30 Nov 2007, 20:11
Tes yeux sont bleus ta peau est blanche tes lèvre sont rouges
Qu'est ce que je vois au lointain ?
C'est un drapeau qui bouge
Peux tu me dire ce qu'il se passe ?
Qui reprèsente un menace ?
Est ce toi qui ne veut pas perdre la face ?
Ton roi est blanc ton costume bleu et tu vois rouge
Quand tu me croises, tu n'as qu'un souhait c'est que je bouge
Peux tu me dire ce qui se passe ?
Qui reprèsente une menace ?
Est ce toi qui ne veux pas perdre la face ?
On dit tout haut ce que les jeunes des ghettos pensent tout bas
Les fachos éliminent les rebeus les renois
C'est vrai, certains me diront que c'est une banalité
Mais en attendant beaucoup de nos frères se font tuer
Tes yeux sont bleus ta peau est blanche tes lèvres sont rouges
Si j'vois un facho devant moi obligé faut qu'il bouge
Je me sers de mon micro comme je me servirai d'un uzi
Pour éliminer le FN, Le Pen et tous les fachos à Paris.
Tes yeux son bleus ta peau est ...
Ta fleur de lys se fane, du cannabis je fume
Ton emblème est sous les blâmes
Car l'enjeu en est la thune
Ton système, je condamne à s'enliser dans la brume
Pourrir dans la vase de l'étang et à en embrasser l'écume
Des fois je sors armé mais je me défend aussi avec une plume
Ce que j'écris sur le cahier
Je le dis, je le vis et je l'assume
Raggasonic sound anime les danses comme veut la coutume...
"Raggasonic - Bleu Blanc Rouge"
30 Nov 2007, 20:12
Ils s'embrassent au mois de Janvier,
car une nouvelle année commence,
mais depuis des éternités
l'a pas tell'ment changé la France.
Passent les jours et les semaines,
y a qu'le décor qui évolue,
la mentalité est la même :
tous des tocards, tous des faux culs.
Ils sont pas lourds, en février,
à se souvenir de Charonne,
des matraqueurs assermentés
qui fignolèrent leur besogne,
la France est un pays de flics,
à tous les coins d'rue y'en a 100,
pour faire règner l'ordre public
ils assassinent impunément.
Quand on exécute au mois d'mars,
de l'autr' côté des Pyrénées,
un arnachiste du Pays basque,
pour lui apprendre à s'révolter,
ils crient, ils pleurent et ils s'indignent
de cette immonde mise à mort,
mais ils oublient qu'la guillotine
chez nous aussi fonctionne encore.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,
et le roi des cons, sur son trône,
j'parierai pas qu'il est all'mand.
On leur a dit, au mois d'avril,
à la télé, dans les journaux,
de pas se découvrir d'un fil,
que l'printemps c'était pour bientôt,
les vieux principes du seizième siècle,
et les vieilles traditions débiles,
ils les appliquent tous à la lettre,
y m'font pitié ces imbéciles.
Ils se souviennent, au mois de mai,
d'un sang qui coula rouge et noir,
d'une révolution manquée
qui faillit renverser l'Histoire,
j'me souviens surtout d'ces moutons,
effrayés par la Liberté,
s'en allant voter par millions
pour l'ordre et la sécurité.
Ils commémorent au mois de juin
un débarquement d'Normandie,
ils pensent au brave soldat ricain
qu'est v'nu se faire tuer loin d'chez lui,
ils oublient qu'à l'abri des bombes,
les Francais criaient "Vive Pétain",
qu'ils étaient bien planqués à Londres,
qu'y avait pas beaucoup d'Jean Moulin.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est pas la gloire, en vérité,
et le roi des cons, sur son trône,
me dites pas qu'il est portugais.
Ils font la fête au mois d'juillet,
en souv'nir d'une révolution,
qui n'a jamais éliminé
la misère et l'exploitation,
ils s'abreuvent de bals populaires,
d'feux d'artifice et de flonflons,
ils pensent oublier dans la bière
qu'ils sont gourvernés comme des pions.
