Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
09 Avr 2011, 07:43
Rire un peu jaunâtre en effet...
On est entrés avec cette "révolution arabe" dans une période d'incertitude plus élevée que d'habitude pour le pays. Le départ forcé de Moubarak (qui respectait les accords entre les 2 pays), les mouvements en Syrie, la Libye (tiens on en parle moins ces derniers jours), la nouvelle donne en Tunisie, à celà ajouter les relations tendues avec la Turquie (un allié depuis des décennies) et un soutien moins ferme et inconditionnel des US depuis l'arrivée d'Obama...
On ne peut que se réjouir de la fin de ces dictatures/oligarchies et espérer une arrivée progressive d'une forme de démocratie dans ces pays (en tous cas de ses éléments fondamentaux tels que la liberté d'expression (et de religion), liberté de la presse et des media (pas vrai Sarko), le droit de vote pour tous/toutes, de vraies élections libres avec plusieurs candidats/projets, la liberté de se déplacer, de s'éduquer, de travailler mais ça c'est gagné nulle part, etc...).
Mais cette période de transition, dans un monde qui peine à sortir d'une crise financière puis économique sans précédent (et on est encore bien dedans, demandez à la Grèce et au Portugal entre autres), est aussi et logiquement pleine d'incertitudes. Perso je ne suis pas inquiet "plus que nécessaire" pour l'instant, mais àma les risques sont bien présents, et je crois que sans un infléchissement de la politique israëlienne, notamment sur l'augmentation du nombre de colonies et sur la vie rendue inutilement difficile (euphémisme) pour beaucoup de palestiniens ces risques sont là pour perdurer.
Bon ce post aurait sans doute plus sa place dans le topac Actus Monde, mais au final la santé économique des pays concernés va aussi jouer un grand rôle dans la stabilité de la région - plus qu'avant vu que c'est surtout le compte en banque des dictateurs en place qui comptait, le peuple qui crève lui chi se ne frega?
On est entrés avec cette "révolution arabe" dans une période d'incertitude plus élevée que d'habitude pour le pays. Le départ forcé de Moubarak (qui respectait les accords entre les 2 pays), les mouvements en Syrie, la Libye (tiens on en parle moins ces derniers jours), la nouvelle donne en Tunisie, à celà ajouter les relations tendues avec la Turquie (un allié depuis des décennies) et un soutien moins ferme et inconditionnel des US depuis l'arrivée d'Obama...
On ne peut que se réjouir de la fin de ces dictatures/oligarchies et espérer une arrivée progressive d'une forme de démocratie dans ces pays (en tous cas de ses éléments fondamentaux tels que la liberté d'expression (et de religion), liberté de la presse et des media (pas vrai Sarko), le droit de vote pour tous/toutes, de vraies élections libres avec plusieurs candidats/projets, la liberté de se déplacer, de s'éduquer, de travailler mais ça c'est gagné nulle part, etc...).
Mais cette période de transition, dans un monde qui peine à sortir d'une crise financière puis économique sans précédent (et on est encore bien dedans, demandez à la Grèce et au Portugal entre autres), est aussi et logiquement pleine d'incertitudes. Perso je ne suis pas inquiet "plus que nécessaire" pour l'instant, mais àma les risques sont bien présents, et je crois que sans un infléchissement de la politique israëlienne, notamment sur l'augmentation du nombre de colonies et sur la vie rendue inutilement difficile (euphémisme) pour beaucoup de palestiniens ces risques sont là pour perdurer.
Bon ce post aurait sans doute plus sa place dans le topac Actus Monde, mais au final la santé économique des pays concernés va aussi jouer un grand rôle dans la stabilité de la région - plus qu'avant vu que c'est surtout le compte en banque des dictateurs en place qui comptait, le peuple qui crève lui chi se ne frega?
