Etudes ou conseils d'orientation

rien ne vaut des etudes de branlo debouchant sur un diplome d'etat paramedical

rien ne vaut des etudes de branlo debouchant sur un diplome d'etat en paragérontologie

Il en faut pour tous les goûts.

320cds, y'a aussi plein de gens qui s'en sortent bien avec une maîtrise de philo. Ce sont ceux qui, leur maîtrise en poche, s'appuient sur la culture et la méthode acquises pour faire un cycle court d'autre chose.

Y'a plein de gens qui ont aussi des accidents de voiture et qui s'en sortent sans une égratignure.
Ta vision me parait un peu idéalisée.

M'enfin mon propos n'est nullement de dire que les études d'histoire, philo ou sociologie n'ont aucun intérêt. Il est que beaucoup d'ado sont un peu laissé seul pour faire leur choix d'orientation post bac, sans avoir forcément la maturité ou la connaissance pour.

Tout le monde n'a pas des parents connaissant les arcanes des études et du monde du travail, permettant d'aiguiller le futur étudiant.
Faire 4 ans de philo, d'histoire ou de sociologie, sans avoir conscience que tel que, cela ne vaut rien sur le marché du travail, qu'il faudra ou faire parti des meilleurs pour en vivre (via le Capes par exemple) ou se recycler dans un BTS ou un DUT au milieu de boutonneux de 18 ans, c'est bien dommage.
Le faire en parfaite connaissance de cause est différent.

Pour la biologie, je connais 2 personnes proches qui galèrent avec leur DEA en poche. C'est pour ça que je pose la question à Bobpanda.

En faite j'ai fais trois années de deug, j'avais raté le deuxième semestre de 15 points la première année donc l'année d'après en septembre j'ai repris en deuxième semestre puis la fin de l'année j'ai passé les options de la deuxième année.
La troisième j'ai attaqué la deuxième année normalement mais mon père est décédé en décembre d'un crabe donc j'ai attaquè une filière dites courte et j'ai fait le dut en 1 an par le biais de l'année spéciale.
Puis par le biais des passerelles j'ai fait une licence de biologie des organismes ( qui était bien pourrit ).
La force des choses m'a fait intégrer le monde du travail après avoir fait le magnifique service militaire (je fais partit du dernier contingent de petit chanceux qui ont fait leur 10 mois )
Il y avait plein de dea et maitrise de biologie avec moi en DUT.
Mais bon les prof nous avez dans le nez car on venait de la fac et qu'on en avait rien à foutre des cours car on avait tous vu le programme à la fac,cela ma permis de plus manipulé que pendant mes années de faculté, et je peux vous dire que passé un an aux milieux de petits boutonneux qui se la pète c'est dur.
Mais bon on était les années spatiales car on était un peu trop perché pour eux.

320cds, je ne suis pas d'accord. Je connais pas mal d'exemples de ce que j'avance. Ca ne constitue pas une preuve, encore moins une statistique, mais une indication.

Il y a deux erreurs à ne pas faire à propos de ce genre d'études. La première est de croire qu'on est attendu les bras ouverts par le marché du travail avec son mastère de philo, de psycho ou d'histoire en poche. OK avec toi là-dessus. La deuxième est celle que tu fais en pensant que cela entraîne que tu ne peux rien en faire. C'est une excellente base à faire valoir. Tu peux faire un an de plus et préparer les concours administratifs de la catégorie A. Tu peux faire une spécialisation en ressources humaines. Tu peux te tourner vers n'importe quel métier d'art, vers la communication. Tu peux rentrer dans une école de journalisme.

Bref, il y a des milliers de choses à faire avec un diplome universitaire. A condition de s'en servir comme tremplin pour une formation complémentaire et professionnelle.

320cds, je ne suis pas d'accord. Je connais pas mal d'exemples de ce que j'avance. Ca ne constitue pas une preuve, encore moins une statistique, mais une indication.

Il y a deux erreurs à ne pas faire à propos de ce genre d'études. La première est de croire qu'on est attendu les bras ouverts par le marché du travail avec son mastère de philo, de psycho ou d'histoire en poche. OK avec toi là-dessus. La deuxième est celle que tu fais en pensant que cela entraîne que tu ne peux rien en faire. C'est une excellente base à faire valoir. Tu peux faire un an de plus et préparer les concours administratifs de la catégorie A. Tu peux faire une spécialisation en ressources humaines. Tu peux te tourner vers n'importe quel métier d'art, vers la communication. Tu peux rentrer dans une école de journalisme.

Bref, il y a des milliers de choses à faire avec un diplome universitaire. A condition de s'en servir comme tremplin pour une formation complémentaire et professionnelle.

