Pareil, et surtout l'utilisation des mots, la mère (au QI de poulpe) qui voulait "banaliser" les actes de sa fille. Les gens sont vraiment trop con pour que la démocratie marche.
Un "printemps français", en écho aux printemps arabes, qui devait forcer le gouvernement à abandonner la loi sur le mariage entre personnes de même sexe, telle était l'ambition d'une petite minorité agissante au sein de la "Manif pour tous", qui a abouti aux tentatives de déborder le parcours prévu de la manifestation de dimanche 24 mars, occasionnant quelques heurts.
1/ Le rêve d'un "printemps français"
Tout commence voici quelques semaines, dans les suites de la première grande manifestation parisienne du 13 janvier. Certains opposants au "Mariage pour tous" font circuler cette image, comparant leur manifestation à celles qui ont eu lieu dans le monde arabe en 2011 : Au même moment, commence à apparaître parmi certaines franges des anti-mariage le nom "printemps français", qui correspond aux souhaits d'une petite fraction des manifestants de janvier. Notamment sur ce blog d'un militant chrétien de la "Manif pour tous", Cyril Brun, historien catholique et animateur d'un groupe baptisé "résistance éthique", qui appelait pendant la présidentielle à "faire barrage aux propositions socialistes", puis à "entrer en résistance", notamment dans la perspective des luttes à venir.
Le texte de M. Brun est repris par Le Salon beige, blog de référence de cette frange catholique "ultra". Son principal animateur, Michel Janva, emploie d'ailleurs l'expression dans un tweet fortement repris dès le 13 janvier. Et l'idée se répand, dans la blogosphère d'extrême droite notamment.
Après leur premier rassemblement, les anti-mariage homosexuel ont le sentiment de ne pas être entendus par les médias et par le pouvoir, et une partie d'entre eux est donc partisane d'un "changement de ton", et d'actions plus radicales. Ces partisans ne se situent pas uniquement à l'extrême droite, mais sont aussi présents dans la sphère catholique la plus traditionaliste. Le 6 février, Le Salon beige publie un texte de l'avocat royaliste Me Trémolet de Villers, paru dans le mensuel catholique Présent :
Si on se faisait, en France, en 2013, un printemps français ? Comme d'autres se sont fait un printemps arabe ! C'est ça qui serait vraiment déroutant, neuf... la vraie surprise, l'incroyable ?
Toutes les conditions sont réunies : il y a les troupes, qui sont à la fois jeunes et expérimentées. Il y a le nombre, nous l'avons vu et nous le reverrons. Il y a l'intelligence, et, dans cette intelligence celle qui domine les autres facultés : le coup d'œil et le sens du terrain. Cette guerre est médiatique. Les grands médias nous sont, en majorité, hostiles. Mais les grands médias, plus encore que les autres, sont à la remorque de l'événement. Qui sait créer, intelligemment, l'événement, en surprenant et en se rendant sympathique, occupe, bon gré, mal gré, les médias.
Tout au long du mois de février, cette frange radicale échange autour de l'idée d'un "printemps français". Et l'idée est évoquée dans les rassemblements organisés par la "Manif pour tous", comme le relate ce compte rendu d'un meeting marseillais, le 4 février, ou encore ce tweet du compte officiel du mouvement, le 23 février. L'élu d'extrême droite Jacques Bompard parle également d'un "printemps français", le 10 février, sur le site catholique "Nouvelles de France".
2/ L'idée d'occuper les Champs-Elysées
Pendant que certains de leurs partisans rêvent à ce mouvement de révolte, les organisateurs de la "Manif pour tous" réfléchissent au déroulement de leur prochaine grande action. Alors que le projet de loi est voté à l'Assemblée, le 12 février, ils veulent frapper un grand coup. Et songent naturellement aux Champs-Elysées.
Le lieu est des plus symboliques, non seulement de la France, mais aussi de l'histoire : c'est sur cette avenue qu'eut lieu, en 1968, la grande contre-manifestation de soutien au général de Gaulle, qui a "clos" les événements de mai. Déjà, le 10 février, les anti-mariage organisent un "happening" sur les Champs-Elysées. Entre 200 et 400 personnes, dont Frigide Barjot, porte-parole du mouvement, bloquent quelques minutes l'avenue.
