Modérateur: Modérateurs
superolive a écrit:c'est pas parce que je suis de droite que je dois être ultra libéral , marcher sur les autres , cracher sur les pauvres , ou fasciné par Sarko.....
faut faire attention à ne pas catégoriser les gens
en fait à la base je n'aime pas la politisation des chansons , c'est pour çà ( entre autre ) que j'execre de tres nombreux textes de rap .
Disons que je préfererai les textes de Noir Désir à des trucs de rap que j'ai pu lire dans les pages précédentes...
Flys a écrit:superolive a écrit:c'est pas parce que je suis de droite que je dois être ultra libéral , marcher sur les autres , cracher sur les pauvres , ou fasciné par Sarko.....
faut faire attention à ne pas catégoriser les gens
en fait à la base je n'aime pas la politisation des chansons , c'est pour çà ( entre autre ) que j'execre de tres nombreux textes de rap .
Disons que je préfererai les textes de Noir Désir à des trucs de rap que j'ai pu lire dans les pages précédentes...
Je vois ce que tu veux dire,
simplement je pense qu'il faut se pencher un peu sur ces artistes et sur ce qu'ils disent.
Si tu parles de Keny Arkana, Assassin et co, que prônent-ils ?
Faire des émeutes, tout casser etc ?
Non, ils prônent la révolution intérieure, que chacun deviennent plus humain tout simplement, que chacun respecte notre planète terre...
Bien sûr on peut assimiler ces artistes à l'extrême gauche, l'affreuse, simplement ils ne sont pas rattachés à un quelquonque parti politique, car à la base ils sont contre ce système.
Si Keny Arkana était un produit d'un parti, là je serais d'accord pour dire "c'est gerbant".
Mais quand tu as des artistes qui prônent le respect, l'amour, je ne pense pas qu'il faille être rebuté.
Je peux totalement comprendre que le rap en lui même n'est pas la musique la plus facile à écouter, mais faire l'effort de s'interesser à quelques artistes qui en valent la peine, lire leurs lyrics, voir vraiment ce qu'ils disent, est un bon moyen de se rendre compte, que non, le vrai rap n'est pas abjecte.
Une nouvelle étape dans l' évolution de l'analyse des paramètres.
Qui lache l'affaire ? Qui part ? Qui reste ?
Certains on plusieurs vestes,
D'autres sont contagieux comme la peste ,
Et tous veulent du changement, mais quel changement ?
Changer de gouvernement, changer de rapport avec les gens.
Changer les enfants, changer en plus conscient,
Changer le monde, changer le présent ?
Ça c'est sur, le futur en dépend.
Mais quelles solutions pour lutter contre la décomposition sociale
Qui s'installe et pénètre,
Chacun d'entre nous qui ne connecte pas son intellect ?
Je parle clairement pour que tout le monde me comprenne.
Autant mes ennemis, que mes amis que j'aime.
Sommes nous nés sur cette planète pour reproduire inlassablement,
Les rapports humains guidés par l'incrédulité des gouvernements ?
Des fois, cut ta télé, change ton quotidien,
Rentre dans un musée, ou lis un bouquin.
L'odyssée de la vie n'est pas un film au cinéma.
Si tu ne t'éduques pas, tu restera en bas !
Je ne veux pas de leader, mais un monde qui m'inspire.
Je ne veux pas de pays, mais un enfant qui sache sourire.
Pour ça, Assassin combat jour après jour.
Hoo, et l'odyssée suit son cours !
{au Refrain}
Quand on tue une opinion, normal qu'on s'expose à des risques.
Exemple l'URSS, ou pire le Sud des Ameriques.
Plus de choix, que choisir entre la peste et le choléra ?
Voilà quand on ne baisse pas son froc devant les USA !
Toute thèse révolutionnaire sillonante est bannie.
C'est comme au poker, on t'arnaque puis te déshabille.
De haut en bas, en Occident ou pas gars
Les peuples insoumis sont aujourd'hui ceux qui bouffent du rat.
