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O2Mars a écrit:la seule solution serait d'autoriser le dopage, au moins tout le monde serait a egalité parce que la je vois pas comment ils peuvent s'en sortir... rappelez vous les premieres affaires, ca commence vraiment a dater et c'est de pire en pire
fukusan a écrit:Et tous ces faux-culs comme Hinault, Fignon qui disent la main sur le coeur que Rasmussen et Vinokourov sont des tricheurs à sanctionner Comme si le dopage était né avec l'affaire Festina
Metiss-ino
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Posté le: fMer, 25 Juil 2007 14:22:31 +0000e7c02 Sujet du message:
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Rasmussen c'est une question de jours .... il sera disqualifié .
superolive a écrit:je pronostique que Rasmussen ne finira pas ce tour de france ....
Nathan61 a écrit:Je pense que les seuls coureurs cleans sont ceux qui ont manifestés. A savoir les équipes francaises et allemandes (sauf les exceptions particulières Sinkewitz et Morreni qui ont agis seuls, ces équipes ont l'air réglos). Il y a des exemples de bonne volonté quand mème, par exemple la T mobile qui était à la pointe du dopage il y à quaelques années et qui à fait la garnde lessive (exit Ulrich; Honchar; Guerrini...),le travail d Bob Stapleton à la tète de cette équipe est admirable, comme celui des CSC (qui dépensent 200 millions en 5 ans pour controler leurs coureurs régulièrement)
ce serait bien que les coureurs cleans fassent grève et arrètent le Tour, ça ferait un geste fort...
Les mollets qui grincent. Les cuisses qui hurlent. Les rotules qui semblent transpercées par une aiguille à tricoter à chaque tour de pédale. L'étape de l'Aubisque a laissé des traces. J'ai la sensation de sortir du tambour d'une machine à laver après un essorage.
Cette étape fait très mal aux jambes après trois journées pyrénéennes. Le parcours présente une succession ininterrompue de bosses "casse-pattes". Officiellement, seules six côtes sont recensées, mais nous en avons dénombré au moins le triple.
La route se cabre avec de forts pourcentages et oblige à monter en danseuse. Une échappée partira mais il faudra avoir de bonnes jambes pour s'y glisser. Le calvaire dure 110 km, sans répit. Ensuite on retrouve des routes plus larges qui continue, mois sensiblement toutefois, de monter et descendre en faux-plats.
Les cinquante derniers kilomètres sont propices à un retour du peloton (cela dépendra de l'écart des échappés à ce moment). Les huit derniers kilomètres, tracés sur une petite route sinueuse, pourrait tenter des finisseurs.
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Je salue la chaîne des Pyrénées d'un geste furtif en narguant ses sommets meringués de neige éternelle. L'étape monte et descend sans relâche, elle vous suce ce qui reste de forces vitales.
Chaque petite côte m'oblige à courber l'échine avec un braquet de haute-montagne. Je m'accroche, les dents serrées, en passant entre les champs de tournesols au garde-à-vous et ceux de maïs où des jets propulsent des salves d'eau fraîche qui, sur notre peau cuite, ont l'effet de la rosée sur le gazon jauni.
Le soulagement d'être sorti du guêpier des Pyrénées se traduit par un manque de motivation, mais j'essaie de garder ma concentration, les mains sur les freins avec des réflexes félins pour éviter les pièges de la route et le pneu de Fabio qui tourne à deux centimètres du mien depuis plus de 3000 kilomètres.
Urbain, un sympathique cycliste de Pau qui pourrait être le frère jumeau de Gilbert Duclos-Lassalle, est venu à notre rencontre et nous a accompagnés un bout de chemin : "Mes relais vous aideront un tout petit peu".
Voilà le Gers avec sa campagne peignée, ses meules de foin bien roulées et ses producteurs de foie gras. Pour tuer le temps et les kilomètres, je me fixe de petits objectifs qui m'aident psychologiquement à atteindre le grand. Je divise la distance en tranches. Au fond, deux cents kilomètres, ce n'est que vingt fois dix kilomètres.
Avec Fabio nous remontons vers Paris comme deux saumons (grillés), en donnant les derniers coups de reins. On parle du passé, de ce mois incroyable sur les routes de France, on évoque aussi la souffrance présente en la dédramatisant, mais le futur reste un sujet tabou. Il existe la peur du départ, mais aussi celle de l'arrivée. La fin est un instant, tout se termine en quelques secondes et la grande question se reposera : de quoi sera fait demain ?
chris92300 a écrit:D'ailleurs au journal y'a pas longtemps ils ont montré un gars qui courrait avec 2 prothèses qui faisait des très bons temps sur 200 m; le lendemain il avait même une course de prévu avec des valides..
Aureck a écrit:chris92300 a écrit:D'ailleurs au journal y'a pas longtemps ils ont montré un gars qui courrait avec 2 prothèses qui faisait des très bons temps sur 200 m; le lendemain il avait même une course de prévu avec des valides..
oui c'était vraiment dingue
on rentre dans l'ère des Bionic-men
zoyman a écrit:Un coureur propre
David Moncoutié.Y'a qu'à voir ses efforts pour remporter une étape (Quand il en avait gagné une étape le 14 juillet de moyenne montagne,le lendemain,il se retrouvait à 40 minutes des leaders)
D'ailleurs,il n'est pas au Tour cette année
guigui92 a écrit:zoyman a écrit:Un coureur propre
David Moncoutié.Y'a qu'à voir ses efforts pour remporter une étape (Quand il en avait gagné une étape le 14 juillet de moyenne montagne,le lendemain,il se retrouvait à 40 minutes des leaders)
D'ailleurs,il n'est pas au Tour cette année
Et Vino alors !!! Après son contre la montre.....
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