A partir du 22 février, la "Manif pour tous" communique sur la prochaine manifestation, qu'elle annonce déjà comme prévue sur les Champs-Elysées. Mais l'annonce est quelque peu prématurée : au même moment, les organisateurs se heurtent en effet au refus de la préfecture de police de Paris, qui ne veut pas de manifestation sur l'avenue.
Comme l'a relaté le préfet de police au Conseil de Paris le 25 mars, "c'est le 20 février dernier que les représentants de l'association 'La manif pour tous' ont fait connaître leur intention d'appeler à se rassembler le 24 mars sur l'avenue des Champs-Elysées et la place de la Concorde". Or, "dès le 22 février, soit 48 heures après, j'ai personnellement écrit aux organisateurs pour les informer de l'impossibilité, pour des raisons impérieuses d'ordre public, de se rassembler sur ce secteur".
La préfecture évoque la proximité de l'Elysée, le plan Vigipirate renforcé et la fréquentation touristique de l'avenue, et rappelle qu'il n'y a quasiment pas de précédents de manifestations sur les Champs-Elysées. Mais les organisateurs font la sourde oreille, et ne répondent pas au préfet. Une réunion le 8 mars débouche sur un nouveau désaccord, la "Manif pour tous" ne voulant pas envisager d'autre solution. Le 12 mars, le préfet rend public le désaccord persistant, dans un communiqué envoyé aux médias, et finit par prononcer une interdiction formelle.
3/ "Préparez vos tentes"
La bataille est devenue symbolique. Et se poursuit en justice, puisque la "Manif pour tous" saisit le tribunal administratif. Il faut dire que dans le même temps, certains éléments de la "Manif pour tous" semblent avoir prévu autre chose qu'une simple manifestation. Le 25 février, le nom de domaine "printempsfrancais.fr" est enregistré par un anonyme. Le même jour, un autre nom de domaine, "printempsfrancais.com", est déposé par Béatrice Bourges.
Cette ancienne candidate divers droite de Versailles, fondatrice du "Collectif pour la famille", déjà engagé dans des combats anti-mariage gay depuis 2007, est l'une des porte-parole de la "Manif pour tous". Mais pas seulement : c'est aussi une proche de Christine Boutin et du Parti chrétien démocrate. Ils sont ainsi partis ensemble, fin 2012, rencontrer des conservateurs américains anti-mariage gay, selon Nouvelles de France.
Sur "printempsfrancais.fr", on a une autre idée de la mobilisation du 24 mars : il ne s'agit pas seulement de défiler sur les Champs-Elysées, mais de les occuper physiquement. Le site demande de prévoir des tentes et du matériel de camping, ainsi qu'un "masque blanc" supposé incarner "le déni de démocratie qui nous est infligé", et prévient, dès le 15 mars sur sa page Facebook : "Le 24 mars, on ne vient pas seulement pour manifester, on vient pour occuper." Cette vidéo produite par le mouvement montre des jeunes s'entraînant à installer leurs tentes :
L'organisation de la "Manif pour tous" est, durant un temps, ambiguë quant à cette initiative. Frigide Barjot indique ainsi, le 9 mars : "Au lieu de défiler longuement et de perdre des gens dans le défilé, nous allons nous arrêter et nous stocker, nous allons rester, dans le pacifisme, dans la convivialité." Une fois installés sur les Champs-Elysées, poursuit-elle, "on ne partira pas tant qu'il ne se passera pas quelque chose", "nous resterons jusqu'à être entendus". Et Eric Martin, principal animateur du site "Nouvelles de France", qui relaie la nouvelle, d'ajouter à son article : "Le 24, n'oubliez pas vos c... à la maison (théorie du genre oblige, tout le monde en a !) et, sans mauvais jeu de mots, préparez vos tentes !!!"