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
09 Avr 2011, 07:47
Tiens à propos de sortie de crise... le gouv US a été à 2 doigts d'avoir un "shutdown" complet faute d'accord sur les fortes restrictions budgétaires rendues nécessaires par un endettement galopant du pays (et une planche à billets qui nonobstant@Diouf continue de fonctionner à plein tube - mm si les Ricains ont bien noté la relevitude des taux Européens par la BCE l'autre jour, une indication pour certains que la planche à billet ferait bien d'être arrêtée avant le point de non retour).
Je pense qu'il faut insister sur la signification de tout ça. L'endettement d'un pays comme les US, c'est une épée de Damoclès sur la stabilité au niveau planétaire à plus ou moins long terme, c'est hypothéquer le futur de nos enfants avec une menace bien réelle d'en arriver à une situation où la fuite en avant n'a plus qu'une seule issue. Pas besoin de faire un dessin je crois.
Pour le "fun"
http://www.usdebtclock.org/
Bon la news qd mm ^^ :
Je pense qu'il faut insister sur la signification de tout ça. L'endettement d'un pays comme les US, c'est une épée de Damoclès sur la stabilité au niveau planétaire à plus ou moins long terme, c'est hypothéquer le futur de nos enfants avec une menace bien réelle d'en arriver à une situation où la fuite en avant n'a plus qu'une seule issue. Pas besoin de faire un dessin je crois.
Pour le "fun"
http://www.usdebtclock.org/Bon la news qd mm ^^ :
Information
Un accord budgétaire a été trouvé US
Auj. à 08:21
Un accord budgétaire a été trouvé : les coupes seront "douloureuses"
Le président Barack Obama a reconnu que l'accord budgétaire conclu de justesse avec ses adversaires républicains vendredi soir serait synonyme de coupes "douloureuses". Il a toutefois estimé que les Etats-Unis devaient vivre selon leurs moyens. Cet accord permet d'éviter la paralysie des services publics ("shutdown")
Un accord a été trouvé aux Etats-Unis entre le président Barack Obama et les dirigeants démocrates et républicains du Congrès au sujet du budget, ont indiqué samedi les deux partis. Cet accord évitera une paralysie des services publics ("shutdown").
"Dans les dernières heures avant une paralysie forcée de notre gouvernement, les dirigeants des deux partis (démocrate et républicain, NDLR) sont parvenus à un accord" sur le budget, a confirmé M. Obama lors d'une allocution à la Maison Blanche.
"Comme dans tout compromis valable, les deux parties ont dû prendre des décisions difficiles et céder sur des questions qui étaient importantes pour elles", a ajouté le président à l'issue d'une journée de suspense sur la poursuite ou non des opérations gouvernementales de la première puissance mondiale après vendredi minuit (samedi 06H00 heure suisse).
"Et cela a été le cas pour moi. Certaines coupes seront douloureuses. Des programmes desquels les gens dépendent seront réduits. Des infrastructures nécessaires seront retardées. Et je n'aurais pas effectué ces coupes dans de meilleures circonstances", a-t-il souligné.
"Mais vivre selon nos moyens est la seule façon dont nous pourrons protéger les investissements qui rendront les Etats-Unis compétitifs", a ajouté le président.
L'annonce, faite parallèlement par un porte-parole de Harry Reid, le chef de la majorité démocrate au Sénat et par le président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, survient alors que la date-butoir pour trouver un accord était fixée à minuit (6h00 heure suisse).
Auj. à 08:21
Un accord budgétaire a été trouvé : les coupes seront "douloureuses"
Le président Barack Obama a reconnu que l'accord budgétaire conclu de justesse avec ses adversaires républicains vendredi soir serait synonyme de coupes "douloureuses". Il a toutefois estimé que les Etats-Unis devaient vivre selon leurs moyens. Cet accord permet d'éviter la paralysie des services publics ("shutdown")
Un accord a été trouvé aux Etats-Unis entre le président Barack Obama et les dirigeants démocrates et républicains du Congrès au sujet du budget, ont indiqué samedi les deux partis. Cet accord évitera une paralysie des services publics ("shutdown").
