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Re: "Infos" insolites

23 Juin 2024, 16:38

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Une mère de famille grièvement blessée après avoir été attaquée par les loups au zoo de Thoiry

INFO LE PARISIEN. Une cliente du parc zoologique, qui passait le week-end à Thoiry avec sa mère et son bébé, s’est retrouvée ce dimanche matin dans la zone safari interdite aux piétons. Sévèrement mordue, elle a été transportée à l’hôpital en urgence absolue.



Attaquée par trois loups alors qu’elle faisait son footing. C’est le drame qu’a vécu ce dimanche matin vers 9 heures une femme âgée de 36 ans au parc zoologique de Thoiry, dans les Yvelines. Cette cliente s’est retrouvée dans la zone safari où seuls les automobilistes ont le droit de circuler. Les piétons y sont évidemment interdits.

Selon nos informations, confirmées par la procureure de Versailles Maryvonne Caillibotte, la victime, qui a subi des morsures particulièrement graves occasionnant des blessures au cou, au mollet et au dos, a dû être transportée à l’hôpital dans un état d’urgence absolue. Ce dimanche après-midi, les jours de cette mère de famille qui vit à Paris ne sont plus en danger, nous a annoncé le parquet. Il avait fallu l’intervention de soigneurs, alertés par les cris de la trentenaire, pour la libérer des canidés.

Un point presse a été donné dans l’après-midi par Christelle Bercheny, la présidente du Wow Safary Thoiry. D’après elle, la victime serait passée par l’entrée de la « réserve américaine » où vivent les loups gris Mackenzie mais aussi des coyotes, des ours et même un bison. Un accès avec au sol une plate-forme électrifiée empêchant les animaux de la franchir. Mais pas les humains. Toujours selon la responsable des safaris, les clients disposent de « toutes les informations » sur la dangerosité de cette zone. « Ils ont un plan, des animateurs qui les informent, et un rappel est fait en permanence », a-t-elle souligné. Parallèlement aux investigations que le parquet de Versailles a confiées à la gendarmerie, une enquête interne a été ouverte.

« La direction sera bien sûr entendue dans le cadre de cette enquête, nous précise la procureure. On mettra en balance ces déclarations avec celles de la victime quand elle sera en mesure d’être entendue. À ce moment-là, on pourra déterminer s’il s’agit d’une responsabilité personnelle ou si elle est partagée. Pour l’heure, il faut faire preuve de prudence et ne pas se montrer catégorique. » Le parquet a ouvert une enquête pour blessures involontaires et l’a confiée à la brigade de recherches de gendarmerie de Mantes-la-Jolie.

La meute emmenée par une femelle et un mâle dominant

Accompagnée de sa mère et de son bébé, la trentenaire occupait un lodge, c’est-à-dire un des hébergements proposés au sein du parc. Une formule qui permet aux clients de passer une nuit au plus près des animaux.

Les trois loups gris demeurent dans la zone safari. Ce secteur, un temps fermé pour permettre aux secours d’intervenir et pour les besoins de l’enquête, a rouvert en milieu de matinée.

La meute de loups du zoo de Thoiry est emmenée par une femelle et un mâle dominant. Elle compte quatre nouveaux venus depuis les naissances recensées en 2022 : deux mâles et deux femelles. Le parc zoologique de Thoiry propose depuis deux ans des nuits dans les « tanières », au plus proche des loups et des ours. Depuis l’automne dernier, des lodges sont également disponibles avec vue sur la plaine des éléphants.


https://www.leparisien.fr/faits-divers/ ... VQPNQI.php

Re: "Infos" insolites

23 Juin 2024, 18:50

C est dramatique ppur elle , mais faut vraiment être soit inconsciente soit débile complet pour franchir ces barrières...

Re: "Infos" insolites

24 Juin 2024, 07:42

Re: "Infos" insolites

24 Juin 2024, 07:59

Du coup, doit-on autant se fier au corps enseignant? :lol:
Blague à part, je n'aime pas me faire un avis absolu à partir d'une info tronquée (il est évoqué la préférence pour un autre choix, peut-être bien plus légitime et tout autant digne), mais le simple fait d'exprimer la dernière phrase est catastrophique. Et l'amorcer par un "en plus, ils ne savent même pas qui c'est"... beh c'est con qu'il n'y ait pas un endroit où leur enseigner ça, genre un collège.

Re: "Infos" insolites

24 Juin 2024, 12:41

En effet ! #-o

Re: "Infos" insolites

02 Juil 2024, 21:56

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«Ça va devenir irrespirable» : en couple depuis quatre ans, il a voté pour le RN, elle pour le Nouveau Front populaire

Après l’annonce du score historique du RN aux législatives, Léa et Pierre, deux trentenaires, racontent comment ils s’accommodent de la fracture intime générée par leurs très forts désaccords politiques.