Au mois d'août c'est la liberté,
après une longue année d'usine,
ils crient : "Vive les congés payés",
ils oublient un peu la machine,
en Espagne, en Grèce ou en France,
ils vont polluer toutes les plages,
et par leur unique présence,
abîmer tous les paysages.
Lorsqu'en septembre on assassine,
un peuple et une liberté,
au cœur de l'Amérique latine,
ils sont pas nombreux à gueuler,
un ambassadeur se ramène,
bras ouverts il est accueilli,
le fascisme c'est la gangrène
à Santiago comme à Paris.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est vraiment pas une sinécure,
et le roi des cons, sur son trône,
il est français, ça j'en suis sûr.
Finies les vendanges en octobre,
le raisin fermente en tonneaux,
ils sont très fiers de leurs vignobles,
leurs "Côtes-du-Rhône" et leurs "Bordeaux",
ils exportent le sang de la terre
un peu partout à l'étranger,
leur pinard et leur camenbert
c'est leur seule gloire à ces tarrés.
En Novembre, au salon d'l'auto,
ils vont admirer par milliers
l'dernier modèle de chez Peugeot,
qu'ils pourront jamais se payer,
la bagnole, la télé, l'tiercé,
c'est l'opium du peuple de France,
lui supprimer c'est le tuer,
c'est une drogue à accoutumance.
En décembre c'est l'apothéose,
la grande bouffe et les p'tits cadeaux,
ils sont toujours aussi moroses,
mais y a d'la joie dans les ghettos,
la Terre peut s'arrêter d'tourner,
ils rat'ront pas leur réveillon;
moi j'voudrais tous les voir crever,
étouffés de dinde aux marrons.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
on peut pas dire qu'ca soit bandant
si l'roi des cons perdait son trône,
y aurait 50 millions de prétendants.
30 Nov 2007, 20:13
Tu ne veux jamais comprendre
(jamais comprendre)
la démesure de mes sentiments
(sentiments, sentiments)
tu te trompes au point de t’y méprendre
je te les pose si gentiment
(gentiment, gentiment)
l’amour nous accapare
(nous accapare)
pourquoi veux-tu te dérober ?
(dérober, dérober)
il faut toujours que tu me compares
à ton ex-petit ami Roger
(Roger, Roger)
rien à voir avec ce p’tit connard
(ce p’tit connard)
il est toujours plein de complexes
(de complexes, de complexes)
je ne suis pas aussi bavard
(aussi bavard)
viens faire un tour dans mon duplex
viens dans mon duplex
n’aies pas de scrupules
il y aura du sexe
dès le crépuscule
je vais te donner mon réflexe
(mon réflexe)
enlèves ton ensemble en latex
(en latex, en latex)
allonge-toi sur le jerflex
(sur le jerflex)
le temps l’enfiler mon durex
viens dans mon duplex
n’aies pas de scrupules
il y aura du sexe
viens que je t’en…
(viens doudou, viens doudou)
viens dans mon duplex
(viens chéri, viens chéri)
il y aura du sexe
(viens doudou, viens doudou)
viens dans mon duplex
(viens chéri, viens chéri)
il y aura du sexe
je vais te donner mon réflexe
(mon réflexe)
enlèves ton ensemble en latex
(en latex, en latex)
allonge-toi sur le jerflex
(sur le jerflex)
le temps l’enfiler mon durex
viens dans mon duplex
n’aies pas de scrupules
il y aura du sexe
viens que je t’en…
(viens doudou, viens doudou)
viens dans mon duplex
(viens chéri, viens chéri)
il y aura du sexe
(viens doudou, viens doudou)
viens dans mon duplex
(viens chéri, viens chéri)
30 Nov 2007, 20:14
Préfabriqués
1981 "Trust [L'élite]"
Je crache à la gueule de tout ce système
Quand je marche dans la rue je ne porte pas d'emblème
Je vais où je veux je pense comme je veux
Pas de pression j'crache à la face des nations
Mes fréquentations ne regardent que moi
Mon futur mon passé tout est effacé
Je ne me sens par concerné par vos dires
Le con et l'absurde sont mon point de mire
De toutes mes forces je vous plains
Je ne pense que rarement à demain
Vos idées n'sont fondées que par overdose de télé
Je ne peux que prêcher la déraison la destruction
Quelle sensation la destruction
Tas de viande avariée vous allez payer
Quand vient la connerie vous êtes concernés
Je n'ai jamais aimé les gens préfabriqués...