"Dans les dernières heures avant une paralysie forcée de notre gouvernement, les dirigeants des deux partis (démocrate et républicain, NDLR) sont parvenus à un accord" sur le budget, a confirmé M. Obama lors d'une allocution à la Maison Blanche.
"Comme dans tout compromis valable, les deux parties ont dû prendre des décisions difficiles et céder sur des questions qui étaient importantes pour elles", a ajouté le président à l'issue d'une journée de suspense sur la poursuite ou non des opérations gouvernementales de la première puissance mondiale après vendredi minuit (samedi 06H00 heure suisse).
"Et cela a été le cas pour moi. Certaines coupes seront douloureuses. Des programmes desquels les gens dépendent seront réduits. Des infrastructures nécessaires seront retardées. Et je n'aurais pas effectué ces coupes dans de meilleures circonstances", a-t-il souligné.
"Mais vivre selon nos moyens est la seule façon dont nous pourrons protéger les investissements qui rendront les Etats-Unis compétitifs", a ajouté le président.
L'annonce, faite parallèlement par un porte-parole de Harry Reid, le chef de la majorité démocrate au Sénat et par le président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, survient alors que la date-butoir pour trouver un accord était fixée à minuit (6h00 heure suisse).
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
12 Avr 2011, 23:01
Speakin' of which...
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USA: le déficit budgétaire a quasi triplé en mars
(AFP) – Il y a 3 heures
WASHINGTON — Le déficit budgétaire de l'Etat fédéral américain a quasi triplé au mois de mars, selon des chiffres publiés mardi à Washington par le Trésor des Etats-Unis.
Le solde négatif des finances publiques s'est établi à 188,153 milliards de dollars pour ce sixième mois de l'exercice budgétaire 2011, entamé le 1er octobre, soit 2,9 fois plus qu'en mars 2010.
Avec ce nouveau déficit, globalement conforme à la prévision médiane des analystes, les finances de l'Etat fédéral sont restées dans le rouge pour le trentième mois d'affilée.
Les recettes de l'Etat (150,894 milliards de dollars) ont reculé de 2% sur un an - mettant ainsi fin à dix mois consécutifs de hausse. Les dépenses ont augmenté parallèlement de 55% pour s'établir à 339,047 milliards de dollars.
Le mois de mars 2010 avait été marqué par un événement exceptionnel (une révision à la baisse du coût du plan de stabilisation de la finance) qui avait réduit les dépenses d'environ 115 milliards de dollars.
Le déficit annoncé mardi arrive en deuxième position après le record de quelque 192 milliards pour un mois de mars établi en 2009.
Le déficit budgétaire des Etats-Unis avait atteint en février un record mensuel absolu de 222,5 milliards de dollars.
A 829,410 milliards de dollars, le déficit du premier semestre de l'exercice 2011 apparaît en hausse de 16% par rapport à la même période de l'année budgétaire précédente.
La Maison Blanche a indiqué en février qu'elle tablait sur un déficit record de 1.645 milliards de dollars pour l'ensemble de l'exercice en cours, soit 10,9% du PIB, niveau qui n'a plus été atteint depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Le Fonds monétaire international (FMI) a exhorté lundi les Etats-Unis à ne pas laisser filer le déficit cette année affirmant que les perspectives budgétaires "intenables" du pays plaidaient "pour un acompte en faveur d'un rééquilibrage du budget dès cette année".
Les pays développés membres du Groupe des Vingt (G20) se sont engagés en 2009 à diviser leur déficit budgétaire par deux entre 2010 et 2013, mais le FMI pense que cet objectif sera très difficilement atteignable pour les Etats-Unis s'ils ne parviennent pas à maîtriser la progression du déficit cette année.
Copyright © 2011 AFP. Tous droits réservés
(AFP) – Il y a 3 heures
WASHINGTON — Le déficit budgétaire de l'Etat fédéral américain a quasi triplé au mois de mars, selon des chiffres publiés mardi à Washington par le Trésor des Etats-Unis.
