" insolites

20 Aoû 2024, 18:32

Information
FRENCH CONNECTION; L'insaisissable "Scapu la balance" rattrapé par la mort; Un mois après ses obsèques, le 13 juillet à Marseille, "La Provence" revient sur la trajectoire hors du commun de François Scapula, enfant d'Endoume, voyou notoire et dénonciateur des assassins du juge Michel.



Pour le grand public, le nom de Scapula ne signifie rien. Il était tombé aux oubliettes depuis l'époque où, rattrapés par la justice ou des concurrents, les barons de la French Connection et affidés avaient quitté le devant de la scène médiatique. Plus de vingt ans après sa discrète évasion d'une prison suisse, François Scapula a pourtant fini par réapparaître, sous la forme d'un bref avis de décès émis par une société de pompes funèbres marseillaise. "En mémoire de M. François Scapula décédé le 07/07/2024 à 78 ans", indique sobrement l'annonce, avant d'inciter le lecteur à envoyer "une composition de fleurs naturelles" ou à planter "un arbre hommage" en souvenir de l'ancien truand.

Pour comprendre l'agitation provoquée par ces quelques lignes chez certains journalistes spécialisés et autres voyous retraités, il faut remonter le temps de quelques décennies. Et traverser la frontière pour rejoindre la petite station touristique des Paccots, nichée dans les montagnes suisses.

Ce 11 novembre 1985, la police fribourgeoise fait irruption dans un chalet d'apparence banale et réalise son coup du siècle, ou presque. Dix kilos de drogue quasiment pure sont saisis dans ce laboratoire dissimulé de transformation de morphine-base en héroïne. La matière première provient du Liban, la marchandise est destinée aux États-Unis, l'envergure du trafic est internationale. Trois cents kilos au total ont été produits dans ce laboratoire des alpages. La carrure des trafiquants, elle aussi, interpelle la police helvète qui se retrouve nez à nez avec deux locaux, mais aussi Jean Guy, un caïd niçois, Charles Altieri, un homme de main du milieu marseillais, Philippe Wiesgrill, vendeur de bonbons et chimiste de la French Connection et, et surtout, François Scapula.

"C'était une pourriture"

Dans ce trafic, celui que l'on surnomme alors "Francis le Brun" joue les coordinateurs et fait le lien notamment avec le clan Benevento de New-York, sur lequel la DEA, les stups américains, se casse les dents. En France, François Scapula est déjà sous le coup de trois mandats d'arrêt après avoir filé entre les doigts des enquêteurs à de nombreuses reprises, parfois de façon spectaculaire.

Ce Corse originaire du village de Bastelica, village des hauteurs d'Ajaccio, est l'une des figures du milieu marseillais. "Il avait démarré sa carrière criminelle à 14 ans avec moi et d'autres. On était des voleurs, on prenait tout ce qu'on trouvait. Ensuite on a fait des braquages, par équipe, dans toute la France et on se retrouvait à Marseille pour partager. J'ai jamais été dans son équipe, la seule fois que j'ai travaillé avec lui il m'a volé un bâton, se souvient avec amertume, l'un de ses anciens complices de la bande d'Endoume, attablé à une terrasse du 5e arrondissement de Marseille. C'était une pourriture." Francis le Brun joue de son physique avenant, de son bagout et de son audace pour gravir les échelons du crime. Voleur, braqueur, puis trafiquant de drogue. "C'était un électron libre", tranche un ancien policier qui avait suivi sa trace jusque dans les Alpes helvètes.

"Quand les Suisses découvrent le laboratoire, les flics français sont aussi sur l'affaire, explique Jean-Louis Pietri, ancien commissaire marseillais qui a dirigé l'enquête sur la mort du juge Pierre Michel, parti en croisade contre le trafic de drogue et assassiné le 21 octobre 1981, près de la Cité radieuse. Les enquêteurs français assistent aux interrogatoires des Suisses, et des commissions rogatoires sont émises pour que la DEA transmette les pièces relatives aux autres affaires."

