[ -> 2013] Actu France et Monde

[Bibpanda]

pretender, il faut surtout vraiment lutter contre les gros qui tiennent ce trafic et non faire tomber les petits.
Et aussi il faut donné des solutions à ces personnes en prison pour la réhabilitation qui est nulle dans ce pays.

[superolive]

Bibpanda, oui .

Mais il faut aussi lutter contre la base , c'est à dire les consommateurs . Lutter contre le mec qui vient acheter sa barrette au pied des tours ... Ca part de là non ?

[Bibpanda]

Non car un traffic en remplacera un autre, quand cela ne sera pas le shit, ce sera autre chose, la politique de répression du consommateur ne donne aucun résultat.
Ils changeront leurs fusil d'épaules, les gros qui sont des les beaux quartiers on ne va pas les cherché et ce sont eux qui ont les connivences avec les politiques et qui sont eux protégés.

[killerdemars]

Je ne crois absolument pas aux mecs patrons des trafics de drogue, protégés et connaissant des politiques. Mais alors vraiment pas du tout.

Les mecs étaient de simples dealers et ont fructifié leur business pour devenir des barrons, à mon sens.

[pretender]

Je ne crois absolument pas aux mecs patrons des trafics de drogue, protégés et connaissant des politiques. Mais alors vraiment pas du tout.

Les mecs étaient de simples dealers et ont fructifié leur business pour devenir des barrons, à mon sens.

Tout dépend si c'est de simples caïds ou ex type Berrhama où là effectivement je doute des collusions, ou des vrais mecs du milieu à l'ancienne.
Je parle ici dans le cas Bouches du Rhône ou Côte d'Azur.
En Corse, en Italie voire même en RP c'est bien différent.

Bib, quand je parle de faire tomber les petits, c'est aussi important pour moi. Car c'est aussi une façon de leur faire comprendre que l'avenir peut se tracer autrement. Ce qu'ils comprennent bien tard s'ils le comprennent. Ou alors une fois qu'ils sont en zonzon, ce qui est un peu dommage.

[pretender]

Bibpanda, oui .

Mais il faut aussi lutter contre la base , c'est à dire les consommateurs . Lutter contre le mec qui vient acheter sa barrette au pied des tours ... Ca part de là non ?

Pour ce qui est des consommateurs, c'est bien. Mais si c'est pour choper un mec qui vient prendre une barrette, malheureusement c'est plus qu'une aiguille dans une botte de foin. Alors qu'on peut très bien savoir où sont les ressources mais qu'on veut pas forcément taper fort, pour une multitude de raisons (parce que mobilisation coûte chère, parce que y'a d'autres besoins ailleurs, parce que ça nécessite du temps et que y'a d'autres priorités, parce qu'il peut y avoir des liens entre des mecs qui tiennent leur business et des gens bien placés dans les services étatiques, etc. etc.).

[Bibpanda]

Faire tomber les petits ne servent à rien si i ln'y a pas de politiques sociales et économiques de plus la prison comme elle est faite aujourd'hui ne sert qu'a renforcer la criminalité et non à permettre aux gens de se réhabilité et d'avoir d'autres possibilités à sa sortie que de retomber dans le crime.

[pretender]

Faire tomber les petits ne servent à rien si i ln'y a pas de politiques sociales et économiques de plus la prison comme elle est faite aujourd'hui ne sert qu'a renforcer la criminalité et non à permettre aux gens de se réhabilité et d'avoir d'autres possibilités à sa sortie que de retomber dans le crime.

Je suis bien d'accord sur la prison car je suis pas adepte de la sanction pour la sanction. C'est une politique pluridimensionnelle qu'il faut mener là-dessus on est bien ok, mais faut bien commencer par quelque chose.

Je crois qu'un mieux est possible si l'on veut vraiment s'en donner les moyens, de gauche comme de droite, encore faut-il s'en donner les moyens et avoir une réelle volonté.