Le solde négatif des finances publiques s'est établi à 188,153 milliards de dollars pour ce sixième mois de l'exercice budgétaire 2011, entamé le 1er octobre, soit 2,9 fois plus qu'en mars 2010.
Avec ce nouveau déficit, globalement conforme à la prévision médiane des analystes, les finances de l'Etat fédéral sont restées dans le rouge pour le trentième mois d'affilée.
Les recettes de l'Etat (150,894 milliards de dollars) ont reculé de 2% sur un an - mettant ainsi fin à dix mois consécutifs de hausse. Les dépenses ont augmenté parallèlement de 55% pour s'établir à 339,047 milliards de dollars.
Le mois de mars 2010 avait été marqué par un événement exceptionnel (une révision à la baisse du coût du plan de stabilisation de la finance) qui avait réduit les dépenses d'environ 115 milliards de dollars.
Le déficit annoncé mardi arrive en deuxième position après le record de quelque 192 milliards pour un mois de mars établi en 2009.
Le déficit budgétaire des Etats-Unis avait atteint en février un record mensuel absolu de 222,5 milliards de dollars.
A 829,410 milliards de dollars, le déficit du premier semestre de l'exercice 2011 apparaît en hausse de 16% par rapport à la même période de l'année budgétaire précédente.
La Maison Blanche a indiqué en février qu'elle tablait sur un déficit record de 1.645 milliards de dollars pour l'ensemble de l'exercice en cours, soit 10,9% du PIB, niveau qui n'a plus été atteint depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Le Fonds monétaire international (FMI) a exhorté lundi les Etats-Unis à ne pas laisser filer le déficit cette année affirmant que les perspectives budgétaires "intenables" du pays plaidaient "pour un acompte en faveur d'un rééquilibrage du budget dès cette année".
Les pays développés membres du Groupe des Vingt (G20) se sont engagés en 2009 à diviser leur déficit budgétaire par deux entre 2010 et 2013, mais le FMI pense que cet objectif sera très difficilement atteignable pour les Etats-Unis s'ils ne parviennent pas à maîtriser la progression du déficit cette année.
Copyright © 2011 AFP. Tous droits réservés
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
15 Avr 2011, 09:57
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La Grèce résoudra ses problèmes en restructurant le pays, pas la dette
ATHENES - La Grèce résoudra "en profondeur" ses problèmes, "non pas en restructurant la dette, mais en restructurant le pays", a déclaré vendredi le Premier ministre grec Georges Papandreou en présentant devant le gouvernement une "feuille de route de sortie de crise" du pays.
Ces "changements radicaux" seront présentés en détail, avec un calendrier, "après Pâques", a déclaré le Premier ministre lors d'un Conseil des ministres exceptionnellement retransmis en direct à la télévision.
"La Grèce gère sa grosse dette grâce au mécanisme d'aide" que lui ont consenti l'UE et le FMI, a souligné M. Papandreou, écartant de fait à nouveau la perspective d'une restructuration de la dette publique du pays agitée par les marchés et certains partenaires.
(©AFP / 15 avril 2011 10h46)
ATHENES - La Grèce résoudra "en profondeur" ses problèmes, "non pas en restructurant la dette, mais en restructurant le pays", a déclaré vendredi le Premier ministre grec Georges Papandreou en présentant devant le gouvernement une "feuille de route de sortie de crise" du pays.
Ces "changements radicaux" seront présentés en détail, avec un calendrier, "après Pâques", a déclaré le Premier ministre lors d'un Conseil des ministres exceptionnellement retransmis en direct à la télévision.
"La Grèce gère sa grosse dette grâce au mécanisme d'aide" que lui ont consenti l'UE et le FMI, a souligné M. Papandreou, écartant de fait à nouveau la perspective d'une restructuration de la dette publique du pays agitée par les marchés et certains partenaires.
(©AFP / 15 avril 2011 10h46)
"restructuration du pays" ? Késaco?
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
15 Avr 2011, 15:09
Ils vont en enlever quelques morceaux.
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 14:42
Et bam!