Pourtant, quelques jours plus tard, la "Manif pour tous" se désolidarise de cette idée. Le 18 mars, elle envoie un communiqué à ses membres, indiquant que "cette initiative ne relève pas de notre collectif. Le collectif 'La manif pour tous' n'invite pas à rester sur les Champs-Elysées. La dispersion aura lieu vers 18 heures". Béatrice Bourges, qui figurait parmi les porte-parole du mouvement, se voit retirer ce titre, et La Croix évoque des tiraillements entre organisateurs. Le 20 mars, le tribunal administratif déboute la "Manif pour tous", qui ne pourra pas défiler sur les Champs-Elysées. L'organisation accepte de se replier sur l'autre versant, avenue de la Grande-Armée.
4/ Désobéissance civile
Mais tout le monde n'entend pas en rester là. L'appel du printemps français est maintenu. Le 23 mars, veille de la manifestation, le site le renouvelle. Il est relayé par nombre d'organisations et de sites catholiques, par exemple chretiente.info., mais aussi de blogs proches de l'extrême droite, comme l'Action française. On peut aussi citer le Parti chrétien-démocrate de Christine Boutin, qui publie un appel sur son site, où cette dernière précise : "Afin d'amplifier ce mouvement de protestation du grand printemps français, je vous invite à venir avec une tente si vous en possédez une. Nous vous ferons parvenir des informations complémentaires dans les heures à venir."
Plus explicite encore, le texte publié par Samuel Lafont, membre actif de l'UNI, syndicat étudiant proche de l'UMP : "C'est l'heure du grand rapport de forces. 'Pique-nique entre amis', 'camping pour tous', de nombreuses initiatives ont été lancées. Elles ont toutes le même but : ne pas partir tant que nous n'obtenons pas gain de cause", écrit-il dans un appel titré "Tous aux Champs" et diffusé sur plusieurs sites proches de la droite.
A la veille du rassemblement, la "Manif pour tous" ne peut donc ignorer qu'il y a dans ses rangs nombre d'appels à ne pas respecter le parcours prévu et à tenter de forcer les barrages policiers pour occuper les Champs-Elysées. Et ces appels ne concernent pas que des militants politiques. Le Monde.fr a obtenu d'une source fiable copie d'un mail, envoyé sur la mailing-list d'une paroisse de la région parisienne. L'appel est explicite : "Le Gouvernement, la préfecture et le juge interdisent les Champs-Elysées. L'avenue de la Grande-Armée est retenue. C'est insuffisant car elle ne peut contenir que trois cent mille personnes. On peut en tirer avantage pour déborder. Les consignes données d'arriver le 24 mars par trois axes sont caduques. Passez le mot le mot aux manifestants : ARRIVEZ DE TOUS LES CÔTÉS, PAR OÙ VOUS SEMBLE BON, PAR OÙ VOUS POURREZ, y compris par les Champs-Elysées, pour vous rendre au lieu de manifestation. Un pique-nique y est d'ailleurs organisé à midi, excellent prétexte (...)
Les forces de l'ordre seront prises en étau. Elles n'auront pas les effectifs nécessaires pour faire double front, ce sera inutile. Elles seront forcément débordées. Il suffira que par téléphones portables, on informe les manifestants des "points de passage", forcément nombreux, dans le dispositif ébranlé. Face aux C.R.S. : appliquer les préceptes de non-violence de Gandhi au moment de l'indépendance de l'Inde. Face aux Anglais ultra-minoritaires, il savait que le nombre constituait une force invincible contre laquelle les Britanniques ne pouvaient rien : la violence ne pouvait qu'être contre-productive".
"Printemps français" C'est franchement insultant par rapport aux Tunisiens, aux Egyptiens, aux Libyens et aux Syriens, et au même niveau de connerie que les gauchistes qui hurlaient à la dictature sarkozyste
PARIS (Reuters) - Le déficit public de la France s'est élevé à 4,8% du produit intérieur brut en 2012 (-98,2 milliards d'euros) contre 4,5% prévu par le gouvernement, selon les premiers résultats des comptes nationaux publiés vendredi par l'Insee.
Ce dérapage est lié à une révision du déficit 2011 (5,3% au lieu de 5,2%), à la recapitalisation de Dexia, au budget rectificatif européen et à une croissance économique plus faible que prévu, ont expliqué le ministre des Finances, Pierre Moscovici, et le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve.
