[ -> 2013] Politique : Mutations et Enjeux

[Jester]

[ruby]

Sauf que l'attaque vient du Figaro journal de droite qui ne sait plus quoi trouvé pour sauver le cul de son poulain qui a plus de casseroles au cul que Chirac et Mélenchon n'est pas président de la République que je saches et n'a pas eu un discours de stigmatisation d'une population tout en se disant anti raciste comme un certain président de la république.
Donc vos arguments ne tiennent pas les droitards.
Ce qui est énorme c'est que pour buisson il travaillait ensemble sur Lci et c'est en cette fonction qu'il l'a été invité à la cérémonie de la légion d'honneur, c'est aussi Mélenchon qui a attribué la légion d'honneur à celui qui était le patron de minute.
henri Gainot a bien écrit un bouquin avec Cohn Bendit et personne ne le sort lors des élections.
Mélenchon fait peur et on trouve n'importe quoi pour le décrédibilisé alors que les tocards de Droite et de Gauche n'ont aucun projet de société, si la rigueur comme la grèce.

Tu oublies de préciser, quand tu parles de source, que melanchon à lui même reconnu avoir bouffer avec lui

Information

Présence en 2007 à la remise de la Légion d'honneur à Patrick Buisson, conseiller controversé de Nicolas Sarkozy, déjeuner avec Henri Guaino en 2010 et photo au côté de Bachar Al-Assad en 2001, Jean-Luc Mélenchon voit dans ces sorties une "manipulation" destinée à le faire chuter.
"Il y a des gens qui nous veulent du bien!", a ironisé auprès de l'AFP, Eric Coquerel, conseiller du candidat du Front de gauche à l'Elysée, mais "on n'est pas naïf".
"Un jour Buisson, le lendemain Assad et Guaino, on essaie de donner l'impression de liens avec un dictateur puis de rapports privilégiés de Jean-Luc Mélenchon avec Nicolas Sarkozy, c'est une manipulation", a-t-il ajouté, parlant de simples "rapports républicains" avec des conseillers du chef de l'Etat.
Mercredi, le site internet du Point a parlé d'un déjeuner entre MM. Mélenchon et Guaino en 2010 au restaurant de l'Institut du monde arabe par "l'entremise du journaliste Eric Zemmour". "Si on diffusait la liste de tous les candidats avec les gens avec qui ils ont dîné, on aurait 40 pages!", a balayé M. Coquerel.
Interrogé à l'émission "Questions d'info" LCP/Le Monde/AFP/France Info, Jean-Luc Mélenchon a expliqué qu'au cours de ce déjeuner, "à la terrasse" de l'IMA et absolument "pas secret", il avait été question du retour de la France dans le commandement intégré de l'Otan.
"Je voulais arriver à comprendre comment quelqu'un comme Guaino dont je connais les positions et tout ce secteur de la droite gaullienne pouvaient s'être retrouvés à approuver" cette intégration, "tandis que moi je suis pour la sortie de l'Otan", a-t-il dit. "On peut faire une histoire de tout, par exemple j'ai peut-être rencontré E.T." ou "le Père Noël", a-t-il ensuite ironisé. Tout cela sert "d'abord Mme Le Pen (...) puis aussi tout le camp Hollande", selon lui.
La semaine dernière, Le Nouvel Observateur avait également rappelé que M. Mélenchon avait assisté en 2007 à la remise de la Légion d'honneur à M. Buisson, ce qu'a confirmé le candidat, tout en précisant qu'il n'était "pas un ami".
A l'époque, a dit M. Mélenchon mercredi, M. Buisson n'était pas encore un conseiller officieux de M. Sarkozy mais un journaliste "avec qui je m'accrochais assez sévèrement" notamment sur LCI. "Fair-play", il a honoré son invitation à sa remise de Légion d'honneur, "enfin c'est quand même pas la guerre civile dans ce pays!", a-t-il ajouté.
Il a accusé le Nouvel Obs d'avoir déversé sur lui "des torrents de bile, de haine". "J'appelle ça des tireurs dans le dos", c'est la "vieille gauche droitière qui voit revenir avec horreur les rouges, les partageux", c'est "la gauche caviar, la gauche Relais et châteaux", a-t-il lancé.
Par ailleurs mardi sur Twitter, a réapparu une photo datant de juin 2001 où Jean-Luc Mélenchon, alors ministre de l'Enseignement professionnel du gouvernement de Lionel Jospin, est au côté du président syrien Bachar al-Assad sur le tapis rouge de l'aéroport d'Orly.
Cela relevait d'une simple "présence protocolaire" lors d'une visite officielle du successeur de son père Hafez al-Assad, décédé un an plus tôt, a expliqué au Parisien Arnauld Champremier-Trigano, directeur de communication du candidat FG, qui souligne que "Matignon l'a appelé à la dernière minute" pour qu'il se rende à Orly.