[EL MAGNIFICO]

Si non il parait qu'en RD CONGO c pas la joie en ce moment ?

[Bibpanda]

Tu peux faire une sacrée liste de tout les pays où c'est pas la joie....

[EL MAGNIFICO]

bah y a moins de rebelle dans beaucoup de pays qu'au Congo ou au mali quand même

[jerrib]

Information

L'armée de l'air syrienne a attaqué aujourd'hui un village peuplé par des rebelles du président Assad Bashar près de la capitale Damas, tuant une dizaine d'enfants. Les militants de l'opposition ont déclaré que les enfants jouaient à l'extérieur pendant une pause dans la zone de combats lorsque les avions ont bombardé.

Le Basharton continue

[jerrib]

Mosri qui s'occtroie tous les pouvoirs en Egypte

Information

Mains fébriles, Abdel Meguid Mahmoud arrive à peine à tenir son papier tant la pression des événements semble l'anéantir. L'homme vient d'être limogé par le président égyptien de son poste de procureur général de la République. «Je saurai légalement contester la décision du président qui me relève de mes fonctions», menace-t-il, l'index levé devant la centaine de magistrats réunis d'urgence au Caire, après le «coup de force» de Mohammed Morsi. Selon le décret pris jeudi dernier, les décisions du président islamiste sont désormais irrévocables, à l'abri de tout recours judiciaire. Un durcissement qui inquiète l'opposition et a provoqué ces derniers jours des violences au Caire et sur le canal de Suez. Samedi, Ahmed el-Zend, à la tête du club des magistrats, a dénoncé «une attaque féroce contre la justice». Les avocats et les juges présents dans la salle, survoltés, ont scandé, le poing levé: «Nous voulons la chute du régime.»


Des manifestants lancent des pierres lors d'affrontements sur la place Simon-Bolivar, au Caire. Crédits photo : GIANLUIGI GUERCIA/AFP
Jets de pierres
Le Conseil supérieur de la magistrature a qualifié l'attitude du président islamiste d'«attaque sans précédent contre l'indépendance judiciaire». Plusieurs centaines de manifestants réunis devant le siège de cette institution ont fustigé une «dérive dictatoriale». «Morsi, retire ta barbe, on verra Moubarak», ont-ils scandé en écho aux slogans de février 2011. L'attroupement a ensuite dégénéré lorsque des partisans du président ont rappliqué, engageant des échanges de jets de pierres et de cocktails Molotov. Les ballets d'ambulances ont emporté les blessés vers des hôpitaux de campagne. À l'intérieur du bâtiment, le Club des magistrats, au terme d'une longue réunion, appelait toutes les instances judiciaires du pays à une grève générale. Dimanche, les tribunaux se sont réunis pour organiser la mise en œuvre de cet appel et garantir un service minimum, en cas de grève effective, pour les affaires les plus urgentes. Sans attendre, le chef du Club des magistrats d'Alexandrie, Mohammed Ezzat el-Agwa, a annoncé «la suspension des travaux dans tous les tribunaux et l'administration des poursuites dans les gouvernorats d'Alexandrie et de Beheira» jusqu'à ce que Morsi retire son décret.

Quant à l'opposition, elle s'est constituée officiellement en «Front du salut national». Ce nouveau mouvement comprend une dizaine de partis, dont celui dirigé par le Prix Nobel de la paix Mohamed ElBaradei, ainsi que le Parti des congrès mené par l'ex-secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa. Dans un communiqué, cette coalition a rejeté tout dialogue avec le président Morsi avant l'abrogation du décret constitutionnel qui lui accorde de très larges pouvoirs.

Dimanche soir, le président égyptien a semblé vouloir calmer le jeu, soulignant que les pouvoirs qu'il s'était attribués étaient «temporaires». Il s'est engagé à rencontrer ce lundi les membres du Haut Conseil de la magistrature. À Damanhour, au sud d'Alexandrie, des heurts ont éclaté entre militants islamistes et opposants au président, qui tentaient depuis trois jours de prendre d'assaut le siège du parti des Frères musulmans. Un jeune islamiste a été tué.