S'installer en Afrique, en Asie est non négligeable.
Pour un occidental, là bas, la vie est plus que rentable.
On triche, on tue, plus que jamais corrompu,
Pas de risque pour un voleur sous l'étiquette de l'ONU.
L'occident approuve, la Somalie le prouve.
Qui sème la merde, la récolte puis la trouve.
Unissons-nous pour préserver ce qui reste de l'amour,
Pour que l'odyssée suive son cours !
{au Refrain}
L'odyssée suit son cours, et rien ne l'arrête.
Mais à quel prix le vent se fraie un passage quand il y a une tempête.
Les courants artistiques sont le baromètre de la situation politique d'un pays.
On shoote les chanteurs de raï en Algérie.
On emprisonne les poètes en Colombie.
On exécute les leaders noirs au Etats-Unis.
Et on me parle du respect des Droits de l'Homme dans mon pays.
Non, non, non, le fleuve coule mais l'eau n'est plus potable.
Tu peux t'abreuver à sa source mais pas au pichet sur ta table.
A qui donner sa confiance ?
Dans l'œil réside la méfiance.
L'alliance des poètes n'existe que dans les rêves de l'enfance.
La réalité rappelle les réactions radicales d'un réalisme renfermant
Dans ses récifs, la rivalité résultant des relations auquelles l'Homme a recours,
Pour que l'odyssée suive son cours !
en fait à la base je n'aime pas la politisation des chansons , c'est pour çà ( entre autre ) que j'execre de tres nombreux textes de rap .
Disons que je préfererai les textes de Noir Désir à des trucs de rap que j'ai pu lire dans les pages précédentes...
Et si il faut choisir des héros, alors choisissons les métallos :
Refrain
Il faut des métallos, des métallos!
Il faut des métallos, moins de pédalos!
On veut des métallos, des métallos!
Il faut des métallos, moins de pédalos!
Cette chanson est toute entière à la gloire des métallos ;
Qu'ils fabriquent les cargos, qu'ils soient dans les hauts fourneaux.
Ils portent le bleu de Chine, sont généralement costauds,
Il y en avait plein la ville quand il y avait du boulot ;
Maintenant que nos usines n'existent plus qu'en photo,
Tous les jeunes se débinent ou font larbin à Casino.
Dédicace à La Ciotat, c'est une cité au bord de l'eau.
Il y avait le chantier, on y construisait des bateaux.
Plus d'un millier d'ouvriers, jour et nuit, des coups de marteau
Et des gerbes d'étincelles qui faisaient rêver les minots.
Oui, c'est un dur métier, c'est un fichu boulot,
La sirène, le matin, ah putain! Qu'elle sonnait tôt!
On sait bien que le travail, ça sera jamais rigolo,
Que ce sont toujours les mêmes qui se gavent sur ton dos.
C'est tout pour les patrons, jamais pour les prolos,
Mais tout le monde se sentait fier quand on lançait le bateau.
Et voilà, un beau matin, les rats filent avec le magot.
On explique sur les ondes qu'il n'y aura plus de bateaux,
Qu'on les fabrique moins cher à Singapour, à Borneo,
Qu'il aurait fallu les faire, ou plus petits, ou plus gros.
Les récalcitrants : on les soigne à la lacrymo,
On appâte les autres avec un peu de némo,
"L'avenir est à la plage, ici, ce sera Rio!"
"Il y aura des avantages, on pourra ouvrir un resto..."
Six mois après le carnage, la ville se relève K.O.,
Les crapules immobilières comptent tranquillement les lingots.
Qu'ont-ils fait à ma ville ? Qu'ont-ils fait dans son dos ?
C'était un coin tranquille, un paradis au bord de l'eau;
Tout paraît immobile, plus de grues, de bateaux,
Quelques ombres défilent. La peste est-elle là de nouveau?
À Toulon, à La Seyne, à Marseille, c'est aussi le même topo.
