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Et puis un meeting juste avant le 2nd tour,çà doit pas etre pareil ama.
Qui a des infos sur les meetings qu'il va faire?
Y'a quedal sur ces sites
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"Ce qui nous rassemble est plus important que ce qui nous différencie. Voilà la rénovation politique que je vous propose", a lancé la candidate socialiste en meeting à Chassieu, près de Lyon (Rhône), devant 12 à 15.000 personnes, selon le PS. "Elle est possible", a-t-elle assuré, reconnaissant qu'il s'agit d'une "démarche nouvelle" et "surprenante pour quelques-uns, qui nous demande des efforts aux uns et aux autres pour sortir des dogmes, des idées préconçues ou des camps qui s'affrontent".
S'adressant à "la gauche", aux "écologistes" et "au-delà", Ségolène Royal a appelé à faire bloc autour d'elle pour préserver la "paix civile" et "l'harmonie sociale", dans une allusion transparente à son compétiteur de l'UMP Nicolas Sarkozy. "Je suis convaincue que nous devons nous rassembler dès lors que nous considérons que les valeurs de paix civile et d'harmonie sociale nous sont communes, même s'il reste ici ou là quelques divergences". Elle a également évoqué des idées communes selon elle à la gauche et au centre sur la dette, le déficit des comptes sociaux ou l'éducation. "Je crois pouvoir rassembler".
Un message qui s'adressait "à tous ceux qui pensent qu'on peut réformer la France sans brutalité", "que l'on peut protéger les exclus tout en étant compétitif sur le plan économique", "que trop de violence latente et contenue risque de se déployer demain dans nos territoires et dans nos quartiers". "A tous ceux qui refusent ces fatalités, et partagent ces valeurs, je les appelle à converger massivement pour que la France puisse réaliser ce changement le 6 mai prochain", a-t-elle conclu.
Dominique Strauss-Kahn a opposé vendredi soir la France du "rassemblement incarnée selon lui par Ségolène Royal à la France du "conflit" de Nicolas Sarkozy, lors du meeting de Ségolène Royal à Chassieu (Rhône).
L'ancien ministre de l'Economie a ironisé sur la "mini-Europe" proposée par le candidat UMP et la "mini-France" et le "mini-traité proposé sans doute par un mini-candidat", devant 12 à 15.000 personnes réunies, selon le PS, au parc Eurexpo près de Lyon.
"Avec Nicolas Sarkozy, ce sera la société du libéralisme et du corset", a lancé DSK avant de décrire la France de Ségolène Royal comme une "société démocratique, ouverte" tout en prenant soin de s'adresser aux électeurs de gauche mais aussi aux centristes. " Aujourd'hui, quand on est démocrate ou de gauche, on vote Ségolène Royal!", a-t-il prôné.
Dominique Strauss-Kahn s'en est par ailleurs pris au "débauchage des parlementaires centristes" et "aux menaces contre les médias" qu'il impute à Nicolas Sarkozy. "Un Sarkozy président, ce sont les libertés en cause!", a-t-il lancé.
"Dans la société de Nicolas Sarkozy, il y aura des gagnants, mais il y aura aussi beaucoup de perdants. Ce sera la société du gagnant-perdant, alors que Ségolène Royal vous propose la société du gagnant-gagnant!"
"Nous devons gagner, nous pouvons gagner, nous allons gagner ", a martelé DSK, dont le nom est cité au PS parmi les "Premiers ministrables" si Ségolène Royal remportait le second tour de la présidentielle le 6 mai. Il s'est promis de "gagner" pour les "opprimés au travail", "pour ceux qui sont dans les cités", "pour les patients qui ont besoin de solidarité" et "pour ceux qui cherchent un travail".
"Alors nous allons gagner", "Ségolène Royal saura rassembler. Je la soutiens de toute ma force!", a-t-il conclu.
Nicolas Sarkozy a dénoncé vendredi le "délit de faciès" et le "délit d'opinion" de ses adversaires à son encontre suite aux accusations sur des pressions de sa part pour empêcher le débat entre François Bayrou et Ségolène Royal.
"C'est plus fort que le procès stalinien", s'est insurgé le candidat de l'UMP lors d'une réunion publique devant quelque 10.000 militants à Cournon-d'Auvergne (Puy-de-Dôme).
"Certains me disent: 'nous sommes persuadés que vous avez fait pression sur le CSA pour empêcher que Mme Royal aille débattre avec M. Bayrou. Je n'ai pas de preuve, je n'ai pas d'indice, je n'ai rien qui me permette d'étayer ce que j'avance mais ça ne fait rien. Je suis sûr que c'est vrai parce que votre tête ne me revient pas et parce que vos idées ne me plaisent pas'", a remarqué M. Sarkozy.
"Le délit de faciès et le délit d'opinion sont à la mode chez les bien-pensants", a ajouté le candidat de l'UMP. "Bientôt, tous ceux qui ne sont pas d'accord avec eux seront des fascistes. Cela leur permettra de trouver le point commun qui leur manque pour entrer en coalition avec le parti communiste et avec l'extrême gauche".
"En fait, il s'agit toujours de la même chose. Il s'agit d'escamoter le peuple, de l'empêcher de décider, de le tenir à l'écart, de le manipuler", a poursuivi M. Sarkozy, dénonçant "la coalition des rancoeurs et des déceptions", "le front commun des haines et des intolérances", "les petites manoeuvres politiciennes du temps où triomphait le régime des partis".
Selon lui, "les adeptes de la pensée unique n'ont pas supporté le premier tour". "Le peuple a choisi et ce n'est pas conforme à la pensée unique", a estimé le candidat UMP, fort de ses 31,18% du premier tour.
"Le peuple s'est levé. Et maintenant on veut le faire rasseoir. On veut le remettre à l'écart. On veut l'ensevelir sous une avalanche de faux débats. On veut que plus personne ne puisse lui parler", a dénoncé M. Sarkozy. "Parce qu'en réalité on ne veut pas que le peuple soit libre. On le préfère ignorant, parce que l'ignorant n'est pas libre".
Le candidat de l'UMP a promis d'être le "candidat du peuple français" face à Ségolène Royal, "candidate des partis et des combinaisons"
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