Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 15:30
déjà qu'on la traite de pute, alors avec un string ou un tonga, j'imagine même pas. 
Et puis il fait chaud dans ces pays la.
Et puis il fait chaud dans ces pays la.
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 15:35
Information
Le Conseil constitutionnel rejette les comptes de campagne présidentielle 2012 de Sarkozy
Information
Le Conseil constitutionnel a rejeté les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour l'élection présidentielle de 2012, une décision qui plonge l'UMP dans une crise financière aiguë.
La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) avait invalidé en décembre dernier les comptes de campagne de l'ancien président pour l'élection présidentielle de 2012, estimant qu'il avait dépassé le plafond autorisé de plus de 300.000 euros.
Elle jugeait que les dépenses liées à certains déplacements présidentiels devaient être imputées au candidat. Nicolas Sarkozy avait déclaré pour 21.339.664 euros de dépenses, la commission comptabilisait 22.509.000 euros.
Des dépenses antérieures à la déclaration de candidature
Saisi le 10 janvier par Nicolas Sarkozy, qui contestait le chiffrage de la CNCCFP, le Conseil constitutionnel, juge suprême de l'élection présidentielle, a confirmé le rejet des comptes, créant un précédent sous la Ve République. Membre de droit du Conseil constitutionnel, Nicolas Sarkozy n'a pas participé au délibéré sur ce dossier.
La commission des comptes de campagne avait réintégré des dépenses antérieures au 15 février 2012, jour de la déclaration de candidature de Nicolas Sarkozy, ce qui entraînait un dépassement du plafond autorisé pour les candidats du second tour - 22.509.000 euros (décret novembre 2011)- et donc un rejet de ses comptes.
Le rejet privait l'UMP, qui avait avancé les fonds, de la subvention de quelque 11 millions d'euros de l'Etat au titre du remboursement des frais de campagne à hauteur de 47,5% des frais engagés, soit 10.691.775 euros en vertu de la loi organique de février 2012.
Pour l'élection présidentielle de 2012, le plafond maximum des dépenses autorisées au premier tour était de 16,851 millions d'euros, et de 22,51 millions d'euros au second tour
La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) avait invalidé en décembre dernier les comptes de campagne de l'ancien président pour l'élection présidentielle de 2012, estimant qu'il avait dépassé le plafond autorisé de plus de 300.000 euros.
Elle jugeait que les dépenses liées à certains déplacements présidentiels devaient être imputées au candidat. Nicolas Sarkozy avait déclaré pour 21.339.664 euros de dépenses, la commission comptabilisait 22.509.000 euros.
Des dépenses antérieures à la déclaration de candidature
Saisi le 10 janvier par Nicolas Sarkozy, qui contestait le chiffrage de la CNCCFP, le Conseil constitutionnel, juge suprême de l'élection présidentielle, a confirmé le rejet des comptes, créant un précédent sous la Ve République. Membre de droit du Conseil constitutionnel, Nicolas Sarkozy n'a pas participé au délibéré sur ce dossier.
La commission des comptes de campagne avait réintégré des dépenses antérieures au 15 février 2012, jour de la déclaration de candidature de Nicolas Sarkozy, ce qui entraînait un dépassement du plafond autorisé pour les candidats du second tour - 22.509.000 euros (décret novembre 2011)- et donc un rejet de ses comptes.
Le rejet privait l'UMP, qui avait avancé les fonds, de la subvention de quelque 11 millions d'euros de l'Etat au titre du remboursement des frais de campagne à hauteur de 47,5% des frais engagés, soit 10.691.775 euros en vertu de la loi organique de février 2012.
Pour l'élection présidentielle de 2012, le plafond maximum des dépenses autorisées au premier tour était de 16,851 millions d'euros, et de 22,51 millions d'euros au second tour
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 19:25
Sarko vient de démissionner du conseil constitutonnel, pour "retrouver sa liberté de parole". Conseil dont 4 membres ont été nommés par lui, et seulement 2 nommés par la gauche (et 4 par Chirac).
Et le Copé qui appelle les Français au don pour sauver l'UMP.
Et le Copé qui appelle les Français au don pour sauver l'UMP.
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 19:35
Ils ont qu'à demandé à mamie zinzin.
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 20:08
sillicate a écrit:Sarko vient de démissionner du conseil constitutonnel, pour "retrouver sa liberté de parole". Conseil dont 4 membres ont été nommés par lui, et seulement 2 nommés par la gauche (et 4 par Chirac).
Et le Copé qui appelle les Français au don pour sauver l'UMP.
Je vois pas trop le rapport avec la composition du Conseil, ça lui permet de s'affranchir de son devoir de réserve. C'est plutôt bien vu qu'il semble vouloir rester dans le jeu politique, ça supprime une ambiguïté.
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 20:23
Garm, à ton avis, comment il va justifier le rejet de ses comptes de campagne ?
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 20:29
Certes, mais il n'empêche que ce sont deux choses distinctes, malgré les probables dénonciations à venir du complot crypto-corrézo-communiste.
