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el loco a écrit:c'est ça l'OM je me rappellerais toujours la place Bellecour noire de monde pour fêter la victoire marseillaise en coupe d'Europe, tout le monde s'embrassait, ça klaxonnait
Travis Bickle a écrit: Les painkillers de Nadal me fascinent
el loco a écrit:c'est ça l'OM je me rappellerais toujours la place Bellecour noire de monde pour fêter la victoire marseillaise en coupe d'Europe, tout le monde s'embrassait, ça klaxonnait
el loco a écrit:c'est ça l'OM je me rappellerais toujours la place Bellecour noire de monde pour fêter la victoire marseillaise en coupe d'Europe, tout le monde s'embrassait, ça klaxonnait
La télévision australienne passe en boucle les images du « drama ». Quel drame ? La blessure de Rafael Nadal, battu (6-4, 6-2, 6-3 en 2h32') par David Ferrer en quart de finale. Le jour de la fête nationale, les spectateurs de la Rod Laver Arena attendent le numéro 1 mondial et le feu d'artifice, prévu à 21h15'. Mais la fête tourne court. A 2-1, l'Espagnol appelle le docteur et sort du terrain. Il revient avec un bandage à la cuisse gauche. La mine défaite, il reprend le match.
Ses grimaces en disent long et ses échanges avec son oncle laissent craindre l'abandon. Mais il continue. Au bord du court, Todd Woodbridge, ancien joueur et consultant pour Seven Sport, explique qu'il « y a plus de personnel médical dans les allées que dans Grey's Anatomy ». A chaque changement de côté, c'est "Docteur House" sur le central avec la venue du médecin. L'an dernier au même stade de la compétition, Rafael Nadal a dû renoncer contre Andy Murray. Alors ? Wait and see...
Malgré des appuis fuyants, le champion se bat, lâche ses coups et revient de 5-2 à 5-4, service à suivre. Sur une 15e faute directe en coup droit, il cède le premier set. Quand il breake d'entrée dans la deuxième manche, ses fans espèrent. En vain. Il ne peut rien faire et David Ferrer fait son job. Comme prévu à 21h15', le feu d'artifice vient égailler cette soirée bien triste, les joueurs s'arrêtent pendant dix minutes à 6-4, 3-2.
Rafael Nadal parlemente encore avec le docteur, s'étire et jette un regard vers le spectacle. Et il continue. Pourquoi ? Un mélange d'espoir pieux et de frustration du champion. Il n'y arrive pas, il est désarmé, mais il essaie. Le langage du corps, le bien nommé, ne trompe pas : aucun vamos, aucun poing brandi, des gestes de dépit et des regards sans vie. Sans physique et face à un combattant de la dimension de David Ferrer, Rafael Nadal ne peut que compter les points... jusqu'à (6-4, 6-2, 6-3). David Ferrer célèbre sa deuxième demi-finale du Grand Chelem et salue son ami d'un air interrogatif. Le rêve de son copain de remporter quatre tournois du Grand Chelem s'envole. Et sa saison ?
birof a écrit:On le dit depuis qu'il a commencé (sur ce topic également d'ailleurs): Nadal a un jeu qui s'appuie trop sur son physique, il n'aura jamais la longévité de Federer! C'est d'ailleurs pour cela qu'il continue de dire que Federer est le meilleur. Relisez ses interviews, ce n'est pas de la fausse modestie, mais il dit que 23 demi-finales de suite en Grand Chelem, c'est juste hallucinant! Et c'est bien celui la de record le plus incroyable de Federer... celui la que Nadal ne battra (et n'approchera) jamais.
A quand remonte la dernière saison pleine de Nadal (i.e. sans blessures ou gènes diverses)
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