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peezee a écrit:A la longue ça devient pas un chouïa lassant ces débats à répétition et sans réel objet ni finalité...?
bassir a écrit:on peut faire des caricatures de Mahomet mais les gens qui se sentent offensés n'ont pas le droit de manifester eux..
dieudonné chez fogiel fait un sketch sur un juif sionniste... resultat il est black listé de partout et ne peut participer à aucun festival...
quand on adopte une ligne de conduite on la tient jusqu'au bout
bassir a écrit:on peut faire des caricatures de Mahomet mais les gens qui se sentent offensés n'ont pas le droit de manifester eux..
dieudonné chez fogiel fait un sketch sur un juif sionniste... resultat il est black listé de partout et ne peut participer à aucun festival...
quand on adopte une ligne de conduite on la tient jusqu'au bout
sonny a écrit:contre les shorts rouge d'alerte à malibu.
John a écrit:Bibpanda, et jusqu'à preuve du contraire, on est encore dans un pays ou la liberté d'expression est en vigueur et où le blasphème n'est plus un délit.
Betsamee a écrit:bassir a écrit:on peut faire des caricatures de Mahomet mais les gens qui se sentent offensés n'ont pas le droit de manifester eux..
dieudonné chez fogiel fait un sketch sur un juif sionniste... resultat il est black listé de partout et ne peut participer à aucun festival...
quand on adopte une ligne de conduite on la tient jusqu'au bout
Oublie nous un peu, vous savez pas exister autrement qu'en vous opposants aux juifs?
Ils ont le droit de manifester les mecs pour des caricatures, ils ont le droit de foutre le feu, de tuer, d'appeler au meurtre ... Putain on est pas dans la merde
En France, les manifestations sur la voie publique sont soumises à l'obligation d'une déclaration préalable indiquant le but de la manifestation, le lieu, la date et l'heure du rassemblement et l'itinéraire projeté. Les autorités peuvent demander aux organisateurs des modifications de parcours ou d'horaire. Elles peuvent interdire une manifestation si elles la jugent de nature à troubler l'ordre public ou si ses mots d'ordre sont contraires à la loi, mais ces interdictions sont rares.
Toujours en France, en vertu de l'article 431-3 du Code Pénal, « tout rassemblement de personnes sur la voie publique ou dans un lieu public susceptible de porter atteinte à l'ordre public (...) peut être dissipé par la force publique » après les sommations d'usage. Appeler à une manifestation interdite est considéré comme un délit.
Pourquoi Charlie Hebdo sauve l'honneur
Par Ivan Rioufol le 19 septembre 2012 13h39 | 241 Commentaires
Accepter de faire des excuses ou des concessions à l’islam politique est une forme de soumission. Résister à ses intimidations est une obligation pour tout démocrate digne de ce nom. C’est pourquoi, malgré la répugnance que m’inspirent les nouvelles caricatures de Charlie Hebdo sur Mahomet et ses fidèles, publiées ce mercredi, je soutiens l’hebdomadaire dans sa volonté de tenir tête aux islamistes qui exigent le respect et réclament l’instauration d’un délit de blasphème. Je comprends l’indignation des croyants ; je la partage moi-même quand le Pape ou les Chrétiens sont ridiculisés, plus souvent qu’à leur tour, par l’hebdomadaire satirique. Mais je suis, comme la majorité des Français, héritier consentant des Lumières : elles ont désacralisé les religions pour les ramener au rang d’idéologies naturellement critiquables. Or, l’islam devient critiquable quand, ici et là, il entend appliquer littéralement la loi du Coran, texte avant tout guerrier, violent, sexiste, construit sur le rejet de l’altérité et sur le culte du peuple parfait. Quand Le Nouvel Observateur de cette semaine, sous la plume de Renaud Dély, diabolise en "néo-fachos" ceux qui, comme votre serviteur, s’inquiètent de cette maladie de l’islam qui se propage en Europe sous couvert de multiculturalisme, il illustre le renoncement des donneurs de leçons à s’opposer à une idéologie authentiquement totalitaire et anti-juive qui, minoritaire en France, ne demande qu’à se répandre. Elle a déjà trouvé, visiblement, ses "idiots utiles".
Ce n’est pas rendre service aux Français musulmans, engagés dans un processus d’intégration encore fragile pour une partie d’entre eux , de les conforter dans un sentiment de victimisation au prétexte que leur religion doit d’abord accepter les lois de la République, les exigences de la laïcité et les usages de la démocratie, et non l’inverse. Faut-il rappeler les véritables humiliations qu’eurent à subir les catholiques quand, comme à Lyon en 1793 par exemple, les églises furent pillées tandis qu’un âne, coiffé d’une mitre d’évêque, trainait à sa queue un crucifix et une Bible? L’islam en France est admis et protégé comme tous les autres cultes. Il l’est beaucoup plus que le christianisme ou le judaïsme en terres d’Islam. Mais les exigences de passe-droits ou les démonstrations de force, comme celle qui s’annonce sur le Net pour samedi à Paris en défense du Prophète, sont inacceptables. Jusqu’à présent, l’accusation en "islamophobie" a eu pour effet, désiré, de paralyser tout esprit critique au détriment de la liberté d’expression. Mais la France ne ressemble pas à ce pays apeuré, dévot et prêt à rendre les armes, représenté par ceux qui voient des fachos partout sauf là où, sous leur nez, ils paradent. En cela, Charlie Hebdo, sauve l’honneur.
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