25 Sep 2007, 13:45
de toute façon ceux qui trainent la journée sur omlive c'est qu'ils glandent au taff
25 Sep 2007, 13:46
ceux qui taffent pas aussi glandage powaaaaaaaaaa 
glandage powaaaaaaaaaa
25 Sep 2007, 13:47
oui
17 Oct 2007, 17:50
"De l’effet pervers des classements" par le directeur du Groupe Sup de Co Amiens
De l’effet pervers des classements...
Si nul ne doute de l’intérêt des classements et autres comparaisons, encore faut-il en mesurer pleinement les effets et particulièrement ceux, pervers, que ne manquent pas de créer une telle démarche :
1. Effet pervers n°1 : « Big is beautiful »
La méthodologie retenue favorise incontestablement les « grosses » écoles puisque les résultats ne sont pas pondérés par des variables telles que l’effectif étudiant par exemple ou la diversité des filières. Dis autrement, le critère « nombre d’anciens » favorise incontestablement les écoles de grande taille, établies de longue date. De même le critère « nombre de publications » d’un corps professoral qui sert de nombreux programmes autres que celui de Master donne un avantage non négligeable à ces mêmes institutions par rapport aux établissements qui sont principalement focalisés sur cette filière. Une telle démarche revient à dire que Renault fabrique de bien meilleures voitures que Bentley...
2. Effet pervers n°2 : « Publish or perish »
Tout doyen ou enseignant chercheur connaît cet adage qui entraîne une focalisation outrancière sur les travaux académiques au détriment de la compréhension des organisations et de leur modèle académique. Il suffit de traverser l’atlantique pour comprendre que l’expérience du terrain se doit d’être mieux valorisée. A titre personnel, mes 25 ans d’expérience du management des ressources humaines au sein des plus grandes organisations mondiales du monde de l’informatique me donne probablement un certain crédit. Pourtant avoir managé 28 000 personnes dans 30 pays différents ne pèse rien face à un article dans une revue que la quasi totalité des professionnels RH ne liront jamais..
3. Effet pervers n°3 : « What is important is the belief, not the accuracy »
23e l’an dernier, 35e cette année : la cause est entendue. Le classement sera affiché dans les écoles, les classes préparatoires, les universités et les candidats aux écoles de management ne retiendront que ces deux chiffres. Combien de fois ai-je entendu la question « quel est le rang de votre école ? », question qui tombe dans la même rubrique franco-française que celle de l’âge ou du diplôme d’origine. Aucun commentaire, aucune explication ne viendra atténuer le poids manichéen de la liste. Le mal est fait et il contribue d’autant à la fonte des « petits ».
4. Effet pervers n°4 : « The added value »
De manière intéressante, un tel classement donne une excellente position à des écoles de bas de tableau qui démontrent, malgré leur place, qu’elles « produisent » des diplômés qui sont recrutés au même salaire que beaucoup d’autres issus d’écoles « mieux » classées. Si le vrai critère, qui est celui de la valeur ajoutée au cours des trois ans, était pris en compte, il ne serait pas impossible que les derniers deviennent les premiers.
5. Effet pervers n°5 : « Judge me by my future »
Notre école a recruté ou est en passe de recruter de nombreux enseignants chercheurs portant leur nombre à 25, ce qui, pour une institution telle que la nôtre, est loin d’être négligeable. Où sont-ils dans les classements ? Les efforts consentis par beaucoup d’écoles sont passés sous silence. Eternel problème du reporting, tombé en désuétude dans beaucoup d’organisations au profit du tableau de bord prospectif qui allie ressources humaines, clients, finances et organisation, le premier vous disant ce qui s’est passé, le second ce qui va se passer..
6. Effet pervers n°6 : « the Brain and the Hart »
“Crois en moi, ma sœur, dit le cœur à l’intelligence, je suis immortel, je sens Dieu. Prouve lui dit l’intelligence ! » Un classement est par définition restrictif et vous amène à passer sous silence de nombreux indicateurs. Qu’en est-il du ratio étudiants/enseignants, gage de proximité et d’écoute ? Quid des indicateurs de la diversité tel que le nombre d’enseignants non-Français, générateur d’ouverture et de meilleure compréhension du monde ? Comment mesure t-on la culture générale apportée aux étudiants, apportée par les séminaires de créativité et les conférences ?
