Modérateur: Modérateurs
BadrBoy, putain la meme mentalite que ceux qui ont vote le pen en 2002
Quote:
(Sans compter qu'il est diabolisé de manière excessive, ce qui me renforce dans cette idée.)
Shocked
serieux on a le droit de vote c est pas pour ca qu il faut l utiliser betement
je dis pas par rapport au fait de voter sarko mais ce sont les raisons que tu avance qui sont affligeantes Shocked
et que le match est plus serré chez les 18-59, le fort stock de votants à tête blanche fait la décision.
Dominique Strauss-Kahn a affirmé mercredi que les propositions économiques de Ségolène Royal sont "crédibles et solides", ajoutant qu'il "se portait garant de la façon dont la politique économique pourra être conduite" en cas de victoire de la gauche.
A quelques heures du face-à-face entre les deux candidats à l'Elysée, Dominique Strauss-Kahn a assuré sur RTL qu'il ne fallait pas avoir "de crainte à l'égard de la politique économique que présente Ségolène Royal".
"Elle est innovante, elle est adaptée à la mondialisation et elle préparera mieux la France à l'avenir que la politique de Nicolas Sarkozy", notamment parce que "Nicolas Sarkzoy, cela va être le conflit". "Le sujet qui a été mis sur la table, c'est finalement (de savoir si) les propositions de Ségolène Royal sont solides, sont crédibles. Et moi je réponds +oui+", a-t-il dit. "Je me porte garant de la façon dont la politique économique pourra être conduite si Ségolène Royal est élue", a-t-il assuré.
L'ancien ministre de l'Economie a estimé qu'entre Ségolène Royal et François Bayrou, "sur de nombreux sujets on a vu des proximités, et puis on a vu des différences notamment en matière économique et c'est bien normal". Dominique Strauss-Kahn a fait valoir qu'entre 1997 et 2000, lorsqu'il était à Bercy, François Bayrou n'avait pas émis de critiques à part sur les 35 heures.
Alors que la candidate socialiste avait indiqué lundi que M. Strauss-Kahn ferait un excellent Premier ministre, le député du Val-d'Oise a confié que s'étant "préparé à être candidat du PS à la présidentielle", il se sentait "prêt pour d'autres choses". Pour autant, la question de Matignon est "un peu prématurée", selon lui.
Interrogé sur le face-à-face télévisé de mercredi soir, il a indiqué que ce genre de débat demandait "une préparation très psychologique". "Ce n'est pas tant un débat sur les questions techniques. Il doit mettre en évidence les personnalités des candidats", a-t-il dit.
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