Entendu par les Américains, François Scapula ne tarde pas à "se mettre à table". "C'était un aventurier, très ambitieux, très courageux aussi, ça on peut pas lui enlever. Il n'avait pas peur qu'on l'arrête, se souvient une ancienne figure du milieu marseillais. Mais il savait que quand il était arrêté, il négociait, alors il arrivait en garde à vue avec les pieds sur la table, alors que nous on était menottés et qu'on n'en menait pas large."

"Même les femmes il a balancé !"

Déjà familiarisé avec les séances d'interrogatoire, le Brun dénonce à tout va. Parle de tout, de tout le monde, s'arrange avec la vérité, en invente quelques-unes... Mais son plus grand coup d'éclat tient en quelques mots. "C'est François (Checchi) qui a charclé (tué) le juge (Michel) avec Lolo (Altieri) sur ordre du Blond (François Girard)." Tonitruantes, ses déclarations ne sont pourtant pas un scoop.

Quelques jours plus tôt, Philippe Wiesgrill avait, lui aussi, désigné les assassins du magistrat marseillais, avec un moindre retentissement. "Scapula n'a pas été le premier à balancer, mais c'est le premier à l'avoir assumé, revendiqué. C'est le premier repenti français de fait", estime l'avocat général Pierre Cortes. Or en France, impossible alors de tirer bénéfice de confidences livrées aux enquêteurs. Le Brun le sait, se lâche avec la police américaine qui, il le sait aussi, dispose de suffisamment d'influence pour peser sur son traitement judiciaire en France.

"Il a rendu d'éminents services aux Français et aux Américains, appuie Paul-Louis Aumeras, ancien procureur qui a exercé à Marseille au début des années 1970. Il a permis de faire tomber une famille à New-York et de bâtir le dossier de l'assassinat du juge Michel. Girard était considéré comme un grand trafiquant mais on ne pensait pas qu'il était derrière tout ça." François Scapula ne s'arrête plus de parler, donne des détails, balance les commanditaires, pilote et tueur, minimisant certainement son propre rôle. "Même les femmes il a balancé ! Et lui, il a rien eu alors qu'il a tout organisé, s'énerve un ancien truand marseillais. Le Blond était en prison, il lui donnait les ordres par les femmes. C'est lui qui est allé trouver les tueurs, Checchi et Altieri. Dans cette affaire, ils l'ont écarté alors que c'était le premier concerné."

Une peine purgée en Suisse

En 1987, Le Brun est néanmoins condamné, en Suisse, à une peine de vingt années de réclusion criminelle dans le dossier du laboratoire des Paccots. Et quatre ans plus tard, dix-huit années de réclusion sont prononcées à son encontre, à Paris, dans le cadre d'une affaire de trafic de haschisch. Mais les geôles françaises ne sont pas sûres pour "Scapu la balance" et c'est en Suisse qu'il purge sa peine, sous le nom d'emprunt de "Casanova".

Cette fausse identité n'est pas le seul atout du Brun, qui bénéficie également de la bienveillance helvète, laquelle refuse de l'extraire pour le procès des assassins du juge Michel. Et en 2000, quand il s'évade du pénitencier semi-ouvert de Lenzburg peu de temps avant de bénéficier d'une libération conditionnelle, la justice suisse ne juge pas nécessaire de rendre l'affaire publique.

Vingt-quatre ans de cavale

Depuis, François Scapula avait disparu des radars, jusqu'à ce laconique avis de décès. Certains le voyaient couler des jours heureux en Suisse, d'autres le pensaient mort. Mais la rumeur la plus persistante lui prêtait une nouvelle vie outre-Atlantique, sous un statut de témoin protégé. "Lors d'une confrontation entre Scapula et Le Belge, à la fin des années 1980, j'ai pu constater tout ce qui se disait sur le personnage : la chirurgie esthétique dont il avait bénéficié, le protocole américain qu'il avait intégré, la rémunération qui en faisait partie, se souvient Me Frédéric Monneret, avocat de Francis Vanverberghe, dit Le Belge, ancien parrain du milieu marseillais tué en septembre 2000. Cette confrontation portait sur des accusations affabulatrices de Scapula et Le Belge lui avait dit, devant le juge d'instruction, 'même dans le ventre de ta mère je te retrouverai'".