7. Effet pervers n°7 : « Karaoke capitalism »
Les critères sont connus, les pondérations aussi, les règles du jeu également, il ne reste plus aux écoles qu’à se conformer au modèle. Nous aurons donc demain des institutions identiques puisqu’aucun des critères n’intègre la différence et la diversité, entrainant finalement les institutions éducatives dans un benchmarking réducteur. Vive le « Karaoke capitalism »...
En conclusion, de tels classements sont les métaphores de l’élitisme français, ne laissant que peu de place à ce qui fait la vrai richesse : la diversité, la différence, l’atypisme, la volonté de construire un monde un peu différent de ce qu’il est aujourd’hui. Confondant les moyens avec les objectifs ; on ne parle plus de ce qui est important, le fait que les étudiants trouvent l’emploi qui leur convient, dans lequel ils s’épanouissent, se révèlent et sont heureux. Imagine t-on Martin Luther King disant non qu’il a un rêve mais un Business plan à 5 ans ?
Par Jean-Louis Mutte, directeur du Groupe Sup de Co Amiens.
(1)“Grand est beau” philosophie organisationnelle qui a prévalu longtemps sans avoir démontré son indiscutable supériorité.
(2)“Publier ou mourir” tendance forte dans les écoles et les universités à ne fonder la valeur et le potentiel d’un enseignant plus sur sa production d’articles que sur la valeur ajoutée dans son enseignement.
(3)“Ce qui est important c’est l’apparence, non la réalité” phénomène bien connu que la télévision sait parfaitement exploiter.
(4)“La valeur ajoutée”.
(5)“Jugez moi par mon futur” expression favorite de Dave Ulrich, professeur et expert des RH, commentant la démarche du tableau de bord prospectif ou Balanced Scorecard.
(6)“Le coeur et la raison” poème de Sully Prudhomme, prix Nobel de littérature.
(7) “le capitalisme karaoke” livre de Jonas Ridderstrale et Knell Nordstrom décrivant l’empathie des entreprises à faire la même chose que leur voisin, souvent en moins bien.
De l’effet pervers des classements...
Si nul ne doute de l’intérêt des classements et autres comparaisons, encore faut-il en mesurer pleinement les effets et particulièrement ceux, pervers, que ne manquent pas de créer une telle démarche :
1. Effet pervers n°1 : « Big is beautiful »
La méthodologie retenue favorise incontestablement les « grosses » écoles puisque les résultats ne sont pas pondérés par des variables telles que l’effectif étudiant par exemple ou la diversité des filières. Dis autrement, le critère « nombre d’anciens » favorise incontestablement les écoles de grande taille, établies de longue date. De même le critère « nombre de publications » d’un corps professoral qui sert de nombreux programmes autres que celui de Master donne un avantage non négligeable à ces mêmes institutions par rapport aux établissements qui sont principalement focalisés sur cette filière. Une telle démarche revient à dire que Renault fabrique de bien meilleures voitures que Bentley...
2. Effet pervers n°2 : « Publish or perish »
Tout doyen ou enseignant chercheur connaît cet adage qui entraîne une focalisation outrancière sur les travaux académiques au détriment de la compréhension des organisations et de leur modèle académique. Il suffit de traverser l’atlantique pour comprendre que l’expérience du terrain se doit d’être mieux valorisée. A titre personnel, mes 25 ans d’expérience du management des ressources humaines au sein des plus grandes organisations mondiales du monde de l’informatique me donne probablement un certain crédit. Pourtant avoir managé 28 000 personnes dans 30 pays différents ne pèse rien face à un article dans une revue que la quasi totalité des professionnels RH ne liront jamais..
