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sillicate a écrit:rien ne vaut des etudes de branlo debouchant sur un diplome d'etat en paragérontologie
fourcroy a écrit:320cds, y'a aussi plein de gens qui s'en sortent bien avec une maîtrise de philo. Ce sont ceux qui, leur maîtrise en poche, s'appuient sur la culture et la méthode acquises pour faire un cycle court d'autre chose.
fourcroy a écrit:320cds, je ne suis pas d'accord. Je connais pas mal d'exemples de ce que j'avance. Ca ne constitue pas une preuve, encore moins une statistique, mais une indication.
Il y a deux erreurs à ne pas faire à propos de ce genre d'études. La première est de croire qu'on est attendu les bras ouverts par le marché du travail avec son mastère de philo, de psycho ou d'histoire en poche. OK avec toi là-dessus. La deuxième est celle que tu fais en pensant que cela entraîne que tu ne peux rien en faire. C'est une excellente base à faire valoir. Tu peux faire un an de plus et préparer les concours administratifs de la catégorie A. Tu peux faire une spécialisation en ressources humaines. Tu peux te tourner vers n'importe quel métier d'art, vers la communication. Tu peux rentrer dans une école de journalisme.
Bref, il y a des milliers de choses à faire avec un diplome universitaire. A condition de s'en servir comme tremplin pour une formation complémentaire et professionnelle.
fourcroy a écrit:320cds, je ne suis pas d'accord. Je connais pas mal d'exemples de ce que j'avance. Ca ne constitue pas une preuve, encore moins une statistique, mais une indication.
Il y a deux erreurs à ne pas faire à propos de ce genre d'études. La première est de croire qu'on est attendu les bras ouverts par le marché du travail avec son mastère de philo, de psycho ou d'histoire en poche. OK avec toi là-dessus. La deuxième est celle que tu fais en pensant que cela entraîne que tu ne peux rien en faire. C'est une excellente base à faire valoir. Tu peux faire un an de plus et préparer les concours administratifs de la catégorie A. Tu peux faire une spécialisation en ressources humaines. Tu peux te tourner vers n'importe quel métier d'art, vers la communication. Tu peux rentrer dans une école de journalisme.
Bref, il y a des milliers de choses à faire avec un diplome universitaire. A condition de s'en servir comme tremplin pour une formation complémentaire et professionnelle.
EL MAGNIFICO a écrit:c'est la que l'on voir qu'il n'y a aucune relation entre les sociétés prives et vos universités
bobpanda a écrit:Je te parles de l'université que je connais car je l'ai fréquenté, c'est un cas concret de ce qui se passe en france.
Il y a beaucoup d'intéraction entrprise-faculté mais ce que le gouvernement voudrait c'est que les entreprises recrute en fac par le biais de chasseurs de têtes comme dans les écoles privées.
Il voudrait que le programme soit choisit par rapport au besoin de l'entreprise et ne soit plus général.
Donc on aurait des université spécialisé dans tel ou tel domaine et le savoir ne serait plus enseigné à un grand nombre mais à une élite.
fourcroy a écrit:peops, 320cds, bémols recevables... Il est clair que mieux vaut sortir de l'ESSEC ou de Centrale. Je voulais essentiellement dire que c'était faisable, à condition de ne pas avoir les deux pieds dans le même sabot.
On parlait il n'y a pas longtemps des effets pervers du système des grandes écoles, en voilà un. Une école, par définition, c'est "mieux". Idée profondément ridicule, mais bon.
A haut niveau de qualification, les docteurs (titulaires d'une thèse, quoi, pas les toubibs ) ne trouvent pas d'emploi, ou difficilement, alors qu'en Allemagne ou en Autriche, le doctorat est un plus important, même un doctorat théorique dans le privé. L'entreprise sait qu'elle va devoir faire un effort de formation, mais qu'elle va disposer ensuite de quelqu'un de performant (statistiquement, hein, on peut être docteur et nul...) Ce type de comportement n'est pas au catalogue des recruteurs Français, semble-t-il. On aime les gens issus du moule.
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