[image]https://www.liberation.fr/resizer/j1J8B1jVlxX5yYnwzipfsT4K_-U=/1024x0/filters:format(jpg):quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/BUQ7NAGPN5FTZM2TZK3AQKMK3I.jpg[/image]

Dimanche, quand ils se sont déplacés au bureau de vote pour le premier tour des législatives, c’était chacun pour soi. Pierre (1), 34 ans, espérait pouvoir s’y rendre «main dans la main» avec Léa (1), son amoureuse depuis quatre ans. Elle, elle a refusé et «passé la journée sans lui adresser la parole». Pour cette graphiste de 32 ans, ce fut le Nouveau Front populaire, lui, zemmouriste convaincu, a mis un bulletin Rassemblement national dans l’urne car le parti de Jordan Bardella «a plus de chance de gagner». En temps normal, chez eux, la politique n’est pas abordée – «on se clashe trop, sinon», dit Léa – mais les élections obligent le couple à mettre leurs divergences sur la table.

Interviewés séparément, quelques jours avant le premier tour, c’est Léa qui accepte de parler la première. Assise sur un banc du XIVe arrondissement de Paris, elle nous attend en prenant le soleil. «Tout doux !», réprimande-t-elle son cocker lorsqu’il bondit de ses genoux pour dire bonjour. Cheveux châtains, elle n’ôte pas ses lunettes de soleil, mais on devine des yeux bleus surlignés par un trait d’eye-liner. A peine installée au café, Léa ne cache pas son inquiétude : «J’ai vraiment peur que la haine et la violence soient libérées par l’arrivée du RN au pouvoir.» La question de voter à gauche «ne se pose même pas, chez la trentenaire. Pour Pierre, c’est l’inverse, son rempart contre l’anxiété, c’est l’extrême droite».

Son compagnon, qui a grandi dans une famille «de gauche qui lisait Télérama», a fait un virage politique à 180°. Son père «militait même au Parti communiste pendant un temps», dit-il. Une chemise bariolée et les cheveux poivre et sel, Pierre est suivi à la trace par leur chien, quand on le rencontre à son tour à leur domicile. «Ça, c’est Ginger», dit-il timidement en montrant le chat roux, perché sur la bibliothèque. Sur la table, un verre de Coca. «Enfant, j’étais intéressé par la science. Je ne savais pas lire que j’avais déjà feuilleté toutes les encyclopédies de la bibliothèque, je regardais les images des planètes, tout ce qui parlait d’astronomie.» Au lycée, il est «antinucléaire», a sur son ordinateur «un patch Greenpeace». Mais en 2006, lorsque Dominique de Villepin met en chantier le contrat première embauche (CPE), avec l’allongement de la période d’essai de deux ans au lieu de huit mois pour un jeune salarié, il commence à moins se reconnaître dans les mobilisations étudiantes. «J’étais en pilote automatique, je récitais des arguments, ça me dérangeait», dit-il. Il étudie ensuite l’économie, c’est là qu’il forge ses opinions «libérales». Il vote Hollande en 2012, puis Macron en 2017, son intérêt pour le parti Reconquête vient après. «Un choix par dépit», avoue-t-il.

«Selon lui, le mal du pays c’est l’insécurité», résume Léa. Le reste du programme d’Eric Zemmour ou de Jordan Bardella intéresse peu Pierre. Ce sont les mots «immigration» et «délinquance» qui reviennent comme des mantras. «Reconquête, c’était le parti qui en parlait le plus», affirme-t-il. A l’origine de cette préoccupation, les attentats du Bataclan et de Charlie Hebdo – «des moments qui [l]’ont traumatisé». Pierre subit aussi, il y a trois ans, une agression qui le «conforte» dans ses opinions. Il reste discret sur l’événement : «Fracture d’une vertèbre et 100 jours d’ITT [incapacité totale de travail, ndlr]».

Le point de bascule. Léa : «C’était une embrouille banale, mais c’est allé très loin pour une histoire d’accrochage sur la route. Le type est descendu de sa camionnette pour poursuivre Pierre, il voulait le tuer. S’il n’avait pas été pris en stop, il serait mort. Quand il m’a raconté ça, je me suis dit “Merde ça va confirmer tous ses biais, et lui donner un argument concret”.» «Le PS ou LFI, on ne les entend pas sur ce genre de sujet», avance Pierre. Pour Léa, aucun doute, c’est par détresse psychologique que son compagnon s’est tourné vers l’extrême droite : «Il fait un déni total, mais pour moi c’est lié. Cela ne peut pas être autre chose.»