3. Effet pervers n°3 : « What is important is the belief, not the accuracy »
23e l’an dernier, 35e cette année : la cause est entendue. Le classement sera affiché dans les écoles, les classes préparatoires, les universités et les candidats aux écoles de management ne retiendront que ces deux chiffres. Combien de fois ai-je entendu la question « quel est le rang de votre école ? », question qui tombe dans la même rubrique franco-française que celle de l’âge ou du diplôme d’origine. Aucun commentaire, aucune explication ne viendra atténuer le poids manichéen de la liste. Le mal est fait et il contribue d’autant à la fonte des « petits ».
4. Effet pervers n°4 : « The added value »
De manière intéressante, un tel classement donne une excellente position à des écoles de bas de tableau qui démontrent, malgré leur place, qu’elles « produisent » des diplômés qui sont recrutés au même salaire que beaucoup d’autres issus d’écoles « mieux » classées. Si le vrai critère, qui est celui de la valeur ajoutée au cours des trois ans, était pris en compte, il ne serait pas impossible que les derniers deviennent les premiers.
5. Effet pervers n°5 : « Judge me by my future »
Notre école a recruté ou est en passe de recruter de nombreux enseignants chercheurs portant leur nombre à 25, ce qui, pour une institution telle que la nôtre, est loin d’être négligeable. Où sont-ils dans les classements ? Les efforts consentis par beaucoup d’écoles sont passés sous silence. Eternel problème du reporting, tombé en désuétude dans beaucoup d’organisations au profit du tableau de bord prospectif qui allie ressources humaines, clients, finances et organisation, le premier vous disant ce qui s’est passé, le second ce qui va se passer..
6. Effet pervers n°6 : « the Brain and the Hart »
“Crois en moi, ma sœur, dit le cœur à l’intelligence, je suis immortel, je sens Dieu. Prouve lui dit l’intelligence ! » Un classement est par définition restrictif et vous amène à passer sous silence de nombreux indicateurs. Qu’en est-il du ratio étudiants/enseignants, gage de proximité et d’écoute ? Quid des indicateurs de la diversité tel que le nombre d’enseignants non-Français, générateur d’ouverture et de meilleure compréhension du monde ? Comment mesure t-on la culture générale apportée aux étudiants, apportée par les séminaires de créativité et les conférences ?
7. Effet pervers n°7 : « Karaoke capitalism »
Les critères sont connus, les pondérations aussi, les règles du jeu également, il ne reste plus aux écoles qu’à se conformer au modèle. Nous aurons donc demain des institutions identiques puisqu’aucun des critères n’intègre la différence et la diversité, entrainant finalement les institutions éducatives dans un benchmarking réducteur. Vive le « Karaoke capitalism »...
En conclusion, de tels classements sont les métaphores de l’élitisme français, ne laissant que peu de place à ce qui fait la vrai richesse : la diversité, la différence, l’atypisme, la volonté de construire un monde un peu différent de ce qu’il est aujourd’hui. Confondant les moyens avec les objectifs ; on ne parle plus de ce qui est important, le fait que les étudiants trouvent l’emploi qui leur convient, dans lequel ils s’épanouissent, se révèlent et sont heureux. Imagine t-on Martin Luther King disant non qu’il a un rêve mais un Business plan à 5 ans ?
Par Jean-Louis Mutte, directeur du Groupe Sup de Co Amiens.
(1)“Grand est beau” philosophie organisationnelle qui a prévalu longtemps sans avoir démontré son indiscutable supériorité.
(2)“Publier ou mourir” tendance forte dans les écoles et les universités à ne fonder la valeur et le potentiel d’un enseignant plus sur sa production d’articles que sur la valeur ajoutée dans son enseignement.
(3)“Ce qui est important c’est l’apparence, non la réalité” phénomène bien connu que la télévision sait parfaitement exploiter.
(4)“La valeur ajoutée”.
(5)“Jugez moi par mon futur” expression favorite de Dave Ulrich, professeur et expert des RH, commentant la démarche du tableau de bord prospectif ou Balanced Scorecard.
(6)“Le coeur et la raison” poème de Sully Prudhomme, prix Nobel de littérature.
(7) “le capitalisme karaoke” livre de Jonas Ridderstrale et Knell Nordstrom décrivant l’empathie des entreprises à faire la même chose que leur voisin, souvent en moins bien.