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 21:33
J'espère qu'on pourra donner sans plancher minimum, je dois avoir un ou deux centimes qui trainent et qui me servent à rien.
Du coup, plus personne ne parle de Batho ?
Du coup, plus personne ne parle de Batho ?
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 22:06
Si, BFM.
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 22:52
Batho "débarquée"... et en titre énorme en plus.
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 22:58
Avec NKM en photo
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
04 Juil 2013, 23:23
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
05 Juil 2013, 08:10
Putain, Jean-Marie est obligé de ressortir les vieilles ficelles pour qu'on parle un peu du FN (entre Batho et Sarkozy vaut dire que l'actualité est chargée...)
Ca va il a pas parlé du bruit
«Je vais vous faire un pronostic: vous avez quelques soucis, paraît-il, avec quelques centaines de Roms qui ont dans la ville une présence urticante et disons... odorante. (...)
http://www.liberation.fr/societe/2013/0 ... oms_916116
Ca va il a pas parlé du bruit
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
05 Juil 2013, 09:24
sillicate a écrit:
Si, BFM.
Putain NKM
sinon, 44M€ de dette pour l'UMP avant cette décision.
55M€ maintenant.
Donc, les sauveurs de la France contre la dette n'arrivent pas à se sauver eux même.
Ils ont besoin de l'appel au don alors qu'ils chient sur le PS qui demande aux français de rembourser la dette de la France (en grande partie creusée par l'UMP)
Priceless
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
05 Juil 2013, 09:27
Tain j'avais mm pas fait gaffe...
Je la supporte pas NKM, elle se croit un destin Mitterrandesque, pour ne pas dire Gaullien, mais ça va faire un de ces PSCHIITTT !!!
Je la supporte pas NKM, elle se croit un destin Mitterrandesque, pour ne pas dire Gaullien, mais ça va faire un de ces PSCHIITTT !!!
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
05 Juil 2013, 09:31
Comment séparer la fonction de Président de la République d' une campagne électorale ?
Et Flamby, ça compte pas tout le tintouin qu' il a fait pendant des mois pour les primaires socialistes ????
Bon, on attend toujours le non-cumul des mandats et un tas de choses plus importantes que de s' acharner à vouloir détruire certaines personnes . Va falloir qu' on fasse comme les Egyptiens , tout le peuple dans toutes les rues de France ?
Et Flamby, ça compte pas tout le tintouin qu' il a fait pendant des mois pour les primaires socialistes ????
Bon, on attend toujours le non-cumul des mandats et un tas de choses plus importantes que de s' acharner à vouloir détruire certaines personnes . Va falloir qu' on fasse comme les Egyptiens , tout le peuple dans toutes les rues de France ?
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
05 Juil 2013, 09:36
jarlandine,
Information
L'Assemblée nationale a voté hier soir l'article 1er du projet sur le cumul des mandats, qui interdit à un parlementaire d'exercer une fonction exécutive locale, avant de débattre plus tard dans la nuit de sa date d'entrée en vigueur, prévue pour 2017.
Les députés ont en revanche supprimé une disposition introduite la semaine dernière en commission : l'interdiction d'exercer plus de trois mandats parlementaires de suite. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, soutenu par le rapporteur du projet, Christophe Borgel (PS) a en effet voulu éviter tout ce qui perturberait "l'équilibre" du texte et risquerait d'effrayer ceux des socialistes réticents à voter le texte.
L'article 1er a été adopté par 59 voix pour -PS et écologistes- et 35 voix contre -UMP, UDI et radicaux de gauche-. Il dresse la liste des fonctions incompatibles avec le mandat de député ou sénateur: maire ou adjoint, président ou vice-président d'une intercommunalité, d'un syndicat mixte (regroupement de communes et d'autres collectivités), d'un conseil départemental, d'une société d'économie mixte ou de "toute autre collectivité territoriale créée par la loi", tels les territoires. Ont aussi été inclus l'Assemblée des français de l'étranger ou un établissement public local.
L'atmosphère du débat s'est parfois tendue. Un vif accrochage a opposé les présidents des groupes PS Bruno Le Roux et UMP Christian Jacob, le premier accusant le second de se livrer à "un numéro minable", et son adversaire lui renvoyant qu'il faisait du "cirque". A l'origine de l'incident: un amendement UMP, rejeté à main levée selon la présidente de séance, Sandrine Mazetier (PS), alors que la droite assurait avoir recueilli une majorité de voix grâce au renfort de certains socialistes.
Au sein du groupe socialiste, seul le chevènementiste Jean-Luc Laurent, député du Val-de-Marne, a voté contre. Mais, précédemment, deux socialistes, Sophie Dessus, qui a repris le siège de François Hollande en Corrèze, et Hugues Fourage (Vendée) avaient voté des amendements visant à permettre aux maires d'être parlementaires.
La plupart de leurs leurs collègues PS ont soutenu le texte, témoignant combien il était difficile de mener convenablement de front mandats parlementaire et local. Alain Calmette s'est fait applaudir après avoir rappelé qu'il avait quitté la mairie d'Aurillac, car il n'aurait "pas pu mener de front les deux" mandats. François Loncle, élu député en 1981 pour la première fois, a reconnu avoir "accumulé" des mandats, avant de considérer que c'était "une aberration". Il s'est en revanche opposé à toute limitation des mandats dans le temps.