Relaxé dans ce dossier, Le Belge n'a pas retrouvé "Scapu la balance", mais l'a-t-il seulement cherché ? "J'en veux au Belge de ne pas l'avoir fait tuer, confie un retraité du milieu. Le Blond aurait pu et je crois qu'il est un peu honteux de pas l'avoir fait. Il a toujours du mal à admettre que Le Brun l'a balancé, ils étaient à l'école ensemble." Après vingt-quatre ans de cavale et de vie dissimulée, mais aussi des allers-retours dans les rues d'Endoume, c'est à Marseille que François Scapula est finalement venu mourir.

Dans ce quartier qui a vu grandir Le Blond, Le Brun, mais aussi Altiéri, Checchi ou encore le Mat, rares sont ceux qui peuvent encore témoigner de l'époque où ce quartier envahi de Airbnb était celui des voyous. "On les connaissait tous, ils étaient polis, gentils, ils se retrouvaient au bar en haut de la rue Samatan. On savait ce qu'ils faisaient mais ils ne s'occupaient pas de nos affaires ni nous des leurs", se souvient Eva, 80 ans. "Jamais j'aurais pensé qu'il vire comme ça, acquiesce Maggie qui a connu enfant celui qu'elle appelle simplement "Francis". C'était un casse-cou, avec de beaux yeux verts... puis il a quitté le quartier et on l'a plus revu."

La suite, elle l'a apprise dans les journaux, de l'assassinat du juge Michel aux condamnations de ses anciens voisins, jusqu'à la mort, le mois dernier, de celui qui les a balancés. "Ils sont tous morts maintenant", souffle Eva, assise sur son banc des hauteurs d'Endoume, tournant résolument le dos au soleil qui se couche sur la mer. Le 13 juillet, François Scapula a été incinéré, à Marseille, dans la plus grande discrétion. Le bar de la bande des gamins voleurs d'Endoume, lui, abrite désormais une épicerie bobo.

La Provence

Re: "Infos" insolites

20 Aoû 2024, 22:18

Je ne me souvenais plus de cette histoire.
Merci pour l’article .

Re: "Infos" insolites

22 Aoû 2024, 07:57

Information
À JAMAIS LES PREMIERS; Quand la girafe Zarafa galopait dans les rues du centre-ville; Cadeau du pacha égyptien Méhémet Ali au roi Charles X, Zarafa fut la toute première girafe à débarquer en France en 1826. Avant de traverser le pays et d'intégrer la ménagerie royale, elle vécut six mois à Marseille.



Une espèce si gigantesque, si remarquable par la singularité, la bizarrerie de ses formes, de ses allures, de sa physionomie" : c'est en ces termes que Le Moniteur universel du 30 juin 1827 présente la girafe que la France découvrit pour la toute première fois en 1826. Cadeau du pacha d'Égypte, Méhémet Ali, à Charles X, elle était destinée à enrichir la ménagerie royale, à Paris. Elle n'avait que deux mois quand, en 1824, elle fut capturée avec une autre de ses congénères au Soudan, tandis que sa mère, à ses côtés, fut abattue, et sa viande et sa peau vendues. Chouchoutée, domestiquée et nourrie avec du lait de chamelle, elle entama un périple de plus de 3 000 kilomètres, en traversant une partie de l'Afrique d'abord sur le dos d'un dromadaire, puis dans une felouque pour descendre le Nil jusqu'au Caire, au cours d'un voyage qui dura un an.

De là, elle allait embarquer dans le I Due Fratelli, un navire spécialement aménagé, avec un pont découpé pour donner toute sa place à son cou, direction Marseille. Tandis que sa comparse, plus fragile et destinée au roi d'Angleterre, mourut faute d'avoir pu s'acclimater à son nouveau territoire, celle que devait recevoir Charles X arriva à Marseille le 23 octobre 1826, après vingt-cinq jours en mer.