17 Oct 2007, 20:10
Que faire après le bac??
si on s'appel manel on se reinscrit pour l'année suivant
17 Oct 2007, 20:26
sonny, 
de
de
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:05
Je sais c'est la remontée de topic improbable! 
Voilà j'expose mon problème (même si ça va peut être intéresser personne ):
après un Bac Es brillament obtenu (enfin 13 et quelques quoi ) sans avoir jamais redoublé,j'ai décidé de faire des études de droit.
Mais là malheur je découvre que cela ne me plaît pas!
J'aimerais donc me réorienter pour l'année d'après mais je n'arrive pas à trouver quelque chose qui m'interesserait...
Les secteurs qui m'interessent sont la finance,l'immobilier...enfin un peu tout d'où mon indécision!
Si quelqu'un a des idées d'études à suivre après le bac,si possible près de Aix ça me ferait plaisir!
Si personne n'a d'idée (ou ne veut me répondre) ce topic retombera dans les bas-fonds d'Omlive!
Voilà j'expose mon problème (même si ça va peut être intéresser personne
):après un Bac Es brillament obtenu (enfin 13 et quelques quoi
) sans avoir jamais redoublé,j'ai décidé de faire des études de droit.Mais là malheur je découvre que cela ne me plaît pas!
J'aimerais donc me réorienter pour l'année d'après mais je n'arrive pas à trouver quelque chose qui m'interesserait...
Les secteurs qui m'interessent sont la finance,l'immobilier...enfin un peu tout d'où mon indécision!
Si quelqu'un a des idées d'études à suivre après le bac,si possible près de Aix ça me ferait plaisir!
Si personne n'a d'idée (ou ne veut me répondre
) ce topic retombera dans les bas-fonds d'Omlive!
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:09
killerdemars, je compatis. J'avoue que si je n'avais pas eu mon concours d'archi, je ne sais pas ce que j'aurai foutu, je n'avais pas de 2nd choix
T'as plein de bouquins sur des métiers dont tu ne soupçonnerais même pas l'existence
T'as plein de bouquins sur des métiers dont tu ne soupçonnerais même pas l'existence
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:12
la femme de l autre a écrit:killerdemars, je compatis. J'avoue que si je n'avais pas eu mon concours d'archi, je ne sais pas ce que j'aurai foutu, je n'avais pas de 2nd choix
T'as plein de bouquins sur des métiers dont tu ne soupçonnerais même pas l'existence
Déjà merci de me répondre car j'attendais plus des "il fait froid ici"...
Ensuite je sais qu'il y a des livres sur les métiers mais justement mon gros souci c'est que je n'ai aucune idée de ce que je veux faire,pourtant j'ai toujours eu d'excelents résultats...
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:14
Je t'en prie
Dans l'immobilier et la finance, t'as quoi comme métier? C'est vaste non? Pas du tout de préférence?
Dans l'immobilier et la finance, t'as quoi comme métier? C'est vaste non? Pas du tout de préférence?
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:18
la femme de l autre a écrit:Je t'en prie
Dans l'immobilier et la finance, t'as quoi comme métier? C'est vaste non? Pas du tout de préférence?
Je ne connais pas nécessairement tous les métiers de ces branches,mais par exemple agent immobilier ou conseiller financier sont des métiers de ces secteurs qui m'intéressent!
Mais je ne suis pas borné à ces métiers là...
De ne pas savoir du tout ce que je vais faire,qu'est ce que c'est chiant!
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:20
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:20
killerdemars a écrit:la femme de l autre a écrit:killerdemars, je compatis. J'avoue que si je n'avais pas eu mon concours d'archi, je ne sais pas ce que j'aurai foutu, je n'avais pas de 2nd choix
T'as plein de bouquins sur des métiers dont tu ne soupçonnerais même pas l'existence
Déjà merci de me répondre car j'attendais plus des "il fait froid ici"...
Ensuite je sais qu'il y a des livres sur les métiers mais justement mon gros souci c'est que je n'ai aucune idée de ce que je veux faire,pourtant j'ai toujours eu d'excelents résultats...