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S&P says US debt outlook “negative”
By Jamie Chisholm, Global Markets Commentator
Published: April 18 2011 07:45 | Last updated: April 18 2011 14:32
Monday 14:30 BST. MARKET SNAPSHOT Sovereign debt fears are roiling global markets. News that S&P had revised its credit rating outlook for the United States to negative has caused stock futures to plunge, Treasury yields to move higher and gold to jump to a new record just shy of $1,500 an ounce.
The move has battered risk appetite in a market already worried by a deterioration in the eurozone bond markets. This follows rumours of a possible Greek debt restructuring and after an anti-euro party gained ground in the Finnish general election, raising questions about whether the bloc will be able to agree a bail-out for Portugal.
The FTSE All World index is down 1.4 per cent and the S&P 500 on Wall Street has opened with losses of 1.2 per cent as traders worry that any sustained move higher in US bond yields, should investors flee the sector, will choke off recovery in the world’s biggest economy.
By Jamie Chisholm, Global Markets Commentator
Published: April 18 2011 07:45 | Last updated: April 18 2011 14:32
Monday 14:30 BST. MARKET SNAPSHOT Sovereign debt fears are roiling global markets. News that S&P had revised its credit rating outlook for the United States to negative has caused stock futures to plunge, Treasury yields to move higher and gold to jump to a new record just shy of $1,500 an ounce.
The move has battered risk appetite in a market already worried by a deterioration in the eurozone bond markets. This follows rumours of a possible Greek debt restructuring and after an anti-euro party gained ground in the Finnish general election, raising questions about whether the bloc will be able to agree a bail-out for Portugal.
The FTSE All World index is down 1.4 per cent and the S&P 500 on Wall Street has opened with losses of 1.2 per cent as traders worry that any sustained move higher in US bond yields, should investors flee the sector, will choke off recovery in the world’s biggest economy.
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 14:51
Et pendant ce temps la, le CAC qui descend en dessous des 3900 points.
Ca me plombe mon concours boursier
Ca me plombe mon concours boursier
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 14:58
Niveau prêt immo ça changera quoi peezee ? C'est mieux d'attendre un peu ou valait mieux les avoir déjà ?
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 15:19
Je préfère attendre un peu, le marché surréagit sur une news qui ne pose pas de risque immédiat, les US conservant en fait leur AAA rating (c'est pas l'Andouillette hein 
) - juste que ça remonte à 1 chance sur 3 la proba que les US se tapent un rating cut dans les 2 ans qui viennent, se traduisant si ça se produit par un coût plus élevé pour payer les intérêts de la dette, pas glop.
En plus y'a eu une autre news ce matin qui disait que l'éco US est plutôt plus forte que prévu initialement. Va comprendre Liliane...
Pour ce qui est des taux immo (marrant j'ai eu la mm question d'un frangin qui est du côté d'Aix) y'a pas de relation aussi directe, donc aucun impact immédiat réel. C'est surtout l'inflation qui va dicter la remontée ou pas des taux vu que c'est la mission de Trichet à la BCE (garder l'inflation autour de 1.5 à 2% en ajustant les taux si besoin est).
Laquelle inflation a commencé à nettement montrer le bout de son nez - et quand les chiffres officiels le reconnaissent ça fait longtemps que vous et moi on s'est pris un bon paquet d'inflation bien réelle dans le c*l, ce qui explique la relevitude récente des taux en Europe (ni les US ni l'UK ne l'ont fait pour l'instant).
Et quand les taux remontent, l'immo...
) - juste que ça remonte à 1 chance sur 3 la proba que les US se tapent un rating cut dans les 2 ans qui viennent, se traduisant si ça se produit par un coût plus élevé pour payer les intérêts de la dette, pas glop.En plus y'a eu une autre news ce matin qui disait que l'éco US est plutôt plus forte que prévu initialement. Va comprendre Liliane...