[jerrib]

Interview de Medvedev dans le Figaro (il annonce au passage qu'il envisage peut être de se presenter, peut être que Poutine reprendra le pouvoir apres lui...)

Information

LE FIGARO. - Vous effectuez votre première visite en France en tant que premier ministre. Vos relations étaient bonnes avec Nicolas Sarkozy. Qu'en sera-t-il avec François Hollande?

Dmitri MEDVEDEV. - Nos relations avec la France sont tellement stratégiques et mutuellement bénéfiques qu'elles ne doivent pas dépendre de l'identité de nos dirigeants respectifs. Je suis certain que nous réussirons également à construire de bonnes relations avec les nouvelles autorités françaises, pour des raisons tant idéologiques que pragmatiques.

Le gouvernement français se plaint de l'insuffisance des échanges économiques bilatéraux. Pensez-vous que la France est suffisamment ouverte aux investisseurs russes?

Nous recensons beaucoup de grands projets, mais la dynamique des investissements russes n'est pas si forte que nous le souhaiterions. Il me semble qu'il subsiste, en France, une certaine méfiance et des difficultés administratives à l'égard des investisseurs russes, dont il faut demander la raison à nos collègues français. Naturellement, les pays étrangers recherchent l'origine des capitaux russes, pour savoir s'ils sont transparents… Mais la Russie n'en est plus au premier stade du capitalisme. Il est temps de comprendre que la grande majorité des businessmen russes respectent la loi et ont gagné leur argent honnêtement.

Que pensez-vous des mesures anticrise adoptées par la France? La polémique se concentre sur les hausses d'impôts…

Je suis au courant de ces discussions, qui sont du ressort des autorités françaises. En Russie, que l'on soit riche ou pauvre, le taux d'imposition est de 13 %. On nous dit que les oligarques devraient payer plus, mais nous ne voulons pas que les capitaux partent à l'étranger, dans des circuits opaques. Certes, le système fiscal ne doit pas être figé, mais il me semble qu'en période de crise il est préférable de ne pas le bouleverser. Telle est mon opinion personnelle.

La France est le premier des grands pays à avoir reconnu comme légitime la nouvelle opposition syrienne et évoque la possibilité de livraisons d'armes. Qu'en pensez-vous?

Cela est très contestable. La France est un grand pays souverain, mais je voudrais néanmoins rappeler des principes du droit international approuvés par l'ONU en 1970. Ces derniers stipulent qu'aucun gouvernement ne doit entreprendre d'actions visant à changer, par la force, un régime politique d'un autre pays. Le problème n'est pas de savoir s'il convient de soutenir le régime d'el-Assad ou l'opposition - pour sa part, la Russie adopte une position neutre. Nous condamnons le régime syrien pour le niveau de violence qu'il admet, et également l'opposition, car cette dernière verse aussi le sang, et finalement on a une guerre ci­vile. Du point de vue du droit international, il est inadmissible de soutenir une autre force politique lorsque celle-ci se retrouve être le principal adversaire du gouvernement légitime d'un pays. Il revient au seul peuple syrien et aux forces d'opposition de décider du destin d'el-Assad et de son régime, d'une manière légale, et pas par le biais de la livraison d'armes organisée par un autre pays. Nous n'aimerions pas que la Syrie se désintègre et qu'au Proche-Orient naisse un nouveau foyer de tension, exploité par des extrémistes religieux. La désintégration de la Syrie ne profitera ni à la Russie, ni à la France.


«S'il y a une seule personne avec qui il est confortable de travailler, c'est bien Vladimir Poutine», assure Dmitri Medvedev. Crédits photo : Gouvernement Russe
Pourquoi la Russie ne cesse-t-elle pas ses livraisons d'armes au gouvernement syrien?

