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Modérateur: Modérateurs
RobertoCarlos a écrit:Enfin je ne pense pas qu'on puisse diriger un pays, aussi grand soit il, en donnant une grande part à la religion. je suis convaincu qu'il ne faut pas melanger les 2.
Mais le "racisme anti-blanc" n'a jamais vraiment été reconnu et condamné par le militantisme antiraciste organisé comme une forme de racisme à part entière. Son importance continue d'être minimisée, et sa dangerosité sous-estimée. L'attitude la plus courante consiste à ne pas nier ledit "racisme anti-blanc", mais à le considérer comme négligeable. Les antiracistes de profession, les dirigeants et les permanents des associations dites de "lutte contre le racisme", tiennent à conserver le monopole de la définition du "racisme" et de la désignation des "racistes". Pour ce faire, ils hiérarchisent les catégories de victimes du racisme, et répètent que "les premières victimes du racisme en France" sont les immigrés ou "les personnes issues de l'immigration". Certains antiracistes extrémistes, non sans mauvaise foi, nient même l'existence du "racisme anti-blanc", accusant les racistes "blancs" de l'avoir inventé pour mieux dénigrer les vraies victimes du vrai racisme. Et il est vrai que, dans les milieux nationalistes, par exemple en France au sein du Front national ou dans ses marges, la position "anti-antiraciste" enveloppe depuis longtemps l'accusation selon laquelle l'antiracisme ne serait qu'un habillage trompeur du "racisme anti-blanc", "antifrançais" ou "antichrétien". C'est que les frontières de la catégorie "racisme anti-blanc" varient selon les situations de discours.
etienne a écrit:même si on prélève à la source
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