30 Nov 2007, 20:15
30 Nov 2007, 20:17
Vous m'avez pris pour une des votre
Appelle moi l'ennemi de ton fascisme
Des barricades jusqu'aux urnes de votes
Hé bande de cons, Vous voulez endormir les miens
Mais le mensonge de l'ennemi et son message on connait bien
Manipulation, vous n'aurez ni mon esprit ni ma chair
Et gros porc ton M. Propre on va t'nettoyer au karcher
Hé, tu m'as pris clasher Sarko
J'te crache mon rap internationaliste fait pour brûler vos drapeaux
Tu veux ma rage hein pour que ta moyenne monte
Ton bleu blanc rouge m'écoeure moi j'suis une citoyenne du monde
Nique ton système, Ségolène, Sarko ou Le Pen,
Y'a pas de révolution, dans votre politique institutionnelle
Moi j'apelle à la désobéiçance civile
Réapropriation pour donner un sens à nos vies
Le combat est ferme, certainement pas façonnable,
Anti FN, Oui j'emmerde le Front National
Abat le front de la haine(x4)
Un gros porc a voulu récupérer la cause,
Les vrais savent qu'il s'est grillé,
Le silence dit qu'on approuve alors j'continue de crier,
Faire emmerger la parole des sans voix
Car la vrai révolution se construira d'en bas
La résistance est en marche contre vos partis démoniaques,
Oligarchie, confrérie, c'est le peuple contre les monarques
Insoumis, on le reste même quand l'ordre tyranise
Faut qu'on construise sans eux pour faire tomber leur pyramide
Le combat continue
Et le changement viendra d'en bas
Désobéiçance civile (X2)
Rampe vers la France
Moi je retiens aucun de vos candidats, Votre mascarade présidentielle,
Car le changement ne sera pas institutionnel
Fuck le FN
Fuck l'UMP
Fuck le PS
Le changement viendra d'en bas
Nique les partisants de la haine
Leur propagande basée sur la calomnie et le mensonge
Voilà encore une preuve
Keny Arkana, la rage du peuple
Dédié à tous les sans droits
Le changement viendra d'en bas, on continue le combat
30 Nov 2007, 21:32
30 Nov 2007, 21:54
lolZobi1 a écrit:Comment parler de ca sans parler de l'immense, que dis je, l'exceptionnel DADANE
30 Nov 2007, 22:14
Charisman
Libérez-vous du poids de vos contraintes
Je connais vos craintes
Ecoutez ma voix
Arrêtez vos complaintes
Venez trouver la foi
Délivrez vous du mal
J'ai en ma possession
La solution à vos angoisses, brisons la glace
Mes frères, je sens que le courant passe
Nous ne sommes que poussières perduent dans l'espace
Accordez moi votre confiance
Je vous sortirais de l'impasse où la monotomie de la routine vous tasse
J'apporterais le rêve et la lumière
J'ai l'art et la manière
Le don d'avoir l'air immortel
Léger comme l'air, tel le volatile qui ne touche jamais terre
Je suis celui que tu aurais aimé être
Celui que tu suis qui te monte à la tête
L'exemple que tu samples et que tu répètes
Plus que ton être c'est moi que tu respectes
A chacun de mes mots tu restes accroché à ma bouche
Ma voix t'appelle comme le miel attire les mouches:
Des formules faciles, des phrases qui t'ennivrent
Tu aimes, tu réclames, à la pelle je t'en livre
Tu t'enlisais avant moi, partais à la dérive
Tu n'existais pas avant moi
Rien que l'impression de vivre une comédie
Une parodie, l'opposé du paradis
Aujourd'hui c'est fini
Nous sommes enfin réunis
Adorez le leader
Le gourou qui voit clair dans le flou
L'empereur, le führer, le seigneur des fous
Comptez sur moi j'ai ce qu'il vous faut
Ce que l'on vous a dit avant moi étais faux
Tu commences à ressentir la puissance t'envahir
Sois heureux d'apprécier ce que tu ne seras jamais:
Le messie, l'icône, l'idole, l'ami idéal
Tu me vénères et m'installes au sommet d'un piédestal
Et je deviens le gardien du bien et du mal
Tu me portes si haut que je côtoie les dieux
Je sais prendre le nom et l'aspect que je veux:
Chanteur de rock, de rap, de variété
Cador électoral, président député
