Modérateur: Modérateurs
Knurt a écrit:Vous auriez du créer l'award "meilleure signature"
salaud est dérivé du mot sale, qui vient lui-même du francique salo.
cf allemand Sau, cochon, truie.
on retrouve dans la finale aud une survivance de la suffixation germanique en aldo.
saligaud est la forme wallone et picarde de ce mot. Son usage s'est étendu depuis.
la forme féminine salope a été constituée de sale + hoppe, une forme régionale de huppe, cet oiseau ayant précisèment la réputation d'être sale.
huppe vient du francique hope, littéralement oiseau sauteur.
cf allemand hüpfen, sautiller.
cf anglais grasshopper, sauterelle.
Knurt a écrit:Vous auriez du créer l'award "meilleure signature"
Magneto a écrit:Rocca, Qu'il pensait que t'étais un newbie avec 100 posts
Rocca a écrit:Zobi1, nan mais serieux tu pensais ca
t en a bien plus toi
Zobi1 a écrit:Ha ok, autant pour moi
Au temps pour moi
Il est impossible de savoir précisément quand et comment est apparue l’expression familière au temps pour moi, issue du langage militaire, où au temps ! se dit pour commander la reprise d’un mouvement depuis le début (au temps pour les crosses, etc.). De ce sens de C’est à reprendre, on a pu glisser à l’emploi figuré. On dit Au temps pour moi pour admettre son erreur — et concéder que l’on va reprendre ou reconsidérer les choses depuis leur début.
L’origine de cette expression n’étant plus comprise, la graphie Autant pour moi est courante aujourd’hui, mais rien ne la justifie.
calabrais a écrit:salaud est dérivé du mot sale, qui vient lui-même du francique salo.
cf allemand Sau, cochon, truie.
on retrouve dans la finale aud une survivance de la suffixation germanique en aldo.
la femme de l autre a écrit:Zobi1 a écrit:Ha ok, autant pour moi
"Au temps"Au temps pour moi
Il est impossible de savoir précisément quand et comment est apparue l’expression familière au temps pour moi, issue du langage militaire, où au temps ! se dit pour commander la reprise d’un mouvement depuis le début (au temps pour les crosses, etc.). De ce sens de C’est à reprendre, on a pu glisser à l’emploi figuré. On dit Au temps pour moi pour admettre son erreur — et concéder que l’on va reprendre ou reconsidérer les choses depuis leur début.
L’origine de cette expression n’étant plus comprise, la graphie Autant pour moi est courante aujourd’hui, mais rien ne la justifie.
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