peezee a écrit:si c'est pour finir avec 2 pages de "on va tous mourrrir" nan merci.
C'est là qu'on voit que tu es très fin : quand on ne sait plus si on doit écrire "mourir" ou "mourrir", on écrit "mourrrir" et ça devient un trait d'esprit.
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peezee a écrit:si c'est pour finir avec 2 pages de "on va tous mourrrir" nan merci.
fourcroy a écrit:peezee a écrit:si c'est pour finir avec 2 pages de "on va tous mourrrir" nan merci.
C'est là qu'on voit que tu es très fin : quand on ne sait plus si on doit écrire "mourir" ou "mourrir", on écrit "mourrrir" et ça devient un trait d'esprit.
La Société Générale tire
la sonnette d’alarme
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lefigaro.fr | JDF | 20.11.2009 | Mise à jour : 18H19
Dans un rapport adressé à ses clients, la banque française les appelle à dessiner une stratégie d’investissements de défense afin de se préparer à l’explosion éventuelle de nouvelles bulles financières.
Le pire pourrait être devant nous. C’est une des hypothèses qui ressortent d’un rapport de la Société Générale, intitulé « le pire scénario de la dette», selon lequel les récents plans de sauvetage mis en place par les gouvernements mondiaux ont simplement transféré des passifs du secteur privé au secteur public, créant une nouvelle série de problèmes. Premier d’entre eux, le déficit. «Le niveau de la dette paraît tout à fait insoutenable à long terme. Nous avons pratiquement atteint un point de non retour en ce qui concerne la dette publique», précise le rapport de 68 pages.
L’endettement global est beaucoup trop élevé dans la plupart des économies des pays développés, par rapport à leur PIB. Aux Etats-Unis et dans l’UE, la dette publique représentera ainsi 125% du PIB dans deux ans. Au Royaume-Uni, elle s’élèvera à 105% et au Japon, à 270%. Le problème de la dette sous-jacente est plus important qu’il n’était après la seconde Guerre Mondiale, alors que les taux nominaux étaient similaires. Sauf que cette fois-ci, les gouvernements seront pris à la gorge, le vieillissement de la population rendant plus difficile qu’auparavant l’effacement de cette dette avec la croissance. Les pays émergents ne seraient pas non plus épargnés, même si leur marge de maneouvre sera plus importante qu’au sein des grandes économies occidentales.
Parmi les pires scénarios envisagés, le rapport évoque une nouvelle chute des marchés, une inflation galopante ainsi qu’une forte chute du dollar. Or quand la crise bat son plein, tout le monde se retourne vers la valeur refuge par excellence, l’or. Dans ce contexte, le prix du métal jaune atteindrait des sommets jamais vus. En plus du métal jaune, le rapport table qu’une autre valeur refuge devrait tirer son épingle du jeu, les denrées alimentaires. A contrario, la banque conseille de se désengager du dollar et des valeurs cycliques, telles que les technologiques ou celles liées au secteur de l’automobile.
Fan_de_Coach Vahid a écrit:Après ca pose la question des CONSEQUENCES de l'endettement.
Je ne suis pas assez calé en économie alors si des financiers/économistes pouvaient répondre à cette question : un Etat est-il différent d'un ménage/d'une entreprise ? On dit que la France a des milliards de dette. Mais A QUI elle les doit bordel ? Quelles peuvent être les sanctioins ? Que se passe t il si elle déclare faillite ?
Je n'ai jamais compris ca...
jod.ko a écrit:Fondamentalement, le fait que l'économie (avec un grand E, voir L) soit baser sur la dette a quelque chose d'interrogeant, puisque finalement, ça signifie que l'argent n'est basé sur rien de tangible. Et bon, mine de rien, il me semble que le concept que l'argent soit basé sur une équivalence d'or est encore bien encrée dans les mentalités...
Je sais pas si tu vois ce que je veux dire ?
Jodko.
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