Présentaleur à la télé
Tapin médiatique ou prophète à la tête d'une secte satanique
Je fais la collecte des adeptes dont je capte l'intellect
A tous les étapes je prospecte
Prospères sont les affaires car je ratisse large
Pour vous emmener vers le nouvel âge
AMNES' HISTORY
Comment pourrais-je oublier alors encore enfant à l'école "Nuit et Brouillard" sur l'écran ? Dans le noir nos yeux hagards ne comprenaient pas comment nos grands parents avaient laisser faire ça. Un tyran, un fou, héros d'une nation, œuvrant ouvertement pour l'extermination d'une population désignée responsable d'office, accusée, coupable, offerte en sacrifice à tout un pays affamé de pain et de gloire. Ils semblaient fiers de l'infamie, certains de la victoire, usant de la folie, poussant à l'agonie les victimes choisies. Peu d'espoir de survie dans les camps de la mort, pire que du bétail, je n'crois pas qu'il s'agisse là d'un simple point de détail, furent bâtis les plus grands abattoirs de l'histoire. Dans d'étranges laboratoires d'obscurs docteurs mettaient un point d'honneur à cultiver l'horreur, sourds au cris de douleur d'un peuple qui meurt pour la sauvegarde de la race blanche. Et le cauchemar recommence. Les somnambules reculent, alerte à la démence, comme un hasard de l'histoire, le cauchemar recommence. Comment pourrais-je oublier quand, 50 ans plus tard, ressortais des placards le même vieux scénar'. On avait juste changé le nom des protagonistes, pour faire le vide, on ne dit plus génocide, mais purification ethnique, et on nous explique que l'on a rien à craindre et pas de temps à perdre, chacun sa merde ! A trop s'en foutre nous sommes devenus des lâches complices inactifs d'une nouvelle tâche. Dans les livres d'histoire quelques pages qu'on arrache, mais quelque part, dans notre mémoire se cachent les images d'un carnage qui reviennent en flash. Aujourd'hui un foyer d'immigrés incendié en Allemagne partout en Europe, en Italie comme en Espagne, ici, en France, c'est une évidence le cauchemar recommence Qui sera demain la cible des racistes irascibles ? Qui seront les coupables ? Qui seront les victimes ? Du même crime perpétué contre l'humanité qui devra prouver qu'il a le droit d'exister ? Qui pourra alors s'en foutre, devenir un lâche complice inactif d'une nouvelle tâche ? Qu'allons nous dire aux enfants quand ils ne comprendrons pas, comment nous aussi avons laissé faire ça, pour la sauvegarde de la race blanche ? Que le cauchemar recommence
02 Déc 2007, 19:00
Depuis des années déjà le poison est entré
Dans les cités dortoirs comme dans les beaux quartiers
Trop de meetings politiques deviennent des appels au meurtre
De nouvelles chemises brunes se déplacent en meute
J'en ai des sueurs froides, ils ont créé un parti
Politique infernal qui se fait beaucoup d'amis
Je vis dans un pays qui n'a plus de mémoire
Et qui jour après jour renie son histoire
Tu te prends pour un samouraï, pour un croisé en guerre
Avec ta batte de base-ball et ton pitt-bull de merde
Tu me fous la nausée quand j'aperçois ton blair
Tes yeux emplis de néant, ta haine au goût de bière
Au nom de la race, tu vomis une théorie
Aussi ignoble qu'erronée, petit Goebbels en treillis
De haine de frustration, tu n'es qu'un ramassis
Fasciste de base, tu es mon pire ennemi
Au nom de ces idées combien de bavures policières
Devront subir tous ceux qui ne répondent pas aux critères
Combien de colleurs d'affiches pourront encore de sang-froid
Abattre un gosse qui s'enfuyait déjà
Ne parlons même pas des 20% d'électeurs
Qui légalement déterrent Hitler de son bunker
Et qui par leur vote et leur ignorance
Sur un socle de boue bâtissent la Nouvelle France
Alors Ali l'Algérien, je suis de son côté
Hilario le Portugais, je suis de son côté