À l'issue de deux semaines de quarantaine, elle sortit du lazaret le 18 novembre, en excellente santé, prête à séjourner quelques mois avant de poursuivre son voyage jusqu'à Paris.

Fascinés par sa robe léopard et son allure de grand chameau, les Romains, qui, par l'intermédiaire de César, avaient déjà croisé l'animal dans les jeux du cirque, l'avaient appelé "camelo-pardalis". Mais reprenant l'appellation arabe, zuphara, les Français la baptisèrent "giraffe", puis "girafe".

À Marseille, sa sortie du lazaret suscita une immense curiosité. Le comte de Villeneuve Bargemon, préfet des Bouches-du- Rhône, avait fait édifier une immense baraque dans les jardins de la préfecture pour lui offrir un toit, aux côtés des trois vaches laitières et des deux antilopes qui l'accompagnaient. Dirigée par Hassan, un ancien chasseur bédouin et Atir, son assistant soudanais, la girafe regagna son enclos en pleine nuit, une mesure prise par le préfet pour lui éviter d'être terrorisée par une foule excitée de découvrir cet étrange animal exotique.

Au fil des jours, les Marseillais apprirent à se familiariser avec la girafe. Calme, elle se laissait approcher mais éloignait en lançant des coups de pied quiconque essayait de la toucher.

Ces mois passés dans la cité phocéenne permirent aux membres de l'Académie des sciences de Marseille d'examiner l'animal sous tous les angles. Dans les hautes sphères de la société, de rares privilégiés se pressaient aux "soirées à la girafe" qu'organisait le comte Villeneuve de Bargemon, au cours desquelles ils pouvaient approcher la bête dans son étable, à la lueur des flambeaux.

Après un rude hiver qui vit une des deux antilopes tuer l'autre, le printemps fut celui des balades pour celle qui rentrera dans l'Histoire sous le nom de Zarafa. À chaque sortie, les badauds pouvaient découvrir la girafe entourée de ses vaches laitières, de quatre à six gardiens, mais aussi de deux gendarmes à cheval dépêchés par le préfet pour garantir la sécurité des déplacements. Quelques-unes de ces promenades dans les rues de Marseille donnèrent l'occasion à la girafe de se lancer au galop, faisant fi de ses accompagnateurs, mais heureusement, les attelages étaient prévenus du parcours avant chaque sortie. Zarafa resta à Marseille jusqu'au printemps, avant que le cortège n'entame un nouveau périple de deux mois et 880 kilomètres à travers la France. Son arrivée le 30 juin 1827 au Jardin des plantes à Paris allait soulever une véritable girafomania : coiffures, vêtements, chansons, qu'on la trouve sublime ou hideuse, la girafe était partout. Plus de 600 000 personnes se pressèrent aux grilles de l'orangerie du Muséum d'Histoire naturelle pour aller l'admirer jusqu'à ce que le roi soit déchu par la Révolution de 1830. La girafe fut alors confiée à Atir, son gardien qui avait pris soin d'elle depuis Le Caire. Zarafa mourut dans l'indifférence le 12 janvier 1845, atteinte de tuberculose bovine, due au lait de vache bu toute sa vie. Depuis 1930, sa carcasse empaillée est visible au muséum d'Histoire naturelle de La Rochelle.

Sources : "Histoires vraies en Provence- Alpes-Côte d'Azur" de Sylvie Reboul (Le Papillon Rouge éd.) et BNF.

La Provence

Re: "Infos" insolites

30 Oct 2024, 17:34

C'est ce qui s'appelle avoir eu une mort merdique.
L'empreinte fossile de ce bestiau du Miocène (de 23 à 55 millions d'années) embousée vivante par beaucoup plus gros que lui.
La pierre blanche, est un coprolyte. C'est à dire, un fossile de crotte.
Qu'elle vie de m...



Et pour ceux qui voudraient lire l'étude qui en a été fait :
https://palaeo-electronica.org/content/ ... prolite%20

Re: "Infos" insolites

30 Oct 2024, 17:39

Tweet scientifique avec une faute de grammaire de niveau collège. Pas glop. :?