Je suis d'accord dans l'absolu mais dans la réalité c'est déjà difficile de trouver du boulot (je parle à bac +4/5) avec un diplôme universitaire alors si en plus tu te pointes avec un diplome de lettres, t'es pas prêt d'arriver. Les vrais débouchés restent comme tu le dis les ressources humaines et la communication mais c'est loin d'être glorieux, compte tenu de leur niveau.

Reste après la fonction publique, mais c'est pas la panacée en ce moment.

c'est la que l'on voir qu'il n'y a aucune relation entre les sociétés prives et vos universités

Maintenant je suis technicien de laboratoire dans un petit laboratoire de ville qui sous-traite les analyses de l'hôpital publique, mais bon j'ai bossé dans un institut à paris avec le docteur Jean Marc Bobo ( les jeunots du topic sms qui regarde la rubrique sexo du journal de la santé doivent connaitre ), puis dans un gros labo d'analyses en banlieue parisienne.
Mais bon j'ai fait les petites et grosses structures et je peux te dire que c'est un beaux milieux de charogne, je pourrais bossé en r et d dans les gros labo pharmaceutique mais j'ai une éthique je ne veux pas testé les médicaments ou autres crèmes pour gogo sur les animaux.
Et les labo de la police scientifiques je ne peux pas car j'ai été exempt d'activité physique à l'armée.

320cds, je ne suis pas d'accord. Je connais pas mal d'exemples de ce que j'avance. Ca ne constitue pas une preuve, encore moins une statistique, mais une indication.

Il y a deux erreurs à ne pas faire à propos de ce genre d'études. La première est de croire qu'on est attendu les bras ouverts par le marché du travail avec son mastère de philo, de psycho ou d'histoire en poche. OK avec toi là-dessus. La deuxième est celle que tu fais en pensant que cela entraîne que tu ne peux rien en faire. C'est une excellente base à faire valoir. Tu peux faire un an de plus et préparer les concours administratifs de la catégorie A. Tu peux faire une spécialisation en ressources humaines. Tu peux te tourner vers n'importe quel métier d'art, vers la communication. Tu peux rentrer dans une école de journalisme.

Bref, il y a des milliers de choses à faire avec un diplome universitaire. A condition de s'en servir comme tremplin pour une formation complémentaire et professionnelle.

On est à peu près d'accord, mon propos initial était pour rejoindre ton premier point la faiblesse de l'information donnée par l'orientation à l'école.
Sans raconter my life, j'ai fait mes choix totalement seul, à 17 piges, mes parents ayant un peu d'autres chats à fouetter.

Bon sinon pour le second point, ta liste parait aguichante à première vue, un peu comme un groupe de filles, mais quand tu t'arrêtes une par une c'est un peu moins glorieux.

Histoire de faire mon chieur :

Les concours administratifs, c'est vrai avec n'importe quel diplome si tu as le BAC + X qui va bien. Faut ensuite le réussir (comme tout concours) et regarder les postes possibles dans le merveilleux univers de la fonction publique.

Spécialisation RH, beaucoup notamment après les fACS d'AES et d'éco font le DESS, le marché est un peu saturé. Ta maitrise d'histoire ne me parait pas le meilleurs atout sur le CV VS une maitrise plus adaptée.

Les métiers d'Arts, faut voir ce que tu englobes là dedant mais tu peux t'y tourner surtout si tu es un peu doué pour quelque chose.

La communication, il y a énormément d'école qui y destinent et les places sont chères. Ta maitrise d'histoire ne pèsera pas lourd.

Pour le journalisme, c'est pour ça à la base que j'étais parti sur une fac d'éco. C'est pareil, il faut que ce soit un sacerdose, que tu piges les étés, le piston est le bienvenue... Vouloir faire journaliste et passer par une fac d'histoire puis préparer le concours, c'est bien.
Se retrouver avec sa maitrise d'histoire en poche et se dire, tiens que faire. Journaliste ? c'est plus mal barré.

Toutefois, ayant connu la fac et une ESC, je reconnais à chacune des filières ses qualités et ses défauts. Et je reconnais qu'il est bon dans une boite de ne pas avoir un groupe de collab ayant tous suivi le même cursus. Les parcours différents de chacun amènent une richesse à une équipe.

Enfin il y a fac et fac : maths, physique, droit, éco.. ce sont des filières qui ont de la demande; psycho, socio, lettres, histoire... il faut être clair, sortie de l'enseignement, c'est un pas vraiment la voie royale pour taffer.

Modifié en dernier par 320cds le 02 Mai 2008, 16:03, modifié 1 fois.

c'est la que l'on voir qu'il n'y a aucune relation entre les sociétés prives et vos universités

C'est entièrement faux ce que tu dis el ma , à clermont la faculté travaille en collaboration avec le groupes limagrain , avec michelin et d'autres partenaires dans les nouvelles technologie.http://fr.wikipedia.org/wiki/Limagrain
Mais il y a eu un incendie dans un laboratoire où 70% de la recherche sur les ogm de france à brulè.

entièrement faux 1 exemple sur 5000

peops, 320cds, bémols recevables... Il est clair que mieux vaut sortir de l'ESSEC ou de Centrale. Je voulais essentiellement dire que c'était faisable, à condition de ne pas avoir les deux pieds dans le même sabot.