Pour la finance faut avoir de très bonnes notes en maths venant d'ES. Sinon t'inquiète pas, je connais beaucoup de gens qui ne savent pas quoi faire après un bac +5
Enfin c'est déjà bien que tu poses la question en janvier alors que tu dois déposer les dossiers
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:24
il y a aussi un truc pas mal, ça s'appelle le rmi
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:27
Merci pour le site Loursin,et peops je sais qu'il faut que je m'y prenne tôt pour les dossiers c'est pour ça que je commence maintenant à chercher ma voie!
Par contre c'est justement pas pour finir au Rmi ou ne pas savoir quoi faire après un Bac +5 que je réfléchis à la voie la plus intéressante pour moi! 
Par contre c'est justement pas pour finir au Rmi
ou ne pas savoir quoi faire après un Bac +5 que je réfléchis à la voie la plus intéressante pour moi!
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:44
bon la flemme de tout lire, si ca se trouve ma reponse est deja plus d'actualite, mais pour revenir sur les esc hec etc
mon conseil: IUT! voire meme certains IUP apres.
Moi j;'ai fait un IUT Tech de Co, triple avantage par rapport a la prepa:
- tu as un diplome
- les admissions paralleles marchent bien (mais sont plus difficiles si tu vises les 3 4 meilleures ecoles francaises)
- tu peux faire un erasmus et ca ca vaut tous les plaisirs du monde (sans compter le ou les stages que tu peux faire a l'etranger aussi)
Apres libre a toi d'integrer une esc en parralele.
Moi c'est ce que j'ai fait et du coup, j'ai eu le bol de faire un erasmus en hollande, un stage en angleterre, et en esc un semestre et un stage au mexique.
C'est quand meme plus cool que se taper 2 ans de prepa a se faire chier.
Encore une fois si tu comptes faire HEC ou les toutes meilleures, les admissions paralleles je pense que c'est tendu.
Toutes facons, tout ca c'est de la masturbation franco francaise, parce que au point de vue international, que tu aies fait l'esc chambery ou HEC, c'est praeil, ils s'en foutent.
ENfin faut savoir aussi que le but, c'est quand meme de trouver un bon job a la sortie, en esc (quelque soit celle dans laquelle tu te trouves) on va te repeter pendant des annees qu'en sortant tu palpes, tu as un super boulot etc... et on va te sortir tous les anciens diplomes qui ont reussi. Ce qu'il faut savoir, c'est que le marche est pas extensible et ce qui compte si tu fais pas les toutes meilleures ecoles, c'est de faire des bons stages, pour pouvoir etre embauche des ta sortie, et pas peter plus haut que son cul en etant persuade que tu vas direct avoir le taf dont tout le monde reve.
Les jeunes diplomes d'esc qui petent plus haut que leur cul et veulent tout de suite palper et faie LE job, on les repere a des km. Certains petits cons y arrivent, mais sache que yen a aussi pas mal qui se plantent et galerent un ptit bout de temps. Et ca personne te le dira.
Donc, faire gaffe et pas chopper la grosse tete.
mon conseil: IUT! voire meme certains IUP apres.
Moi j;'ai fait un IUT Tech de Co, triple avantage par rapport a la prepa:
- tu as un diplome
- les admissions paralleles marchent bien (mais sont plus difficiles si tu vises les 3 4 meilleures ecoles francaises)
- tu peux faire un erasmus et ca ca vaut tous les plaisirs du monde (sans compter le ou les stages que tu peux faire a l'etranger aussi)
Apres libre a toi d'integrer une esc en parralele.
Moi c'est ce que j'ai fait et du coup, j'ai eu le bol de faire un erasmus en hollande, un stage en angleterre, et en esc un semestre et un stage au mexique.
C'est quand meme plus cool que se taper 2 ans de prepa a se faire chier.
Encore une fois si tu comptes faire HEC ou les toutes meilleures, les admissions paralleles je pense que c'est tendu.