Pour ce qui est des taux immo (marrant j'ai eu la mm question d'un frangin qui est du côté d'Aix) y'a pas de relation aussi directe, donc aucun impact immédiat réel. C'est surtout l'inflation qui va dicter la remontée ou pas des taux vu que c'est la mission de Trichet à la BCE (garder l'inflation autour de 1.5 à 2% en ajustant les taux si besoin est).
Laquelle inflation a commencé à nettement montrer le bout de son nez - et quand les chiffres officiels le reconnaissent ça fait longtemps que vous et moi on s'est pris un bon paquet d'inflation bien réelle dans le c*l, ce qui explique la relevitude récente des taux en Europe (ni les US ni l'UK ne l'ont fait pour l'instant).
Et quand les taux remontent, l'immo...
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 15:32
Ouais enfin l'immo ça devait baisser... ben la baisse mes co****es oui 
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 16:06
En clair peut être ça va monter, ou peut être pas ?
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 16:49
mika a écrit:Ouais enfin l'immo ça devait baisser... ben la baisse mes co****es oui
+1
2005-2007 les taux montent, le marché immo s'envole... Mais bon, les arbres ne montent pas au ciel, l'immo finira par crasher (comme le reste), le tout est de savoir quand?
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 17:01
Ca dépend des endroits, sur paname par exemple, je vois pas comment les prix pourraient baisser.
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 17:08
Faut mater le tunnel de Friggit ^^
http://www.immobilier-danger.com/Courbe ... t-024.html
MàJ 2011:
Il y a eu une correction des prix, suivi d'une remontée assez inattendue.
Ce qui est inquiétant ce n'est pas le prix du m² tout seul, c'est son ratio avec le pouvoir d'achat réel des français (oublions Paris pour l'instant, le marché estranger y est très important). Après prévoir l'évolution... la meilleure protection c'est encore acheter quand on en a les moyens et acheter dans un coin correct qui assure une revente pas trop compliquée au cas où. Le reste, les taux et les prix immo, n'étant pas du tout sous notre contrôle...
http://www.immobilier-danger.com/Courbe ... t-024.html
MàJ 2011:
Il y a eu une correction des prix, suivi d'une remontée assez inattendue.
Ce qui est inquiétant ce n'est pas le prix du m² tout seul, c'est son ratio avec le pouvoir d'achat réel des français (oublions Paris pour l'instant, le marché estranger y est très important). Après prévoir l'évolution... la meilleure protection c'est encore acheter quand on en a les moyens et acheter dans un coin correct qui assure une revente pas trop compliquée au cas où. Le reste, les taux et les prix immo, n'étant pas du tout sous notre contrôle...
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 17:30
L'est ouf le type, les prix descendraient de 35% 
Ben merde, je vais attendre alors, car si j'achète maintenant, je risque de surpayer mon bien, et il vaudra plus rien sous peu (enfin 35% de moins
) alors que mes mensualités de crédit elles baisseront pas de 35.
Ben merde, je vais attendre alors, car si j'achète maintenant, je risque de surpayer mon bien, et il vaudra plus rien sous peu (enfin 35% de moins
) alors que mes mensualités de crédit elles baisseront pas de 35.
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 18:19
Très intéressant comme graphe, et je suis d'accord que l'immobilier est sur-évalué actuellement.
Cependant, il faut faire attention avec ce genre de stat. Le mec utilise le revenu moyen par ménage. D'aucun pourrait te répondre que la moyenne représente pas grand chose, et peut-être que seul les gens très riche achètent désormais des biens immobilier, et en appliquant le même calcul à leur revenu (ou au revenu moyen des acheteurs d'immobilier donc), on trouverait un ratio dans le fameux "Tunnel"...
Qu'en penses-tu?
Cependant, il faut faire attention avec ce genre de stat. Le mec utilise le revenu moyen par ménage. D'aucun pourrait te répondre que la moyenne représente pas grand chose, et peut-être que seul les gens très riche achètent désormais des biens immobilier, et en appliquant le même calcul à leur revenu (ou au revenu moyen des acheteurs d'immobilier donc), on trouverait un ratio dans le fameux "Tunnel"...