Fatima la Marocaine, je suis de son côté
Allou le Sénégalais, je suis de son côté
Le RMIste et le poète, je suis de leur côté
Le juif errant, le communiste, je suis de leur côté
L'anarchiste et l'immigré, je suis de leur côté
Le poivrot et le séropo, je suis de leur côté
Antiracist soldiers, we a de freedom fighters
Antiracist soldiers, we a go chase dem all
Le triste constat du trépas du souvenir du passé
Laisse à penser que l'horreur n'est pas encore enterrée
Que les leçons d'histoire apprises au Lycée
Certains les révisent du fond d'un asile d'aliénés
Au nom de la race dont nous ne faisons pas partie
Celle des furieux, des méchants, des fachos et des aigris
Au nom de ces idées combien de passages à tabac
Devront nous encore constater dans les commissariats
Et combien de misères et d'humiliations
Pour tous ceux qui n'ont pas les yeux bleus et le cheveu blond
Moi je comprends que certains potes aient envie de péter un plomb
D'aller dans la rue avec un gun et de faire un carton
Mais ceci étant dit et cette fois sans exagérer
Comment admettre que parce que ta peau est colorée
Que ce soit pour être embauché ou pour aller danser
La direction se réserve le droit d'entrée
Alors Ali l'Algérien, je suis de son côté
Hilario le Portugais, je suis de son côté
Fatima la Marocaine, je suis de son côté
Allou le Sénégalais, je suis de son côté
Le RMIste et le poète, je suis de leur côté
Le juif errant, le communiste, je suis de leur côté
L'anarchiste et l'immigré, je suis de leur côté
Le poivrot et le séropo, je suis de leur côté
Refrain
Et comme voilà revenus les vilains dans nos villes, gorgés de bile, emplis de venin qui s'en prennent aux fragiles d'une manière certes très habile : il est donc temps maintenant que tous les gens qui sont là comprennent que l'unité qu'il nous faut opposer est la seule solution pour les raisonner, les calmer, les bâcher, les jeter…
Nous n'en voulons pas…
Non, pas de rats, pas de tarbas, ils ne passeront pas!
Et comme on vous l'a dit et redit, maintes fois répété, depuis des années le poison est entré dans les cités dortoirs, les campagnes et les beaux quartiers en France et en Provence donc évidemment vous le comprendrez facilement, celle-ci est dédicacée :
A tous les jaunes, aux rebeus, aux renois, aux pédés,
A tous les blondinets, aux feujs et aux expulsés,
Aux ethnies exterminées, aux femmes brutalisées,
Aux squatters, aux sans-logis, à tous les déracinés,
Refrain
02 Déc 2007, 19:02
Lorsque les nazis sont venus
chercher les communistes
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas communiste.
Lorsque ils sont venus
chercher les socio-démocrates
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas social -démocrate.
Lorsque ils sont venus
chercher les syndicalistes.
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas syndicaliste
Lorsque ils sont venus
chercher les catholiques
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas catholique.
Lorsque ils sont venus
chercher les juifs
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas juif.
Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait plus personne
pour protester.
02 Déc 2007, 19:07
02 Déc 2007, 19:24
02 Déc 2007, 20:50
02 Déc 2007, 21:15
02 Déc 2007, 21:20
C - O - G - E - M - A
Nanananana nonono nananai
C - O - G - E - M - A
Nanananana nonono nananai
Adolf Nucléaire existe, il est français
Ça finit par un A, ça commence par un C
Ces enfoirés là exportent à l'étranger
Des tonnes de déchets plus ou moins irradiés
Et quand à la Hague on fait des vagues
Dans l'Mont Oural, il se passe que dalle
On y observe du monstre humain
D'une génétique du corps humain
Les rivières sont devenues des cimetières
Quant à la mer, elle... elle digère !