La plupart des orateurs de droite se sont livrés à une attaque en règle contre une réforme qu'ils récusent au nom de l'ancrage des élus dans un territoire. "Vous détruisez la République", a ainsi lancé Nicolas Dhuicq (UMP) à la gauche "parce que vous avez la haine du peuple, de la Nation, de la République!", avant de parler de "dictature". "Je suis cumulard et fier de l'être!", a renchéri Jacques Myard, député-maire UMP de Maisons-Laffite (Yvelines).
Assez isolé dans son camp, l'ancien ministre UMP Bruno Le Maire a reproché à l'inverse au gouvernement ne pas aller assez loin, critiquant particulièrement le report à 2017. "Une promesse de campagne est une promesse de campagne je ne vois aucune raison juridique de le reporter", a-t-il lancé, en faisant référence à l'engagement de François Hollande de supprimer le cumul.
Les députés ont en revanche supprimé une disposition introduite la semaine dernière en commission : l'interdiction d'exercer plus de trois mandats parlementaires de suite. Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, soutenu par le rapporteur du projet, Christophe Borgel (PS) a en effet voulu éviter tout ce qui perturberait "l'équilibre" du texte et risquerait d'effrayer ceux des socialistes réticents à voter le texte.
L'article 1er a été adopté par 59 voix pour -PS et écologistes- et 35 voix contre -UMP, UDI et radicaux de gauche-. Il dresse la liste des fonctions incompatibles avec le mandat de député ou sénateur: maire ou adjoint, président ou vice-président d'une intercommunalité, d'un syndicat mixte (regroupement de communes et d'autres collectivités), d'un conseil départemental, d'une société d'économie mixte ou de "toute autre collectivité territoriale créée par la loi", tels les territoires. Ont aussi été inclus l'Assemblée des français de l'étranger ou un établissement public local.
L'atmosphère du débat s'est parfois tendue. Un vif accrochage a opposé les présidents des groupes PS Bruno Le Roux et UMP Christian Jacob, le premier accusant le second de se livrer à "un numéro minable", et son adversaire lui renvoyant qu'il faisait du "cirque". A l'origine de l'incident: un amendement UMP, rejeté à main levée selon la présidente de séance, Sandrine Mazetier (PS), alors que la droite assurait avoir recueilli une majorité de voix grâce au renfort de certains socialistes.
Au sein du groupe socialiste, seul le chevènementiste Jean-Luc Laurent, député du Val-de-Marne, a voté contre. Mais, précédemment, deux socialistes, Sophie Dessus, qui a repris le siège de François Hollande en Corrèze, et Hugues Fourage (Vendée) avaient voté des amendements visant à permettre aux maires d'être parlementaires.
La plupart de leurs leurs collègues PS ont soutenu le texte, témoignant combien il était difficile de mener convenablement de front mandats parlementaire et local. Alain Calmette s'est fait applaudir après avoir rappelé qu'il avait quitté la mairie d'Aurillac, car il n'aurait "pas pu mener de front les deux" mandats. François Loncle, élu député en 1981 pour la première fois, a reconnu avoir "accumulé" des mandats, avant de considérer que c'était "une aberration". Il s'est en revanche opposé à toute limitation des mandats dans le temps.
La plupart des orateurs de droite se sont livrés à une attaque en règle contre une réforme qu'ils récusent au nom de l'ancrage des élus dans un territoire. "Vous détruisez la République", a ainsi lancé Nicolas Dhuicq (UMP) à la gauche "parce que vous avez la haine du peuple, de la Nation, de la République!", avant de parler de "dictature". "Je suis cumulard et fier de l'être!", a renchéri Jacques Myard, député-maire UMP de Maisons-Laffite (Yvelines).
Assez isolé dans son camp, l'ancien ministre UMP Bruno Le Maire a reproché à l'inverse au gouvernement ne pas aller assez loin, critiquant particulièrement le report à 2017. "Une promesse de campagne est une promesse de campagne je ne vois aucune raison juridique de le reporter", a-t-il lancé, en faisant référence à l'engagement de François Hollande de supprimer le cumul.
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
05 Juil 2013, 10:18
jarlandine a écrit:Comment séparer la fonction de Président de la République d' une campagne électorale ?
Et Flamby, ça compte pas tout le tintouin qu' il a fait pendant des mois pour les primaires socialistes ????
Bon, on attend toujours le non-cumul des mandats et un tas de choses plus importantes que de s' acharner à vouloir détruire certaines personnes . Va falloir qu' on fasse comme les Egyptiens , tout le peuple dans toutes les rues de France ?
ce qui est drôle c'est que les comptes auraient été validés si Sarko avait été élu....
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
05 Juil 2013, 10:32
2017
Re: [Topic Politique UNIQUE] Mutations et Enjeux
05 Juil 2013, 10:58
