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peezee a écrit:U talkin' to me?
Dsl mais le frenchie m'a fait craquer là! C'est pas toi j'espère? ^^
Je capte pas un truc, sur NHK c'est en boucle sur la situation 24h/24, keskil nous montre des tv shows ALC, il reçoit pas NHK au Japon?
i live in japan
plenty of channels have news on the reactors. plenty of reporting coming out of NHK (government sponsored news organization). tv stations that specialize in comedy arent going to shut down and start reporting the news. and this is not chernobyl.
you are a stupid european consumed by sensationalism. i wouldn't normally bring in nationality, but all my european friends are being told to evacuate when we live in osaka (waayyy south and safe). french were the first to go
Chercheur CNRS, je viens de recevoir ce mail :
Compte tenu de la situation au Japon et des risques encourus par nos personnels, le Président du CNRS a décidé de prendre les mesures suivantes :
- pour les projets de missions au Japon : les projets de mission sont annulés ; interdiction de départ.
- pour les missionnaires actuellement sur place : il leur est demandé de rentrer en France le plus vite possible.
- pour les permanents au Japon : nous leur recommandons de rentrer en France. Le CNRS prendra en charge les frais de rapatriement.
Fennec a écrit:InformationLe commissaire européen à l'énergie, Günther Oettinger, qualifie l'accident nucléaire au Japon d'"apocalypse", estimant que les autorités locales avaient pratiquement perdu le contrôle de la situation dans la centrale de Fukushima. "On parle d'apocalypse et je crois que le mot est particulièrement bien choisi", a-t-il déclaré devant une commission du Parlement européen à Bruxelles. "Pratiquement, tout est hors de contrôle", a-t-il ajouté. "Je n'exclus pas le pire dans les heures et les jours à venir".
La bioaccumulation s'effectue par le biais de l'alimentation d'organismes, et via tout le réseau trophique. Naturellement, plus la chaîne trophique est longue, plus l’accumulation est importante et plus les effets délétères risquent d'être marqués. Les prédateurs, situés en parties terminales des chaînes alimentaires sont donc particulièrement vulnérables à ce type de pollution, et leur présence est le signe d’une qualité satisfaisante du milieu où ils ont effectué l'essentiel de leur croissance. Il n'est pas rare de constater un facteur de bioaccumulation de l'ordre de 100 000. Les moules et huîtres peuvent concentrer de 700 000 fois à 1 million de fois des substances quasi-indétectables dans la mer, oligoéléments dans le cas de l'iode ou toxiques dans le cas du plomb, mercure ou cadmium par exemple.
Rien qu'en solaire (désert) et énergie renouvelables, on compenserait sans trop de souci les 14% perdus. Et tout ça, sans se foutre en l'air tout seuls comme des grands.
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