La COGEMA aime l'environnement
Elle fait des dons une fois par an
La COGEMA aime l'environnement
Elle fait des doooooooooons
La COGEMA aime l'environnement
Elle fait des dons une fois par an
La COGEMA aime l'environnement
Elle fait des doooooooooons
Adolf Nucléaire existe, il est français
Ça finit par un A, ça commence par un C
Mais dis-moi, COGEMA, est-ce que tu les vois,
Est-ce que tu les vois, les enfants d'là-bas ?
Moi, j'pense que oui,
Que la vie est bien loin de tes profits
Et que tout notre inconscient
Reviendra en un coup d'vent sur la gueule de nos enfants !
Adolf Nucléaire,
Tu nous tiens par les couilles
Mais peut être qu'un four solaire
Ira cuire ma tambouille
En attendant, j'gamberge,
Moi j'veux qu'ma terre se relève
Et toi t'auras ton procès
Quand on sera tous irradiés
Mais dis moi, COGEMA,
Qu'est-ce que tu feras,
Quand pour le présent
Il y aura plus d'temps ?
La COGEMA aime vos enfants
Elle fait des dons une fois par an
La COGEMA aime vos enfaaaaaaants
Elle fait des doooooooons
La COGEMA aime vos enfants
Elle fait des dons une fois par an
La COGEMA aime vos enfaaaaaaants
Elle fait des doooooooons
C - O - G - E - M - A
Nanananana nonono nananai
...
Face aux favellas des gens se prélassent
Je crois bien voir des gamins cirer leur godasses
Ce sont des américains
C'est chez eux que je me casse
Ce sont des américains
C'est chez eux que je me casse
Le lasse mes godasses
J'vais tenter ma chance chez
ceux d'en face
Car de Rio à Caracas
J'ai pas ma place, j'ai pas ma place
{Refrain:}
Peuple d'occident
Réveille toi réveille toi
Car le matin en déjeunant
C'est notre misère que tu bois
Peuple d'occident
Réveille toi réveille toi
Car si je me tiens maintenant
C'est pour te prendre ce que je n'ai pas
Peuple d'occident
Réveille toi réveille toi
C'est pas tes lois sur l'immigration
Qui m'empêcheront de venir chez toi
Peuple d'occident
Réveille toi réveille toi
C'est pas Le Pen ou Pasqua
Qui supprimeront la dette de nos états
Je suis né dans la misère
On m'a beaucoup parlé de vous
Le Français n'est pas une langue étrangère
Par chez nous
Mon père a quitté l'enfer
Il vit porte de Saint-Cloud
Il y fait des affaires
Il nous envoie des sous
Je mets mon futal
J'quitte mon Afrique natale
Ici j'ai pas l'moral, j'ai pas l'moral
{au Refrain}
Derrière ce vieux cimetière
Je vois mes frères
Ils surveillent le quartier
A l'aide de revolvers
Dedans c'est ma mère qu'on enterre
Les casques bleus n'ont rien pu faire
N'ont rien pu faire !
Je mets mon sac à dos
Y'en a marre de Sarajevo
Il parait que chez vous
Il y a encore des oiseaux
Et ouais, on a des nouveaux collèges
Collèges de l'impunité on va faire des bons élèves
Les enseignants s'ront armés,
Les classes en béton armé,
Quant à la cour de récré,
Conçue en fils barbelés.