Notre coopération militaire ne date pas d'hier et elle a toujours eu un caractère légal et ouvert. Nous n'avons jamais fourni à la Syrie des équipements contrevenant aux conventions internationales. Tous sont destinés à se défendre contre une agression extérieure. Nous devons par ailleurs remplir les obligations liées à nos contrats, car, en cas de cessation des livraisons, il y a un risque de sanctions internationales. Depuis que nous avons suspendu certaines livraisons d'armes à l'Iran, à la suite d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, ce pays a fait valoir ses exigences et nous sommes entrés dans un conflit juridique avec eux…

Les gouvernements occidentaux ont vivement critiqué l'arrestation en Russie des participants aux mouvements d'opposition. Le pouvoir n'a-t-il pas réagi trop brutalement?

C'est une question d'appréciation. Je ne commenterai pas la manière dont réagissent les autorités européennes et ne montrerai pas du doigt tel ou tel. Je ne crois pas que la réaction d'un pouvoir est brutale lorsque l'ordre légal est violé. À l'étranger, n'importe quel manifestant levant la main sur un policier sera considéré comme un criminel et emprisonné. Les organisateurs des meetings doivent le comprendre. Je ne crois pas, contrairement à ce que vous pensez, que nous avons serré la vis. Les gouverneurs sont élus, plus de 25 partis ont pris part aux dernières élections régionales. Le pay­sage politique est différent, ce qui ne veut pas dire que la loi ne sera pas perfectionnée. Certes, notre société n'est pas la plus affûtée dans le maintien de l'ordre au cours des manifestations, mais le but de celles-ci n'est pas de provoquer des bagarres. Par ailleurs, notre loi sur les «agents de l'étranger» (qui impose aux ONG recevant des financements extérieurs de s'enregistrer comme telles, NDLR) est d'ordre technique et s'inspire des pratiques étrangères. Si l'on m'apporte des informations sur une ONG obligée de cesser son activité ou confrontée à des problèmes, cela constituera un argument essentiel. Mais ce n'est pas le cas.

Bien que vous ayez appelé à la libération des Pussy Riot, celles-ci sont toujours en prison. Qu'est-ce qui empêche leur libération?

Je n'ai pas appelé à leur libération. Étant juriste de formation, je suis toujours précis dans mes jugements. J'ai dit que je n'aimais pas du tout ce qu'ont fait ces filles, notamment d'un point de vue moral. Mais étant donné qu'elles ont passé un temps considérable en détention provisoire, elles ont déjà goûté à ce qu'est la prison et il me semble qu'une peine plus longue n'est pas nécessaire. Mais il s'agit de ma position personnelle, pas de celle du tribunal. Chez nous, comme chez vous, il existe une séparation des pouvoirs.

Estimez-vous également que Mikhaïl Khodorkovski a passé trop de temps en prison?

Cette question n'est pas très originale… N'importe quelle personne emprisonnée fait l'objet de pitié. Mais le tribunal a déterminé la punition en fonction de la loi et il faut respecter ce verdict. Une procédure d'appel a été engagée. Il existe également un droit de grâce mais que l'accusé n'a pas sollicité. La balle est donc dans son camp.

Pouvez-vous décrire les émotions que vous avez ressenties en voyant les premières grandes manifestations il y a un an?

J'ai compris que notre société était devenue différente, beaucoup plus active. Tout le monde doit respecter la loi, y compris ceux qui n'aiment pas la ligne du pouvoir, en même temps, ce dernier doit changer et être conforme au niveau de développement de la société civile. C'est pourquoi je pense avoir trouvé une bonne réponse en changeant plusieurs bases très importantes de notre société, notamment en simplifiant la procédure d'enregistrement des partis, ce qui nous rapprochera des pratiques européennes. Ainsi, une partie des gens qui n'étaient pas contents de notre construction politique se sont calmés.

Vous avez plusieurs fois dénoncé Staline. Pourquoi son corps repose-t-il toujours sous les murs du Kremlin?

