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Le Manceau, qui n'a plus grand chose à prouver outre-atlantique, espérait depuis longtemps décrocher enfin un volant en F1, mais jusque là toutes les pistes avaient échoué, souvent par manque de moyen, les écuries de seconde zone préférant recruter des pilotes accompagnés de sponsors. Après plusieurs tests effectués avec l'écurie italienne, Bourdais a donc convaincu Gerhard Berger, la patron de Toro Rosso, de lui donner sa chance. Il sera accompagné par le jeune Allemand Sébastian Vettel, actuellement troisième pilote. Scott Speed et Vitantonio Liuzzi, contestés depuis plusieurs semaines, doivent donc se trouver une autre baquet. Bourdais devient le premier pilote français engagé dans un championnat du monde de F1 depuis la retraite d'Olivier Panis à l'issue de la saison 2004.
el loco a écrit:c'est ça l'OM je me rappellerais toujours la place Bellecour noire de monde pour fêter la victoire marseillaise en coupe d'Europe, tout le monde s'embrassait, ça klaxonnait
F1 - GP d'Italie - Accueil spécial pour Alonso
Le spectacle n'est décidément pas que sur le bitume à Monza cette année. Les fans italiens, qui ne manquent pas une miette des péripéties de McLaren (jalousies entre les pilotes, affaire d'espionnage contre Ferrari), se régalent de banderoles goguenardes déployées dans les tribunes. Faisant référence aux monoplaces Ferrari, l'une d'elles lance au patron de McLaren : «Ron, j'ai ici les plans 2008, appelle moi au....» Un peu plus loin : «Ron, l'an dernier la monoplace McLaren était un veau. Cette année avec les mêmes ingénieurs, vous avez une voiture qui gagne. Alonso n'aurait-il pas quelque chose à voir avec ça ?» Ou encore, sur un grand drapeau espagnol : «Alonso, tu les as aidés à gagner, ils t'ont aidé à perdre, où est l'équité, où est le fair play ?» demande un supporteur, en allusion à la saison blanche de McLaren en 2006, et au contentieux qui l'oppose à son jeune coéquipier Lewis Hamilton. Voilà qui promet.
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