Et ouais, enfin une nouvelle éducation
Travail, famille, patrie
Eduquons la nation
Vos gosses sont des Junkies
On les jette en prison
Ce sont de malpolis
Qu'ont des parents indécis
Et ouais, on prend des décisions
Les gens d'en bas sont mauvais en terme d'éducation
Puisqu'ils gèrent mal leurs mouflets
Puisqu'ils tiennent mal leur maison
On va leur sucrer
Les allocations
Allez fusillons les droits d'l'enfance
On avait trop avancé
Dans notre si jolie France
Enfermons les nouveaux nés
Avant qu'ils s'mettent à pleurer
Le calme c'est la santé
Faut pas s'laisser emmerder
Allez fusillons les droits d'l'enfance
Beaucoup de nos voisins,
En ont fait l'expérience
La prison fait du bien
Ca remet dans l'bon sens
Tu d'viendras un adulte
Sans passer l'adolescence
Allez fusillons les droits d'l'enfance
Augmentons l'temps d'travail
Diminuons les vacances
On va leur péter 20 chaînes de télévision
Ca va leur zapper
Leur envie d'rébellion
Allez fusillons les droits d'l'enfance
Augmentons l'temps d'travail
Diminuons les vacances
Faut qu'les parents bossent
Faut qu'les parents bossent
Pendant qu'la police
S'occupe de leurs gosses
Aller fusillons notre jeunesse
Fini les feignants
Remplis d'allégresse
Fini les rave party
Tout le monde au fitness
Le sport c'est la santé,
Les jeunes font qu'se droguer
Allez sortons le gouvernement
Impunité zéro
Pour notre président
Prison pour les ministres
Qui se sont augmentés
Pendant que la moitié du peuple
Se bat pour bouffer
Allez sortons le gouvernement
Impunité zéro
Pour notre président
Il est sûr'ment plus coupable
Que la misère des enfants
Qu'il veut enfermer
En bon dirigeant
Allez sortons le gouvernement
Il faut avancer
On est intelligent
On va user les pavés,
User les pavés, user les pavés
Et ils vont reculer
{x5:}
User les pavés,
User les pavés, user les pavés
Et ils vont reculer.
02 Déc 2007, 21:22
Psychoboy91 a écrit:J'ai eu envie de créer ce topic en lisant le denier post de Bobpanda dans dernières dépêches. Je me suis appercu que beaucoup d'Omliver citaient des textes de chansons, de livres ou même des citations qui les touchaient ou imageait un sentiment ou une situation donnée. Et je me suis pourquoi pas pas les recueillir.
PS: Les artistes de droite sont bien entendu autorisé a être cité (M. Sardou, D. Barbelivien, E. Macias...) .
04 Jan 2008, 13:02
Pauvre de nous
Massilia sound System
les paroles sans le patois (bref, un peu chamboulé de son ordre initial)
En un clin d'oeil sur ta télé
tu pourras compter cent bordilles
Ils nous feraient bien rigoler
S'ils ne faisaient que des broutilles
Ils masquent la réalité
Ils imposent leur vérité
Toujours fuyants comme l'anguille.
Ces salauds ne font que tricher
pour mieux récupérer leurs billes
Mais leur savoir est plus étroit
encore que le chas d'une aiguille
Ils nous empêchent de penser
Seraient prêts à jouer les bouchers
De peur que leur secte vacille
Refrain
Pauvre de nous, peuple si faible,
Mais où est donc, passée la plèbe ?
N'y a-t-il plus, que des bourgeois,
Et qui désirent, tout ce qu'ils voient ?
Il y en a plein qui achètent un moulon de Sicav,
Des obligation stet des actions à Paribas
Un lingot ou deux cachés au fond de la cave
Des napoléons et puis encore je ne sais quoi
On rêve tous de cabriolets de Mercedes
Et de posséder un belle et grande villa
Pleine de champagne et de superbes gonzesses
Habillées par Chanel, Dior et puis Cahantal Thomas
Pleines de seins, plaines de fesses
Et qui ressemblent, à Pamela
On voudrait tous être Bill Gate et Bill Clinto et Monica.
Quand vient le samedi à tous les coups c'est la grand messe
de la consommation au supermarché de son choix :
On a fait des achets mais quand on arrive à la caisse
Malheureusement on fait souvent des chèques en bois
Les riches sans vergogne augmentent leurs richesse
Toi pauvre couillon tu t'en apercois pas !
Les politiciciens, sont à l'aise, Pour magouiller, à tour de bras
Et c'est toujours, le plus balèze, qui du plus faible, brise les doigts
04 Jan 2008, 13:18