«Seuil de tolérance»

Lorsqu’ils se rencontrent il y a quatre ans, Léa n’imagine pas que Pierre en arriverait à un tel extrême. Elle raconte, hilare, avoir cru en le «matchant» sur une application de rencontres qu’il était «de gauche, avec sa petite barbe et son air fêtard». Pierre se souvient : «J’étais à fond ! J’avais tellement peur de tout foutre en l’air avant qu’on se rencontre.» Léa évoque leur premier rendez-vous : «Ce que j’ai trouvé très mignon, dit-elle en rougissant, c’est que c’était le seul mec qui voulait juste se promener un dimanche après-midi avec moi. Je n’étais pas un bout de viande.» A l’époque, elle ne fréquente «que des instits», mais garde un souvenir «horrible» de sa dernière relation avec l’un d’entre eux. «Tu as beau voter à gauche, si tu es un connard dans la vraie vie… ça ne sert à rien. C’est du vent. D’ailleurs, je ne voulais plus voir de mecs, j’étais dégoûtée des hommes.» Elle explore alors sa bisexualité. «J’ai été en couple avec une fille et, en trois mois de relation, on s’est fait agresser cinq fois», raconte-t-elle, encore remuée. Avec Pierre, elle regagne confiance, et elle se «reconstruit».

A Paris, le 28 juin.

Leurs rencards ne sont pas exempts de désaccords. Lorsqu’elle lui dévoile, lors du troisième rendez-vous, s’être engagée auprès du collectif Nous Toutes pour participer à des collages féministes, Pierre lui rétorque qu’il «qu’il ne faut pas sombrer dans une logique complotiste où le patriarcat serait à la source de tous les maux». La première dispute éclate : «J’ai pété un plomb. Putain fait chier quoi, j’étais bien lancée avec lui et il me sort ses théories en carton. Je me suis mise en colère, c’était chaotique. Et en même temps, je n’avais pas du tout envie de le dégager de ma vie.» Ce paradoxe-là, elle l’explique simplement : «Quand tu viens d’un milieu où, quand ça ne va pas, on te met des claques ou on te jette dans l’escalier, ces désaccords, ils paraissent plus soft. C’est horrible de dire ça, mais j’ai un seuil de tolérance assez haut.»

Elle évoque une enfance «violente» à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine), dans une famille «plutôt à gauche», un père qui «lisait Libé» et une mère «écolo». Quand elle claque la porte du domicile familial, elle affine ses convictions : «J’ai mis quatre ans à trouver mon premier CDD en tant que graphiste alors que j’ai fait six ans d’études. J’ai fait des boulots où j’étais traitée comme de la merde ! J’ai atterri plein de fois à l’hôpital pour des problèmes d’angoisse et de dépression. Ça m’a ouvert les yeux sur les failles de notre système de santé.» Elle est alors consciente que Pierre a des idées opposées aux siennes, mais n’arrive pas à stopper la relation : «On a un peu le même grain de folie. C’est un ovni comme moi, toujours à contre-courant. Parfois, il dit des trucs qu’il ne faut pas, ça fait mal, mais je sais qu’il ne me mentira jamais, qu’il est sincère.» Ils emménagent ensemble «au bout de six mois», et pour décrire leur quotidien et sa stabilité, elle trace, à l’aide de son index, une ligne droite et horizontale dans le vide. A l’approche des élections, elle l’avoue, cette ligne devient chancelante.

«Idées à la con»

«J’ai envie qu’il se réveille, qu’il se sente con», admet Léa. Au lendemain des résultats, elle est sonnée : «Tous les fachos vont sortir de leur tanière, et moi j’ai aucune envie de me battre au quotidien, ça va devenir irrespirable. Je pense sérieusement à quitter la France.» Elle ponctue régulièrement son discours de «fait chier», «merde», «idées à la con». Sa psychologue est pourtant catégorique : «Il faut mettre tous vos désaccords dans une boîte, et ne pas en parler», lui a-t-elle dit. Pas facile quand, dans un petit appartement, les activités de l’un n’ont plus de secret pour l’autre. Lorsqu’elle tombe sur le compte Twitter de son compagnon, «c’était à gerber», souffle-t-elle. «Il a une dent contre l’islam, ça c’est sûr.» De son côté, Pierre insiste, il n’est pas raciste : «Même si Léa n’hésite pas à me traiter de facho. Je ne suis pas contre l’immigration, je suis pour une immigration raisonnée, mieux contrôlée. Le PS ou LFI, on ne les entend pas beaucoup sur ce genre de sujet.». Malgré les nombreuses invectives lancées par Léa, il n’a pas renoncé à voter RN ce dimanche et se dit «content des résultats sans sauter de joie car le NFP a tout de même fait un bon score». Quand elle rentre à la maison après le dépouillement, Léa raconte : «On a réussi à rire du fait que Cahuzac n’était pas réélu, mais au lit, il était pendu à son téléphone. Il voulait voir les résultats circonscription par circonscription. Quand j’ai vu la carte toute brune, j’ai eu envie de pleurer.» Pierre l’avoue : «J’ai peur que ça nous éloigne, si cela devient un sujet tabou entre nous.» Dans leur circonscription, c’est le Nouveau Front Populaire qui arrive en tête et qui affrontera Ensemble pour le deuxième tour. Pierre ne sait pas encore «s’il partira à la pêche» mais c’est surtout le résultat national qui mobilise le couple.