Dans la foire européenne, on tient le stand des rigolos.
Il paraît que notre richesse, c'est avant tout la météo :
Pensez, de mai à octobre, on se ballade tous en maillot !
Ça attire les ingénieurs, ils y installeront leurs labos.
Ça, c'est des consommateurs ; ça, c'est des gens bien comme il faut.
On va leur faire des boutiques et des cinés et des expos,
À la place des fabriques, avouez que ça sera plus beau.
Nos minots seront plagistes ou iront bosser chez Mc Do.
Si ces métiers les attirent, dans le nord, il y a du boulot.
L'été, ils nous reviendront dans de longues files d'autos
Pour dépenser au pays ce qu'ils auront gagné là-haut.
jod.ko a écrit:en fait à la base je n'aime pas la politisation des chansons , c'est pour çà ( entre autre ) que j'execre de tres nombreux textes de rap .
Disons que je préfererai les textes de Noir Désir à des trucs de rap que j'ai pu lire dans les pages précédentes...
Parce que Noir DEs est moins politisé que le Rap
Jodko.
Pistol shots ring out in the barroom night
Enter Patty Valentine from the upper hall.
She sees the bartender in a pool of blood,
Cries out, "My God, they killed them all!"
Here comes the story of the Hurricane,
The man the authorities came to blame
For somethin' that he never done.
Put in a prison cell, but one time he could-a been
The champion of the world.
Three bodies lyin' there does Patty see
And another man named Bello, movin' around mysteriously.
"I didn't do it," he says, and he throws up his hands
"I was only robbin' the register, I hope you understand.
I saw them leavin'," he says, and he stops
"One of us had better call up the cops."
And so Patty calls the cops
And they arrive on the scene with their red lights flashin'
In the hot New Jersey night.
Meanwhile, far away in another part of town
Rubin Carter and a couple of friends are drivin' around.
Number one contender for the middleweight crown
Had no idea what kinda shit was about to go down
When a cop pulled him over to the side of the road
Just like the time before and the time before that.
In Paterson that's just the way things go.
If you're black you might as well not show up on the street
'Less you wanna draw the heat.
Alfred Bello had a partner and he had a rap for the cops.
Him and Arthur Dexter Bradley were just out prowlin' around
He said, "I saw two men runnin' out, they looked like middleweights
They jumped into a white car with out-of-state plates."
And Miss Patty Valentine just nodded her head.
Cop said, "Wait a minute, boys, this one's not dead"
So they took him to the infirmary
And though this man could hardly see
They told him that he could identify the guilty men.
Four in the mornin' and they haul Rubin in,
Take him to the hospital and they bring him upstairs.
The wounded man looks up through his one dyin' eye
Says, "Wha'd you bring him in here for? He ain't the guy!"
Yes, here's the story of the Hurricane,
The man the authorities came to blame
For somethin' that he never done.
Put in a prison cell, but one time he could-a been
The champion of the world.
Four months later, the ghettos are in flame,
Rubin's in South America, fightin' for his name
While Arthur Dexter Bradley's still in the robbery game
And the cops are puttin' the screws to him, lookin' for somebody to blame.
"Remember that murder that happened in a bar?"
"Remember you said you saw the getaway car?"
"You think you'd like to play ball with the law?"
"Think it might-a been that fighter that you saw runnin' that night?"
"Don't forget that you are white."
Arthur Dexter Bradley said, "I'm really not sure."
Cops said, "A poor boy like you could use a break
We got you for the motel job and we're talkin' to your friend Bello
Now you don't wanta have to go back to jail, be a nice fellow.
You'll be doin' society a favor.
That sonofabitch is brave and gettin' braver.
We want to put his ass in stir
We want to pin this triple murder on him
He ain't no Gentleman Jim."
Rubin could take a man out with just one punch
But he never did like to talk about it all that much.
It's my work, he'd say, and I do it for pay
And when it's over I'd just as soon go on my way
Up to some paradise
Where the trout streams flow and the air is nice
And ride a horse along a trail.