"Ces dépassements exceptionnels et conjoncturels ont été en partie compensés par une stricte maîtrise de la dépense, permettant un ajustement du solde structurel de 1,2 point de PIB en 2012, en ligne avec les prévisions", ajoutent-ils dans leur communiqué.
Hors Dexia et budget européen, le déficit s'est établi à 4,7% l'an dernier, poursuivent-ils.
Le déficit public agrège les comptes de l'Etat, des collectivités locales et des administrations de sécurité sociale. Les comptes publics français sont déficitaires depuis 1974.
La dette publique s'élevait quant à elle à 90,2% du PIB fin 2012, soit 1.833,8 milliards d'euros, contre 85,8% fin 2011.
Le gouvernement avait annoncé que le déficit pourrait atteindre 4,6% au lieu de 4,5% si l'institut européen de statistiques décidait d'y intégrer le dernier plan d'aide à la banque Dexia, ce qu'il a fait.
Les autorités françaises ont reconnu qu'elles ne parviendraient pas à réduire le déficit à 3% fin 2013, en raison d'une croissance économique atone, et elles plaident auprès de la Commission européenne pour obtenir un délai d'un an pour y parvenir.
Le commissaire aux Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, a ouvert la porte à un tel délai, à condition que le déficit soit ramené nettement sous les 3% fin 2014.
DÉFICIT "AUTOUR DE" 3,7% FIN 2013
La Commission européenne prévoit que le déficit de la France atteindra 3,7% fin 2013 puis 3,9% fin 2014 si aucune nouvelle mesure n'est prise. La dette atteindrait selon elle 93,4% fin 2013 et 95,0% fin 2014, toujours à législation inchangée.
Pour le déficit fin 2013, "la Commission dit 3,7%, ce sera autour de ça", a dit Pierre Moscovici vendredi sur RTL.
La trajectoire des finances publiques pour 2013-2017 sera dévoilée dans le cadre du programme de stabilité qui sera transmis par le gouvernement au Parlement mi-avril et à la Commission européenne fin avril.
L'an dernier, le taux de prélèvements obligatoires a augmenté de 1,2 point à 44,9% du PIB, sous l'effet de la hausse des impôts (+5,3%).
Les dépenses ont progressé de 2,9%, après +2,1% en 2011 et les recettes ont augmenté de 3,9%, après +5,7% en 2011.
La réduction du déficit public par rapport à 2011 est essentiellement liée à l'Etat (-7,7 milliards d'euros), tandis que le déficit des administrations de sécurité sociale baisse de 0,8 milliard et celui des administrations locales progresse à 3,1 milliards contre 1,5 milliard en 2011.
La dette a progressé de 116,9 milliards d'euros l'an dernier après +121,9 milliards en 2011.
La contribution de l'Etat à la dette a augmenté de 104,6 milliards, une variation plus importante que le déficit. Selon l'Insee, cette différence résulte des prêts accordés via le Fonds européen de stabilité financière (+27,1 milliards) et de l'apport de capital au Mécanisme européen de stabilité (6,5 milliards).
La dette des organismes divers d'administration centrale s'établit à 9,9 milliards fin 2012, en légère baisse (-0,4 milliard) par rapport à fin 2011.
La contribution des administrations locales à la dette atteint 173,7 milliards fin 2012 contre 166,6 milliards fin 2011, une hausse de 7,1 milliards.
La contribution des administrations de sécurité sociale à la dette publique a augmenté de 5,7 milliards d'euros pour s'établir à 210,3 milliards fin 2012.
Il s'agit précisément du déficit hérité de notre ex grand président, mais qui était soigneusement caché sous le tapis ... Depuis on réduit, et je crois qu'on le sent assez passer (oui là aussi).
Ben si. Le déficit a baissé depuis 2010. Et regarde la coeff directeur de la courbe de la dette, c'est pas si mal. Mais bon, on va voir avec Hollande-Facom comment vont être les courbes
Sur les medias en Israel, relayé par des medias communautaires seulement en France
Information
En lice au Festival international du Film d’AUBAGNE Le réalisateur du film israélien Yaniv Horowitz « Rock the casbah » a été lynché en France au sortir d’une projection. Battu jusqu’à perdre connaissance au Festival international du Film, Horowitz a été frappé , juste avant de remporter le prix du meilleur film .