On parlait il n'y a pas longtemps des effets pervers du système des grandes écoles, en voilà un. Une école, par définition, c'est "mieux". Idée profondément ridicule, mais bon.

A haut niveau de qualification, les docteurs (titulaires d'une thèse, quoi, pas les toubibs ) ne trouvent pas d'emploi, ou difficilement, alors qu'en Allemagne ou en Autriche, le doctorat est un plus important, même un doctorat théorique dans le privé. L'entreprise sait qu'elle va devoir faire un effort de formation, mais qu'elle va disposer ensuite de quelqu'un de performant (statistiquement, hein, on peut être docteur et nul...) Ce type de comportement n'est pas au catalogue des recruteurs Français, semble-t-il. On aime les gens issus du moule.

Je te parles de l'université que je connais car je l'ai fréquenté, c'est un cas concret de ce qui se passe en france.
Il y a beaucoup d'intéraction entrprise-faculté mais ce que le gouvernement voudrait c'est que les entreprises recrute en fac par le biais de chasseurs de têtes comme dans les écoles privées.
Il voudrait que le programme soit choisit par rapport au besoin de l'entreprise et ne soit plus général.
Donc on aurait des université spécialisé dans tel ou tel domaine et le savoir ne serait plus enseigné à un grand nombre mais à une élite.

Pour les docteurs en biologie je trouves honteux que ce soit des pharmaciens ou des médecins qui peuvent ouvrir un laboratoire d'analyses car les docteurs en sciences de la vie et de la terre ont les même connaissances qu'eux ( voir plus ).

Je te parles de l'université que je connais car je l'ai fréquenté, c'est un cas concret de ce qui se passe en france.
Il y a beaucoup d'intéraction entrprise-faculté mais ce que le gouvernement voudrait c'est que les entreprises recrute en fac par le biais de chasseurs de têtes comme dans les écoles privées.
Il voudrait que le programme soit choisit par rapport au besoin de l'entreprise et ne soit plus général.
Donc on aurait des université spécialisé dans tel ou tel domaine et le savoir ne serait plus enseigné à un grand nombre mais à une élite.

mais bien sur tu crois qu'il ya pas d'elite

Nan, l'élite, c'est Science po, epicétout. C'est le directeur qui l'a dit à Fabmars.

Pour le moment n'importe qui est titulaire du baccalauréat peut entré en faculté et peux avoir accès à l'enseignement.
Une élite il y en à une et quand je vois comment il se serve de leurs cerveaux depuis le premier crash pétroliers et bien ca me fait marré, c'est pas une élite qu'on a c'est une bande d'incapable qui ne prévoit que sur le court terme et qui ne font aucun projection sur le long terme , qui ne se remette que peu en question et qui ont une éthique et une déontologie proche de zéro.

c'est bien d'être naïf bobpanda,

peops, 320cds, bémols recevables... Il est clair que mieux vaut sortir de l'ESSEC ou de Centrale. Je voulais essentiellement dire que c'était faisable, à condition de ne pas avoir les deux pieds dans le même sabot.

On parlait il n'y a pas longtemps des effets pervers du système des grandes écoles, en voilà un. Une école, par définition, c'est "mieux". Idée profondément ridicule, mais bon.

A haut niveau de qualification, les docteurs (titulaires d'une thèse, quoi, pas les toubibs ) ne trouvent pas d'emploi, ou difficilement, alors qu'en Allemagne ou en Autriche, le doctorat est un plus important, même un doctorat théorique dans le privé. L'entreprise sait qu'elle va devoir faire un effort de formation, mais qu'elle va disposer ensuite de quelqu'un de performant (statistiquement, hein, on peut être docteur et nul...) Ce type de comportement n'est pas au catalogue des recruteurs Français, semble-t-il. On aime les gens issus du moule.

Absolument d'accord et pour cause j'ai un diplôme universitaire

A l'étranger les étudiants se battent pour aller dans les facs et les entreprises y recrute en priorité, en France on privilégie les écoles. Dans ma spécialité, c'est encore pire, je sors de la meilleure fac d'Europe et l'une des meilleures au monde mais en France, on préfère un mec qui a fait une école et qui n'y connait rien (reproduction des "élites" powaa).

C'est déprimant.

peops, le truc à faire ne serait-il pas de jouer l'expa sur un premier poste ? Après, tu peux rentrer en France en faisant valoir une expérience professionnelle de premier plan, qui peut l'emporter sur le diplome.