Si la période est tendue, Léa et Pierre disent s’entendre sur l’essentiel. «On est d’accord sur le principal pour fonctionner en tant que couple, comme une sorte de feuille de route pour l’avenir. On veut des enfants, on a envie d’être en couple et pas en couple libre. On veut notre chat, notre chien, c’est la même vision du confort. Pour les vacances, elle va faire des visites culturelles, moi du kitesurf surf. On est tolérants avec nos différences», affirme Pierre. En partant, il nous rassure : «Ne vous inquiétez pas, même si je vote pour l’extrême droite, je ne déteste pas les journalistes.» Dans leur appartement, le mur du salon est couvert de cadres. Sur une des affiches, on peut lire : «La devise de cette maison : amour inconditionnel et humour de mauvais goût.» Des prérequis dans la situation actuelle.


https://www.liberation.fr/lifestyle/int ... 1719927309

Re: "Infos" insolites

03 Juil 2024, 08:36

Re: "Infos" insolites

03 Juil 2024, 10:35

C'est une blague ? :lol:

Re: "Infos" insolites

03 Juil 2024, 10:46

J'aurais répondu et bah là vous n'êtes pas dynamique à nous parler plantés comme ça, donc bougez et on verra ensuite

Re: "Infos" insolites

05 Juil 2024, 16:33

IceCold a écrit:C'est une blague ? :lol:

Malheureusement non. Je crois que c’est un arrêté préfectoral cette connerie

Re: "Infos" insolites

05 Juil 2024, 20:19

J'ai cherché depuis ; cette vidéo date de la fin du premier confinement, c'était effectivement un arrêté préfectoral, déposé par des autorités locales laissées à elles-mêmes face au bordel.
Aussi con que ce soit, ça devient compréhensible compte tenu du contexte.

Re: "Infos" insolites

21 Juil 2024, 17:25

Le député LFI antisémite Thomas Portes dans ses oeuvres

Re: "Infos" insolites

21 Juil 2024, 17:35

Quel abruti

Re: "Infos" insolites

21 Juil 2024, 17:36

Qu'il prenne au pénal pour ça. Que LE PEUPLE DE GAUCHE lui crache à la figure. C'est scandaleux comme initiative.

Re: "Infos" insolites

24 Juil 2024, 14:01

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Marseille : un retraité se trompe de valise à la gare Saint-Charles et embarque chez lui 11 kg de drogue



Il se trompe de valise, rentre chez lui et découvre que le bagage récupéré par erreur est rempli de drogue. L’octogénaire marseillais a aussitôt prévenu la police qui a récupéré le bagage et les 11 kg d’herbe de cannabis qu’il contenait.

Très mauvaise surprise pour un paisible retraité qui rentrait de vacances la semaine dernière, après un trajet en Flixbus. Après avoir récupéré sa valise dans la soute de l’autocar, lors de l’escale à la gare Saint-Charles (1er) et une fois rentré chez lui, l’octogénaire s’est aperçu que le bagage n’était pas le sien, même s’il y ressemblait à s’y méprendre. Un désagrément confirmé conjointement de source policière à La Provence et BFM, qui s’est vite commué en stupéfaction lorsque cet homme de 87 ans a ouvert la valise et découvert qu’elle contenait plusieurs paquets de drogue.

L’octogénaire a aussitôt prévenu la police qui est venue récupérer le bagage dans lequel avait été stockés et conditionnés pas moins de 11 kg d’herbe de cannabis, pour une valeur de 250 000 euros. Le retraité a été entendu par les forces de l’ordre et une enquête a été ouverte.


https://www.laprovence.com/article/fait ... ium=Social

Re: "Infos" insolites

25 Juil 2024, 16:38

Le gramme de weed a 22 euros. :ptdr:

Re: "Infos" insolites

02 Aoû 2024, 21:53

Comment est ce qu’il peut encore être président des États Unis en exercice. Le mec ne sait plus ce qu’il fait

Re: "Infos" insolites

02 Aoû 2024, 21:58

Vu la démarche peu assurée, je pense qu'il est allé changer sa couche

Re: "Infos" insolites

04 Aoû 2024, 17:44

ET ALORS ?!

Re: "Infos" insolites

04 Aoû 2024, 17:51

Fake non?
Du moins j'espère
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