France : le cinéaste israélien Yaniv Horowitz tabassé par de jeunes d’arabes
Le réalisateur israélien Yaniv Horowitz du film « Rock the casbah » a été lynché en France au sortir d’une projection. Yaniv Horowitz, en lice au Festival international du Film d’Aubagne (Bouches-du-Rhône) pour « Rock the casbah », dans la catégorie fiction longs métrages, a été agressé et battu par de jeunes arabes aujourd’hui, juste après la projection de son film.
Les médias français ont refusé de diffuser l’information.
c'est quoi exactement la raison, l'excuse des médias français pour refuser de diffuser cette information ? C'est la mm que quand il y a un pbm avec des mecs de type maghrébin qui foutent la mairde dans la circulation en pleine ville (à Marseille dans ce cas), et que quand on leur fait la remarque les flics répondent "on a des ordres de laisser faire pour préserver la paix sociale" (sic)...? (c'est du vécu j'invente rien, juste pour prévenir les remarques ALC)
Autant je condamne évidemment l'acte antisémite , autant je suis perplexe sur l'emploi du terme "jeunes arabes" ... C'est pas très journalistique tout çà ...
Qui a écrit l'article ?
Fin de la parenthèse bien sur , info à vérifier , et fait divers à condamner si c'est avéré.
Je comprend pas que les faits soit clairement rapporté vu que sur le papier de la Provence, il y a un encart, cela sert à qui de faire monter cette haine entre les communautés alors que pendant ce temps on en prend plein le fion avec la crise. Une idée toute con pour faire rentré de l'argent dans les caisses, en Allemagne les camions étrangers payent une taxe pour utiliser les routes pour financer l'entretien, en France que dalle et c'est nous qui payons les routes défoncé par les poids lourds.
France : le cinéaste israélien Yaniv Horowitz tabassé par de jeunes d’arabes
Le réalisateur israélien Yaniv Horowitz du film « Rock the casbah » a été lynché en France au sortir d’une projection. Yaniv Horowitz, en lice au Festival international du Film d’Aubagne (Bouches-du-Rhône) pour « Rock the casbah », dans la catégorie fiction longs métrages, a été agressé et battu par de jeunes arabes aujourd’hui, juste après la projection de son film.
Les médias français ont refusé de diffuser l’information.
c'est quoi exactement la raison, l'excuse des médias français pour refuser de diffuser cette information ? C'est la mm que quand il y a un pbm avec des mecs de type maghrébin qui foutent la mairde dans la circulation en pleine ville (à Marseille dans ce cas), et que quand on leur fait la remarque les flics répondent "on a des ordres de laisser faire pour préserver la paix sociale" (sic)...? (c'est du vécu j'invente rien, juste pour prévenir les remarques ALC)
Un peu curieuse ta comparaison entre les flics et les journalistes. Les deux professions n'ont quand même pas les mêmes quotidiens ni les mêmes objectifs.
S'ils n'ont pas relayé l'info, c'est que les medias français se sont rangés à la version de La Provence. Reste à savoir s'ils ont fait eux aussi le boulot pour vérifier les faits. Ce serait intéressant aussi que le réalisateur s'exprime.
Jeune arabes?Genre de ceux qui ont immigré en France récemment ou genre ceux qui sont nés en France,ont fait leurs études en France et qui sont français? Qui que ce soit c'est regrettable...
Vu le style français approximatif du texte, je suppose que c'est soit la traduction d'un texte paru sur un média israélien soit un texte écrit par un israélien parlant français, et là-bas on prend moins de gants/précautions qu'ici pour parler des "Arabes" ou des "Juifs", c'est plus direct.
Apparemment le cinéaste n'a été que faiblement blessé, il est mm retourné dans la salle où se déroulait le Festival du film et a continué sa journée à peu près normalement, donc ouais parler de "lynchage" semble exagéré. Ce qui n'excuse en rien ce nouveau geste visant encore et toujours les mêmes.
Gastibelza, depuis quand les médias "se rangent à la version de la Provence" pour juger ne pas avoir besoin de publier une news...?