But then they took him to the jailhouse
Where they try to turn a man into a mouse.
All of Rubin's cards were marked in advance
The trial was a pig-circus, he never had a chance.
The judge made Rubin's witnesses drunkards from the slums
To the white folks who watched he was a revolutionary bum
And to the black folks he was just a crazy nigger.
No one doubted that he pulled the trigger.
And though they could not produce the gun,
The D.A. said he was the one who did the deed
And the all-white jury agreed.
Rubin Carter was falsely tried.
The crime was murder "one," guess who testified?
Bello and Bradley and they both baldly lied
And the newspapers, they all went along for the ride.
How can the life of such a man
Be in the palm of some fool's hand?
To see him obviously framed
Couldn't help but make me feel ashamed to live in a land
Where justice is a game.
Now all the criminals in their coats and their ties
Are free to drink martinis and watch the sun rise
While Rubin sits like Buddha in a ten-foot cell
An innocent man in a living hell.
That's the story of the Hurricane,
But it won't be over till they clear his name
And give him back the time he's done.
Put in a prison cell, but one time he could-a been
The champion of the world.
Hurricane
Les coups de feu retentissent hors du bar, la nuit
Entre ensuite Patty Valentine de l'étage supérieur
Elle voit le barman dans une marre de sang
Elle crie Mon Dieu ils les ont tous tués
[Refrain]
Voici l'histoire d'Hurricane(1)
L'homme que les authorités sont venues blâmer
Pour quelque chose qu'il n'a jamais fait
Ils l'ont mis dans une cellule de prison mais il aurait pu etre le champion du monde
Patty voit trois corps allongés
Et un autre homme appelé Bello qui se promene autour mystérieusement
Je n'ai rien fait qu'il dit en levant ces mains en l'air
Je volais juste la caisse j'espère que vous comprenez
Je l'ai vu partir dit-il et il s'arrêta
Un d'entre nous ferais mieux d'appeler la police
Et ainsi Patty appella la police
Et ils arrivent sur la scène du crime avec leurs girophares rouge
Dans la nuit chaude du New-Jersey
Pendant ce temps loin dans une autre partie de la ville
Rubin Carter et un couple d'amis se promènent en voiture
Compétiteur numéro un pour la couronne des poids moyens(2)
Il n'avait aucune idée de la merde qui allait lui tomber dessus
Quand la police lui demanda de se garer sur le coté de la route
Juste comme la fois précédente et encore la fois avant
Patterson, c'est de cet maniere que les choses se passent
Si tu es noir tu ferais mieux de ne pas te montrer dans la rue
Sauf si tu veux attirer l'attention
Alfred Bello a eu un associer et il etait contre les forces de l'ordre
Lui et Arthur Dexter Bradley étaient juste entrain de trainer
Il a dit' j'ai vu deux hommes sortir en courant et ils ressemblaient à de poids moyens
Ils ont sauté dans une voiture blanche avec des plaques d'un autre état
Et Mademoiselle Patty Valentine faisait un signe de la tête
Un policier dit attendez les gars celui-là n'est pas mort
Ainsi ils l'ont porté à l'infirmerie
Et bien que cet homme pouvait à peine voir
Ils lui ont indiqué qu'il pourrait identifier les coupables
À quatre heures du matin et ils ont transporté Rubin avec eux
Ils l'ont emmené à l'hôpital au deuxième étage
L'homme blessé regarda à travers son oeil
Et demenda Pourquoi l'avez-vous emmené ici Ce n'est pas lui
[Refrain]
Quatre mois plus tard les ghettos sont en feu
Rubin en Amérique du Sud se battant pour son titre
Tandis que Arthur Dexter Bradley fait toujours dans le vol
Et les policier lui mettent la corde au cou, cherchant quelqu'un à blâmer
Rappele-toi ce meurtre qui s'est produit dans un bar