Pour moi il ne fait aucun doute que, sous Staline, ont été tués et réprimés une masse considérable de gens, malgré les opinions contraires des partisans de l'idée communiste. La nostalgie des dictateurs défunts est une erreur très répandue dans l'humanité. Mais il ne faut pas oublier qu'une tombe est protégée par la loi. Si on décide de transférer celle de Staline, il faudra également penser aux autres tombes placées sous le Kremlin, à commencer par celle de Lénine. On ne peut pas dire: «Celui-là est mauvais, il faut l'enterrer ailleurs, et cet autre, il est pas mal, laissons-le là où il est!» Voilà une question éthique très compliquée. Par ailleurs, je ne souhaite pas qu'à cause de cela une partie de la société s'affronte à l'autre. Il y a vingt ans, le Parti communiste était au pouvoir, l'élite soviétique était issue des rangs du parti et une part importante de notre société continue de croire à la victoire de l'idée socialiste. N'importe quel pouvoir doit prendre cela en compte. Ce sont nos gens, nos citoyens…

Est-il très confortable d'être le premier ministre de Vladimir Poutine?

S'il y a une seule personne avec qui il est confortable de travailler, c'est bien Vladimir Poutine.

Souhaitez-vous retourner au Kremlin?

Si ma santé le permet et si nos gens me font confiance pour ce travail, il est évident que je n'exclus pas un tel retournement des événements. Il ne faut jamais dire jamais, d'autant plus que je me suis déjà baigné dans ce fleuve. Je peux m'y baigner une seconde fois…

[sonny]

dans le nice matin d'aujourd'hui (mais qui semble être un fait divers de l'année dernière)

Information

En voilà un qui promet... Le garçon de 4 ans qui a insulté, lundi à Nice, des policiers en train d’interpeller son père, a aussi frappé les agents des forces de l’ordre !

Selon une source policière, le bambin a non seulement dit à un des agents "va te faire enc.... bâtard !" mais, sorti de son siège auto, a donné des coups de pieds aux gardiens de la paix.

Il a tout simplement imité son père qui a refusé l’interpellation et blessé 4 fonctionnaires en leur portant des coups. Sa mère a quant à elle proféré des menaces de mort.

Le père de famille avait été contrôlé sans ceinture et sans assurance après avoir brûlé un feu rouge dans le quartier de Cimiez.

Les quatre policiers légèrement blessés lors de l'intervention ont déposé plainte. Le conducteur, placé en garde à vue, sera poursuivi tandis que sa femme sera convoquée par la police pour les menaces.

pauvre France

[ruby]

Comme quoi, être parents ce n'est pas seulement être capable de gicler quelques gouttes de sperme

[ideh]

dans le nice matin d'aujourd'hui (mais qui semble être un fait divers de l'année dernière)

Information

En voilà un qui promet... Le garçon de 4 ans qui a insulté, lundi à Nice, des policiers en train d’interpeller son père, a aussi frappé les agents des forces de l’ordre !

Selon une source policière, le bambin a non seulement dit à un des agents "va te faire enc.... bâtard !" mais, sorti de son siège auto, a donné des coups de pieds aux gardiens de la paix.

Il a tout simplement imité son père qui a refusé l’interpellation et blessé 4 fonctionnaires en leur portant des coups. Sa mère a quant à elle proféré des menaces de mort.

Le père de famille avait été contrôlé sans ceinture et sans assurance après avoir brûlé un feu rouge dans le quartier de Cimiez.

Les quatre policiers légèrement blessés lors de l'intervention ont déposé plainte. Le conducteur, placé en garde à vue, sera poursuivi tandis que sa femme sera convoquée par la police pour les menaces.

pauvre France

A force d'être au taquet sur le moindre fais divers, tu vas un jour te transformer en super héros.... ou finir au FN.

[ruby]

Quel rapport avec le FN ???????

[Moundir33]

Insécurité toussa

[ruby]

Moundir33, Donc l'insécurité est un thème exclusif au FN ?
Moi qui pensait que cela faisait partie des obligations régaliennes de l'Etat...