Re: "Infos" insolites

30 Oct 2024, 17:48

Sûrement écrit trop rapidement. Ce n'est pas son genre des "fôtes" comme ça.
Julien Benoit, c'est son nom, est Docteur en paléontologie et enseignant chercheur dans une université en Afrique du sud.
Si vous vous interessez à la paléontologie, il a une chaine YouTube que je recommande fortement.
Ça s'appelle Entracte Science.
https://www.youtube.com/results?search_ ... te+science

Re: "Infos" insolites

17 Nov 2024, 13:12

De Libération.

Spoiler: montrer
Selon des échanges de mails rapportés mercredi 13 novembre par le tabloïd Expressen, les collaborateurs de Paulina Brandberg, la ministre suédoise de l’Egalité entre les femmes et les hommes, doivent en permanence s’assurer qu’elle ne soit jamais confrontée au fruit. L’affaire a viré au débat national.

La demande est inhabituelle. Le titre de presse suédois Expressen a révélé mercredi 13 novembre que l’entourage professionnel de la ministre suédoise de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Paulina Brandberg, s’assurait qu’avant chacun de ses déplacements «aucune trace de banane» ne se trouve sur les lieux. Des révélations qui sont depuis devenues «un sujet de discussion national», selon The Guardian.

Pour éviter tout incident, des mesures drastiques sont exigées des personnes qui reçoivent Paulina Brandberg. Le président du Parlement suédois, Andreas Norlén, a ainsi assuré à l’équipe de la ministre qu’il n’y aurait pas de banane dans ses locaux, demandant s’il était «suffisant si on les rangeait le matin du jour» de sa venue. L’agence gouvernementale des tribunaux, qui recevait la responsable du cabinet femme homme à déjeuner, a même fait appel à la sécurité, qui a déclaré «sécuriser la zone».

La demande est inhabituelle. Le titre de presse suédois Expressen a révélé mercredi 13 novembre que l’entourage professionnel de la ministre suédoise de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Paulina Brandberg, s’assurait qu’avant chacun de ses déplacements «aucune trace de banane» ne se trouve sur les lieux. Des révélations qui sont depuis devenues «un sujet de discussion national», selon The Guardian.

Pour éviter tout incident, des mesures drastiques sont exigées des personnes qui reçoivent Paulina Brandberg. Le président du Parlement suédois, Andreas Norlén, a ainsi assuré à l’équipe de la ministre qu’il n’y aurait pas de banane dans ses locaux, demandant s’il était «suffisant si on les rangeait le matin du jour» de sa venue. L’agence gouvernementale des tribunaux, qui recevait la responsable du cabinet femme homme à déjeuner, a même fait appel à la sécurité, qui a déclaré «sécuriser la zone».

Si cette peur panique surprend, la ministre suédoise n’est pas la première à s’exprimer sur le sujet. La chanteuse française Louane avait révélé en 2015 être touchée par la bananophobie. Dans un article paru chez nos confrères de Femmes actuelles, le psychologue clinicien Michel Naudet expliquait que «dans certains cas, la simple vue de bananes, voire leur proximité potentielle ou le fait de les évoquer, peut déclencher des angoisses ou du dégoût».

L'histoire ne dit pas si cette phobie vient du fait que la banane est un fruit manifestement phallique.

Re: "Infos" insolites

17 Nov 2024, 16:07

fourcroy, l'histoire ne dit pas non plus qui souffre de la maladie de Parkinson :

L'auteur de l'article ou celui qui le relaye ici ?

:lol:

Re: "Infos" insolites

19 Nov 2024, 12:19

Ce service est offert depuis longtemps à l'OM :mld:



Mais plus intéressant, souhaitons la bienvenue à la petite Eva :mld:

Re: "Infos" insolites

20 Nov 2024, 14:12

Sur le sujet de Son-Forget, la page de discussion de Wikipedia est un florilège de verbiage un peu surréaliste.

Re: "Infos" insolites

Hier, 07:44

Notre monde devient tellement le Groland du riche…

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