Rappele-toi que tu as dit avoir vu la voiture prendre la fuite
Tu penses que tu peux jouer à la balle avec la loi
Penses-tu que c'est ce boxeur que tu as vu courrir cette nuit là
N'oublie pas que tu es blanc
Arthur Dexter Bradley a dit Je ne suis vraiment pas sûr
Le policier dit un garçon comme toi pourrait prendre une pause
Nous t'avons attrapé pour le vol dans le motel et nous parlons à ton ami Bello
Maintenant tu n'auras pas à revenir en prison alors sois gentil
Tu feras une faveur à la société
Ce fils de chien est courageux et devient de plus en plus courageux
Nous voulons le mettre sur la touche
Nous voulons lui attribuer ce triple meurtre
Ce n'est pas un gentleman, Jim
Rubin pourrais sortir un homme avec juste un coup de poing
Mais il n'a jamais aimé parler de ça
C'est mon travail qu'il dirait et je le fais pour le salaire
Et quand c'est fini je préfère encore partir sur mon chemin
Jusqu'à un certain paradis
Où les truites nagent et ou l'air est bon
Et me promener à cheval le long des chemins
Mais alors ensuite ils l'ont mis en prison
Là où ils essayent de transformer les hommes en souris
Toutes les cartes de Rubin ont été marqué à l'avance
Le procès était un vrai cirque il n'a jamais eu de chance
Le juge a fait en sorte que les témoins de Rubin soient introuvables ou des ivrognes
Pour les blancs qui regardaient il était un clochard révolutionnaire
Et pour les noirs il n'était qu'un nègre complètement fou
Personne ne doutait qu'il avait tiré sur la gachette
Et bien qu'ils n'avaient jamais retrouvé le pistolet
L'avocat a indiqué qu'il était celui qui a fait le contrat
Et le jury composé de personnes blanches était d'accord
Rubin Carter a été mal jugé
Pour ce meurtre on peut se douter qui a témoigné
Bello et Bradley ont tous les deux menti
Et les journaux ont suivi la meme route
Comment la vie d'un tel homme
A pu se retrouver entre les mains de ces imbéciles
Le voir évidemment enfermé
Je ne peux m'empêcher d'avoir honte de vivre dans un pays
Où la justice est un jeu
Maintenant tous les criminels en costumes et cravates
Sont libres de boire des martinis et de voir le soleil se lever
Pendant que Rubin est assis comme Buddha dans une cellule
Un innocent vivant en enfer
C'est l'histoire d'Hurricane(3)
Mais ce ne sera pas terminé jusqu'à qu'ils blanchissent son nom
Et lui redonnent le temps qu'ils lui ont pris
Ils l'ont mis dans une cellule de prison mais il aurait pu être une fois
Le champion du monde
(2) poids moyens dans la boxe
(1)(3) Hurricane = Ouragan mais Hurricane etais le surnom de Rubin Carter sur le ring
Anni di torpore anni di appiattimento
una generazione senza sentimento
non ci sono slanci non c'è più tensione
per il combattimento non c'è più una ragione.
La rivoluzione è come il vento la rivoluzione è come il vento.
Il cancro consumista le menti ha devastato
giovani senz'ossa il solo risultato
giovani perduti quanti anni buttati
signori del sistema non ci avete piegati.
La rivoluzione è come il vento la rivoluzione è come il vento.
Riaffiorano i ricordi degli anni di passione
ritorna il vecchio sogno per la rivoluzione.
Racconti senza fine di gente che ha pagato
non puoi mollare adesso la lotta a questo stato.
La rivoluzione è come il vento la rivoluzione è come il vento.
Scontri nelle piazze con spranghe nella mano
i rivoluzionari non son caduti invano.
Fuoco della rivolta sta bruciando ancora
dell'insurrezione risorgerà l'aurora
La rivoluzione è come il vento la rivoluzione è come il vento.
tirannide borghese
ancora poco tempo
la rivoluzione scoppia in ogni momento.
La rivoluzione è come il vento la rivoluzione è come il vento.
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