Toutes facons, tout ca c'est de la masturbation franco francaise, parce que au point de vue international, que tu aies fait l'esc chambery ou HEC, c'est praeil, ils s'en foutent.
ENfin faut savoir aussi que le but, c'est quand meme de trouver un bon job a la sortie, en esc (quelque soit celle dans laquelle tu te trouves) on va te repeter pendant des annees qu'en sortant tu palpes, tu as un super boulot etc... et on va te sortir tous les anciens diplomes qui ont reussi. Ce qu'il faut savoir, c'est que le marche est pas extensible et ce qui compte si tu fais pas les toutes meilleures ecoles, c'est de faire des bons stages, pour pouvoir etre embauche des ta sortie, et pas peter plus haut que son cul en etant persuade que tu vas direct avoir le taf dont tout le monde reve.
Les jeunes diplomes d'esc qui petent plus haut que leur cul et veulent tout de suite palper et faie LE job, on les repere a des km. Certains petits cons
y arrivent, mais sache que yen a aussi pas mal qui se plantent et galerent un ptit bout de temps. Et ca personne te le dira.Donc, faire gaffe et pas chopper la grosse tete.
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:46
et sinon, si moi j'etais bachelier aujourdhui, je m'orienterais vers les metiers de l'environnement (autant niveau scientifique que business)
Ca va etre le moteur de la croissance dans les annees voire les decennies qui viennent.
Ya qu'a voir les maisons ecologiques avec economie d'energie aujourdhui comment ca explose.
Ca va etre le moteur de la croissance dans les annees voire les decennies qui viennent.
Ya qu'a voir les maisons ecologiques avec economie d'energie aujourdhui comment ca explose.
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:50
J'ai pas trop lu, mais tu veux faire quoi ?
Afin de te permettre d'élargir ton horizon, je te conseille une école de commerce et de choisir une option en dernière année : marketing, com', finance etc
Après, tout dépend de ce que tu veux faire dans la finance, mais à Dauphine, sur Paris, c'est bien coté.
Afin de te permettre d'élargir ton horizon, je te conseille une école de commerce et de choisir une option en dernière année : marketing, com', finance etc
Après, tout dépend de ce que tu veux faire dans la finance, mais à Dauphine, sur Paris, c'est bien coté.
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:53
kenny a écrit:et sinon, si moi j'etais bachelier aujourdhui, je m'orienterais vers les metiers de l'environnement (autant niveau scientifique que business)
Ca va etre le moteur de la croissance dans les annees voire les decennies qui viennent.
Ya qu'a voir les maisons ecologiques avec economie d'energie aujourdhui comment ca explose.
Et des études courtes, quand on voit le nombre d'année qu'il faut cotiser :/
Re: Que faire après le bac?? :-k
20 Jan 2008, 23:54
Merci pour tes deux messages,déjà pour le premier concernant l'IUT,l'année dernière j'ai déposé un dossier à l'IUT d'Aix en Tech de Co et même dans l'autre branche plus difficile d'accès (je me rappelle plus du nom,c'était genre patron d'entreprise ou je ne sais quoi. 
) et j'ai été accepté!
Mais,en visitant cette même IUT j'ai décidé de ne pas y aller pour différentes raisons comme le fait de rester toute l'année avec les mêmes personnes comme au lycée,on n'est toujours sur ton dos...enfin peut être ai-je fait une erreur mais le mode de fonctionnement ne semblait pas me correspondre.
Pour ton deuxieme post c'est vrai que cette branche est interressante mais trouver autre chose qu'une IUT pour faire des études dans ce domaine vers Aix cela doit être chaud!
) et j'ai été accepté!Mais,en visitant cette même IUT j'ai décidé de ne pas y aller pour différentes raisons comme le fait de rester toute l'année avec les mêmes personnes comme au lycée,on n'est toujours sur ton dos...enfin peut être ai-je fait une erreur mais le mode de fonctionnement ne semblait pas me correspondre.
Pour ton deuxieme post c'est vrai que cette branche est interressante mais trouver autre chose qu'une IUT pour faire des études dans ce domaine vers Aix cela doit être chaud!