Modifié en dernier par ruby le 19 Avr 2012, 08:44, modifié 1 fois.

[EL MAGNIFICO]

des fans de la double quenelles oh

[Genzô]

des fans de la double quenelles oh

La première dans ta gueule et la seconde dans l'fion

[IceCold]

Dédicacé à boodream, Marine Le Pen sur Inter ce matin, et Pascale Clark capable de passer pour une conne face à elle

http://www.franceinter.fr/emission-5-mn ... ine-le-pen

[peezee]

Vraiment détestable cette façon de questionner avec des sous-entendus, des vannes de dernière seconde histoire de niquer la personne interviewée, si c'est ça le "journalisme"...

En plus MLP s'en est très bien sortie, on peut presque dire que la Clarck s'est faite baiser à son propre jeu, pire encore y'en a qui vont mm jusqu'à dire qu'au final elle a plutôt servi la soupe à MLP, bah c'est pas vraiment faux...

Avec de tels "ennemis", MLP n'a mm plus besoin d'amis.

[boodream]

IceCold, putain j'étais venu sur le topic pour poster ça

Nan mais c'est ça le plus grave, c'est qu'en fait c'est positif pour Marine le Pen tout ça.

Un pote me disait: c'est une Fogiel de "gôche". Je trouve que c'est bien trouvé.

Et matez son interview à Hollande où elle ne lui pose AUCUNE question et passe son temps à bavarder avec un copain.

Putain, Patrick Cohen est juste 100 fois meilleur que cette conne.

[etienne]

Yves CALVI, c'est le top je trouve.

[ruby]

Celui que je déteste c'est Bourdin.
Plus demago que ce mec tu ne peux pas, c'est pas du journalisme ça.

[Koenigs Sbire]

J'ai écouté les 10 premières minutes de Bourdin avec Hollande ce matin, et je l'ai trouvé très gentillet par rapport à la veille avec Mélanchon ou avant avec Sarkozy.

[sillicate]

Yves CALVI, c'est le top je trouve.

J'(ai toujours apprécié "C dans l'air", je trouve qu'il gère bien un débat, par contre, en interview, il est moins bon.

[Bêné]

Yves CALVI, c'est le top je trouve.

J'(ai toujours apprécié "C dans l'air", je trouve qu'il gère bien un débat, par contre, en interview, il est moins bon.

+1 en débats il est meilleur.

Non en interview politique tout dépend ce que l'on cherche :

- Taddei arrive souvent à obtenir un ton différent de ses invités, j'aime bien
- Dans un autre genre , Ardisson était bon aussi.
- Zemmour plutot bon face à des politiques également (occultons tout le reste)

[Moundir33]

Je trouvais Demorand pas mal quand il était encore sur Inter

[squall]

Clarke elle fait du Bourdin pour le coup mais sans l'assumer

[Bibpanda]

Information

Moment surréaliste, vendredi soir, dans "Le Grand Journal" de Canal +. Invité en tant que candidat à l'élection présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan s'en est violemment pris aux journalistes présents en plateau. "Je sais pourquoi les Français ne lisent plus les journaux, ils vont sur internet. Parce que tous ces éditorialistes de bazar, qui vivent ensemble, qui font tout le temps les mêmes articles, qui sont totalement coupés des réalités, qui gagnent un argent fou, et qui croient connaître les Français, on va s'en débarrasser un jour !" a-t-il lancé. Visés directement, Jean-Michel Aphatie et Michel Denisot. Il exhorte Ariane Massenet d'aller voir avec lui "sur le terrain les Français qui vivent, qui souffrent."




