ohaime72 a écrit:Boudoum a écrit:InformationAprès O'Neal à Phoenix et Gasol à Los Angeles, la NBA va vibrer pour un troisième gros transfert cet hiver. Jason Kidd, l'homme aux 99 triple-doubles dans sa carrière sera, selon la chaîne ESPN, le prochain meneur de jeu des Dallas Mavericks, franchise qui l'avait drafté en 1994. Le transfert de l'actuel joueur des New Jersey Nets, qui prendra part à son huitième All-Star Game dimanche à la Nouvelle-Orléans, aurait déjà été ficelé par ses dirigeants. En contrepartie, les Nets récupèreraient Devin Harris, Maurice Ager, DeSagana Diop et Jerry Stackhouse, tandis que Malik Allen accompagnera Kidd, 34 ans. Cet échange sera agrémenté d'un chèque de trois millions de dollars pour les Nets, ainsi que deux futurs premiers tours de draft des Mavs.
putain, ya encore de la surprise dans l'air ? ça faisait longtemps qu'on avait pas eu autant de "big trade" en pleine saison
l équipe de porc de Dallas
Go j-Kidd !!!
J en fais mes favoris pour le titre.
Des news sur ce trade?
L'arrivé de Kidd change pas tellement la donne,tant que Dirk retrouve pas son niveau ils seront pas champion d'autant que si le poste de meneur était un peu faible ils avaient quand meme un joueur de bon niveau et c'est surtout a l'interieur qu'il fallait se renforcer et ils perderaient Diop en plus...donc a voir
Pour le trade de Bibby que dire sinon que Atlanta a plus trop une équipe de looser mais qu'ils avaient pas tellement besoin de Bibby peut etre plus d'un bon meneur..je suis pas trop cette team voire pas du tout mais sur le papier c'est ce qui me semle enfin...
et pour finir un artcile que j'ai bien aimé
BLUES ET FÊTE
Par Xavier COLOMBANIEn programmant le All Star Game à New Orleans, David Stern a fait du match de gala de la NBA un événement qui dépasse le domaine du sport. Deux ans et demi après le passage de l'ouragan Katrina, la capitale de la Louisiane sera l'unique "star" dans la nuit de dimanche à lundi (2h00). D'autant qu'à ce jour, aucun joueur vraiment dominant ne s'impose a priori.
Chris Paul, la star des Hornets, a doublé Tony Parker au poste de meneur à l'Ouest. (AFP)SUR LE MÊME SUJET
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L'actu de la NBA«Tous les joueurs viennent d'endroits comme ceux-ci»
Chaque All Star Game - ou quasiment - a sa petite histoire, un thème fort ou forcé, parfois un modeste argument de vente, un angle d'attaque rarement officiel mais qui naît largement avant l'événement et le crée au final. Qui ne se souvient pas de "la der' de Jordan" en 2003 ou du "jubilé de Magic" en 1992 ? Rarement ce gimmick n'a autant dépassé le domaine du sport que cette année. New Orleans n'est pas seulement la ville organisatrice de l'édition 2008, elle en est l'(anti)star. Celle qu'il faut célébrer, frappée par un destin tragique, qui se relève mais n'en a pas fini de souffrir. L'ouragan Katrina, qui a sévi en 2005, a brisé les digues et provoqué de gigantesques inondations. Entre 1300 et 1800 personnes ont péri et des centaines de milliers de déplacés ne sont pas encore tous réaparus, loin de là. Les Hornets si, mais leur public pas vraiment. Les bons résultats de l'équipe sont désormais là, la reconnaissance pas encore. En poussant au retour en ville de la franchise après la délocalisation à Oklahoma City, puis en y programmant le All Star Game, David Stern participe à l'effort commun.
PJ Brown, enfant de la ville, ancien intérieur des Hornets, avait été le premier joueur NBA à tenter de mobiliser les énergies pour la cité. Ce week-end, les meilleurs joueurs de la Ligue vont multiplier les opérations spectaculaires, coups de truelles et visites de courtoisie. Leur présence est déjà un symbole en soi. Le trait d'union est fort entre d'un côté, un drame qui a touché en priorité les milieux défavorisés, en particulier les minorités, et de l'autre le basket qui, parmi les quatres grands sports US, est celui qui représente la possibilité d'ascension sociale des Afro-Américains. «Tous les joueurs de cette ligue viennent d'endroits comme ceux-ci. Beaucoup sortent de cités», rappelle Willis Reed, MVP du All Star Game en 1970. Au delà de cette histoire noire et urbaine, de l'apprentissage de la dureté sociale, la riche histoire de ville, notamment sa musique, touve son lien avec la NBA. Les passionnés de rap que sont en majorité les basketteurs US, quand ils ne sont pas chanteurs ou producteurs, ne peuvent être insensibles au coeur vibrant de cette cité qui a généré sa propre forme de hip-hop, la Bounce, décortiquée par le journaliste Nick Cohn dans un formidable livre, Triksta.
Tout est fait pour que le temps d'un soir, la fête soit complète - jusqu'à ce que les deux Hornets sélectionnés, les jeunes Chris Paul et David West, sortent vainqueurs de ce All Star Game. Globalement dominée par l'Ouest avec cinq équipes aux bilans positifs contre dix, la conférence Est est privée, qui plus est, de Kevin Garnett, l'un des favoris pour le titre de MVP au sein de la meilleure équipe de la Ligue, Boston. Afin que Paul Pierce ne soit pas le seul à représenter les Celtics, surtout que leurs dauphins, les Pistons, auront trois joueurs présents, Ray Allen a été rappelé en dernière minute pour remplacer Caron Butler. Ce choix illustre la volonté des entraîneurs de dresser un tableau de la densité et l'imprévisibilité de la Ligue en dispatchant les sélections. Dix-huit équipes sur trente envoient au moins un joueur, un total exceptionnellement élevé. Parmi les 24 retenus, en revanche, peu de nouveaux. Hormis les deux Hornets pré-cités, seul Brandon Roy, meilleur rookie de la saison 2006-2007, fera ses premiers pas dans les Etoiles