03 Mai 2007, 21:59
03 Mai 2007, 22:00
03 Mai 2007, 22:05
03 Mai 2007, 22:13
03 Mai 2007, 22:14
03 Mai 2007, 22:16
03 Mai 2007, 22:16
03 Mai 2007, 22:19
03 Mai 2007, 22:21
Elle aurait du faire comme Bayrou, créer SON mouvement.
03 Mai 2007, 22:23
03 Mai 2007, 22:24
loursin a écrit:Elle aurait du faire comme Bayrou, créer SON mouvement.
bayrou a créé l'UDF
04 Mai 2007, 00:13
Xav a écrit: Je suis con mais pas a ce point la...
04 Mai 2007, 00:32
04 Mai 2007, 00:40
04 Mai 2007, 01:41
Xav a écrit:Thorgal, a mon avis de toutes facons, il est impossible de parler politique objectivement.
A partir du moment ou tu adheres (au niveau idées) a un "mouvement" quel qu'il soit, l'objectivité est forcement difficilement de mise.
Quoi qu'il en soit, comme je l'ai dit je suis d'accord avec toi qu'il est grand temps que ca s'arrete, ca commence serieux a briser les biiiiiiiiiip.
Ce qui m'a le plus gavé, et ce, dès le premier tour c'est cette fameuse connerie lancée par je ne sais qui (j'avoue j'ai pas tout suivi) de vote "utile". En gros, tu n'a pas le droit de voter pour qui tu veux... Il faut en fait voter CONTRE qq'un ou qqchose, mais pas pour ce que tu (terme générique, hein ) veux.
Rien que pour ca je suis content pour les sexys centristes (mignone la dame qui a lancé ces tee shirts cela dit en passant ) et leur score. Dommage que je trouve que FB en fasse un peu trop maintenant a vouloir etre partout a la fois.
Je regrette que toutes les campagnes des candidats n'aient été qu'un plaidoyer CONTRE qq'un plutot qu'une lutte d'idée pour faire avancer notre pays.
04 Mai 2007, 01:48
04 Mai 2007, 01:55
04 Mai 2007, 02:06
Je pense sincerement que ça sera la cas, on va meme se mettre a regretter les annees 90 au rythme actuelOn est mal barrés, faudrait prendre une photo de la France en 2007, en 2012 on pourra ressortir les photos en disant avec nostalgie: "tu vois, c'était comme ça en France, 'avant'..."
ce sont les commissions de spécialistes, au niveau de chaque université, qui recrutent les enseignants, et ce système n'échappe pas à un certain nombre de travers, au premier rang desquels, le localisme. En fait, c'est au Président d'université, que Sarkozy veut donner ce pouvoir : les critères scientifiques ou pédagogiques passeront immanquablement au second plan, après les considérations managériales ou népotiques.
Dans le programme de Sarkozy se profile aussi l'augmentation massive des droits d'inscription (la somme de 4000 euros annuels circule). Il s'agit, nous dit-on, de donner aux universités françaises les moyens de rivaliser dans la concurrence internationale ; et l'Etat, il est vrai appauvri par les baisses d'impôt que Sarkozy consent à ses clientèles électorales, n'a plus les moyens de subvenir à tous leurs besoins. Et d'ajouter que les étudiants pourront emprunter plus facilement, les plus infortunés bénéficiant de bourses
Les étudiants étrangers qui intéressent la France sont désormais les étudiants les plus aisés et depuis quelques années l'agence Edufrance essaie d'attirer ainsi en France les étudiants riches du sud-est asiatiques ou des monarchies du golfe plutôt que ceux, moins solvables, d'Afrique ou d'Amérique latine. Et l'on ne s'embarrasse plus, alors, des compétences, notamment linguistiques de ceux que l'on accueille ou à qui l'on vient vendre, sur place, des titres (l'installation, avant le Louvre, de Paris IV la " Sorbonne " à Abu Dhabi).
Comme pour d'autres services publics, Sarkozy loue les vertus de la concurrence et à pour projet de déréglementer l'enseignement supérieur. L'autonomie qu'il promet aux universités, réclamée par une partie des présidents d'université (mais non par les conseils qui les ont élu !), est par lui définie comme signifiant " liberté de recrutement des étudiants, y compris étrangers, liberté de recrutement des professeurs et liberté des définitions des programmes de recherche "
La liberté de recrutement des étudiants sera l'occasion pour ces universités qui veulent devenir " grands établissements ", et se rapprocher par là des grandes écoles, de pratiquer la sélection à l'entrée, comme l'a fait pendant des années, mais cette fois en toute illégalité, l'université de Paris Dauphine. Le candidat devenu président ne passera pas par la loi pour imposer cette sélection : il s'en remettra aux établissements.
Toutes les universités ne pratiqueront pas, dès lors, une franche sélection ; mais l'orientation " active ", sur la base du faciès scolaire, qui masque mal un profil social, sera de mise.
les inégalités seront encore creusées entre un secteur sélectif (à l'entrée), élargi (les plus " prestigieuses " des universités rejoignant les grandes écoles), et tous les autres établissements, qui verront une partie des meilleurs étudiants, ceux qui ont les moyens financiers de leur mobilité, les déserter
04 Mai 2007, 02:41
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