Qu'en penses-tu?
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 18:46
Ce que je ne comprend pas, c'est que malgré cela, je ne vois pas les prix baisser (je regarde les annonces tous les 2 jours dans mon coin depuis un an) et sur le terrain la tendance est à la hausse. Et au pire des cas, va faire comprendre à un vendeur que son bien est sur-évalué... Et comme me disent beaucoup de patients: on ne vend qu'une fois... Là où je suis, il y a quelques étrangers qui achètent parfois d'la merde sans négocier les prix, etc. (anglais, hollandais, etc.) et c'est aussi eux qui font monter les prix: donc au final, y'a toujours quelqu'un pour acheter un bien sur-évalué par rapport au marché.
Mais en attendant, il y a moins de choix aussi pour ceux qui essaient de rester mesurer
Mais en attendant, il y a moins de choix aussi pour ceux qui essaient de rester mesurer
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 19:15
peezee, birof, à votre avis ca serait quoi les solutions pour faire baisser les prix de l'immobilier et/ou faciliter l'accés à la propriété ? J'ai souvent des discussions à ce sujet avec mon entourage et on arrive pas à arriver à des solutions valables, si ce n'est miracles
Question subsidiaire : Comment résoudre la faim dans le monde, et quelle est la formule pour créer une énergie infinie, propre et pas chère. Vous avez 4 heures
Question subsidiaire : Comment résoudre la faim dans le monde, et quelle est la formule pour créer une énergie infinie, propre et pas chère. Vous avez 4 heures
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 19:37
ah moi j'ai une théorie la dessus.
Je vois la hausse de l'immobilier comme un peu comme un impot: ça rapport beaucoup à l'état et ça affecte notre pouvoir d'achat. Cependant, je pense que l'état pourrait percevoir des revenus différents et plus bénéfiques en crevant cette bulle.
Pour cela:
1/ Il faut comprendre que le parc immobilier est détenu par peu de gens, certaines familles dans mon entourages ont des dizaines d'apparts et/ou plusieurs maison. C'est des gens très riche (surement dans le 0,1% les plus riches), et ca me pousse à penser que moins de 10% des français détiennent un bon 70% de l'immobilier en France
2/ Il faut réfléchir à ce que représente l'immobilier: Aujourd'hui c'est un actif financier. Cela se défini par un investissement initial (le prix d'achat), des rentes (les loyers), et une valeur finale (le prix à la revente). Cela se compare aux actions (prix d'achat, dividendes, prix de vente) et aux obligations (prêt, intérêts, remboursement).
==> Je ne suis pas d'accord avec cette conception de l'immobilier, et je pense que les politiques ne devraient pas l'accepter non plus (ils le font car: 1/).
3/ Comment le stopper? Simplement en le substituant à cette définition d'actif financier: Un bien immobilier c'est un toit fait pour dormir, donc puisqu'on ne peut pas interdire la location, on la taxe à des niveaux débilement élevés: 70% par exemple... De cette manière, il n'y aura plus de rentes pour les investisseurs, donc moins de spéculateurs (ceux qui resterons sont ceux qui considèrent les matières premières comme un actif financier... mais c'est un autre débat).
Je n'ai pas suffisamment de chiffres en tête, mais je ne suis pas sur que le calcul financier fait par les ministres des finances soit le bon. En effet, une diminution du prix de l'immobilier permettrait de supprimer les aides au logement (qui sont d'ailleurs une ineptie qui sert simplement à enrichir les détenteurs d'immobilier (augmentation des loyers ou prix de revente), et non les locataires ou les primo acquérants), mais aussi d'augmenter le pouvoir d'achat donc d'avoir d'avantage de revenus liés à la TVA (première source de revenu pour l'état).
Bien évidemment, cette théorie à un problème: Si les prix venaient à baisser fortement à Paris ou sur la cote d'Azur, il est probable qu’énormément de biens soient achetés par des étrangers (pour y passer leurs vacances par exemple)...