"Vous vous en mettez plein les poches"

"On ne vit pas sur la Lune (...) Vous ne savez pas où je vis" lui rétorque Denisot. Puis Dupont-Aignan lâche : "Donnez nous votre salaire, combien vous gagnez ? combien vous gagnez ? Dites-le aux Français ! Vous n'oserez pas le dire." Denisot "refuse de polémiquer", lui répond que "ça ne (le) regarde pas" et que son salaire "est payé avec (ses) impôts." Le leader de Debout la République ne lâche pas : "Vous ne pouvez pas dire droit dans les yeux aux Français combien vous gagnez, car c'est une somme tellement extravagante... Et à force de jouer les bons samaritains." Denisot refuse toujours ("Je n'ai pas de leçon à recevoir de vous"), Dupont-Aignan lui reproche de s'en "mettre plein les poches."



Aphatie entre alors en scène, très en colère : "Traitez nous de voleurs tant que vous y êtes ! Plein les poches, qu'est ce que ça veut dire ? Qu'est ce que ça veut dire ? Mon salaire, je le mérite, comme vous ! Je ne vous le donnerai pas, vous n'êtes pas un inquisiteur !." Le chroniqueur l'accuse de "populisme intégral", Dupont-Aignan l'exhorte à "sortir de (son) petit milieu."


"Denisot est lâche et mesquin"

Nicolas Dupont-Aignan n'a jamais porté l'équipe du Grand Journal dans son coeur, accusant déjà en février Michel Denisot d'être "lâche et mesquin, faisant ses coups en douce." Sa dernière invitation hors campagne officielle sur Canal + remonte au 18 janvier dernier. Ce soir-là, pas de clash, il est interrogé comme la plupart des politiques invités en première partie de l'émission. Seul le magnéto "Point com" de Bruno Donnet était comme souvent poil à gratter. Jean-Michel Aphatie, chroniqueur maison, ne trouve pas non plus grâce à ses yeux. "Quel mépris à mon égard" lâche-t-il. Sur Canal +, le journaliste de RTL avait interpellé le candidat sur le retour au franc qu'il prône. Mais déjà en mai 2010, Nicolas Daupont-Aignan s'était agacé qu'Aphatie ne l'invite plus sur RTL "depuis 3 ans".


Les journalistes pour cible

Comme Jean-Luc-Mélenchon, Nicolas Dupont-Aignan a fait de la critique des médias sa marque de fabrique. "Ce qui est dramatique, c'est le degré zéro des émissions politiques. Il y a un fossé entre les journalistes des quatre colonnes qui ne sortent pas de l'Assemblée, et la réalité de la vie" expliquait-il. Il y a un plus d'un an, le 26 janvier 2011, il s'en était pris à un autre journaliste, Jean-Pierre Elkabbach.



"Vous n'y allez pas vous Marc-Olivier Fogiel à la présidentielle en 2012 ? Parce que quand on voit la liste des n'importe qui veulent se présenter..." avait ironisé le journaliste sur Europe 1 à propos de la multiplication des candidatures. Nicolas Dupont-Aignan répondait à la petite phrase d'Elkabbach quelques minutes plus tard sur son Twitter : "Elkabbach me traite de "n'importe qui". Venant de la serpillière des puissants, c'est presque trop d'honneur !".

Enorme, franchement bravo.
http://www.ozap.com/actu/zapping-gros-m ... tie/440397

[superolive]

Je vais voter pour lui au premier tour. Histoire de financer sa campagne , parce qu'il fera moins de 5%. Et puis il est Gaulliste , et je le crois sincère.

[fourcroy]

Je vais voter pour lui au premier tour, parce qu'il propose de revenir au franc.

Bonne idée.

Je suis allé lire ses 37 propals (je crois que c'est le néologisme autorisé dans ce milieu). Il faut reconnaître qu'un certain nombre sont intéressantes.

[Rafael]

Tous ces pros de la politique qui profitent bien de tous les avantages que leur apportent leur fonction depuis x années et qui maintenant se la joue français moyen limite pauvre , père la morale. Je préfère encore voter Poutou.

[Fennec]

Rafael, +1.

[Bibpanda]

Franchement moi cela me fait chier que Dédé ne se présente pas et que ce soit mélenchon qui y aille.