Un peu Edit pour rajouter que la mondialisation pose effectivement ce genre de problème (comme elle est probablement responsable de la distorsion sur la courbe de Peezee), et ca explique la montée des partis extrémistes/populistes dans beaucoup de pays, surtout en Europe (cf. la Finlande pour citer les récents). Mais gardons quand même en mémoire les avantages qui vont avec... à commencer par la quasi totalité de notre pouvoir d'achat qui résulte d'une main d'oeuvre exploitée dans les pays émergents...
Je vois la hausse de l'immobilier comme un peu comme un impot: ça rapport beaucoup à l'état et ça affecte notre pouvoir d'achat. Cependant, je pense que l'état pourrait percevoir des revenus différents et plus bénéfiques en crevant cette bulle.
Pour cela:
1/ Il faut comprendre que le parc immobilier est détenu par peu de gens, certaines familles dans mon entourages ont des dizaines d'apparts et/ou plusieurs maison. C'est des gens très riche (surement dans le 0,1% les plus riches), et ca me pousse à penser que moins de 10% des français détiennent un bon 70% de l'immobilier en France
2/ Il faut réfléchir à ce que représente l'immobilier: Aujourd'hui c'est un actif financier. Cela se défini par un investissement initial (le prix d'achat), des rentes (les loyers), et une valeur finale (le prix à la revente). Cela se compare aux actions (prix d'achat, dividendes, prix de vente) et aux obligations (prêt, intérêts, remboursement).
==> Je ne suis pas d'accord avec cette conception de l'immobilier, et je pense que les politiques ne devraient pas l'accepter non plus (ils le font car: 1/).
3/ Comment le stopper? Simplement en le substituant à cette définition d'actif financier: Un bien immobilier c'est un toit fait pour dormir, donc puisqu'on ne peut pas interdire la location, on la taxe à des niveaux débilement élevés: 70% par exemple... De cette manière, il n'y aura plus de rentes pour les investisseurs, donc moins de spéculateurs (ceux qui resterons sont ceux qui considèrent les matières premières comme un actif financier... mais c'est un autre débat).
Je n'ai pas suffisamment de chiffres en tête, mais je ne suis pas sur que le calcul financier fait par les ministres des finances soit le bon. En effet, une diminution du prix de l'immobilier permettrait de supprimer les aides au logement (qui sont d'ailleurs une ineptie qui sert simplement à enrichir les détenteurs d'immobilier (augmentation des loyers ou prix de revente), et non les locataires ou les primo acquérants), mais aussi d'augmenter le pouvoir d'achat donc d'avoir d'avantage de revenus liés à la TVA (première source de revenu pour l'état).
Bien évidemment, cette théorie à un problème: Si les prix venaient à baisser fortement à Paris ou sur la cote d'Azur, il est probable qu’énormément de biens soient achetés par des étrangers (pour y passer leurs vacances par exemple)...
Un peu Edit pour rajouter que la mondialisation pose effectivement ce genre de problème (comme elle est probablement responsable de la distorsion sur la courbe de Peezee), et ca explique la montée des partis extrémistes/populistes dans beaucoup de pays, surtout en Europe (cf. la Finlande pour citer les récents). Mais gardons quand même en mémoire les avantages qui vont avec... à commencer par la quasi totalité de notre pouvoir d'achat qui résulte d'une main d'oeuvre exploitée dans les pays émergents...
Modifié en dernier par birof le 18 Avr 2011, 19:43, modifié 1 fois.
Re: [Topic unique] Bourse / Économie / Finance / Immobilier
18 Avr 2011, 19:42
Les petits vieux qui ont acheté un appartement pour avoir un complément de retraite, tu les taxes différemment dans ce cas ?
Difficile non justement de différencier ceux qui ont plusieurs biens et qui sont richissimes de ceux qui tentent d'acheter pour s'assurer un avenir correct ?
Difficile non justement de différencier ceux qui ont plusieurs biens et qui sont richissimes de ceux qui tentent d'acheter pour s'assurer un avenir correct ?
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