23 Jan 2007, 16:42
On verra bien, pour qui il va appeler à voter pour le 2eme tour. 
23 Jan 2007, 16:50
etienne92200, tu veux dire pour le face à face entre Royal et Le Pen ? Je crois le savoir...
23 Jan 2007, 17:02
fourcroy, 
, en cas de 2eme tour ns et sr.
, en cas de 2eme tour ns et sr.
23 Jan 2007, 17:07
il appelera à voter UMP , comme il l'a toujours fait ....
23 Jan 2007, 17:52
Ben, je trouve ça très creux... Sur l'Europe, c'est vide. Il dit "j'aime l'Europe". Bien, super, et
Sur l'ISF, les classes moyennes-supérieures vont encore trinquer... Il déplore d'une part qu'on "n'ait pas eu le courage de faire bouger les seuils suivant le coût du logement", et il propose un seuil et un taux unique à partir de 750.000 euros, qui touchera donc les propriétaires de 100 mètres carrés à Paris. 
En revanche, il a peut-être raison sur le taux trop élevé et ses conséquences.
23 Jan 2007, 18:08
etienne92200 a écrit:On verra bien, pour qui il va appeler à voter pour le 2eme tour.
Ben pour lui...
il propose un seuil et un taux unique à partir de 750.000 euros, qui touchera donc les propriétaires de 100 mètres carrés à Paris.
Je pensais que 750000€ c'etait déja le plafond actuel.
Il me semble qu'il n'y a pas grand monde qui soit propriétaire de 100 m² à Paris... Et meme ca n'en concernerait (pour se borner aux chiffres) que la moitié... Et j'ai l'impression que ceux qui ont 100m² à Paris paient deja l'ISF n'ont pas besoin de leur appart pour payer l'ISF...
Jodko.
23 Jan 2007, 21:08
ça change rien sauf que il y a plus de monde qui paye mais moins cher. Les montants sont les mêmes
23 Jan 2007, 21:17
fukusan, d'après ce que j'ai compris, la méthode d'imposition étant considérablement simplifiée, ça réduirait aussi les frais...
24 Jan 2007, 10:46
François Bayrou voudrait stabiliser la dette publique en 3 ans
PARIS (Reuters) - François Bayrou, candidat de l'UDF à l'élection présidentielle, assure qu'il faudra trois ans pour stabiliser la dette publique de la France.
"Je pense qu'il faut trois ans pour arriver (...) à présenter un budget suffisamment équilibré pour que la dette ne grossisse plus", a-t-il déclaré mercredi au micro d'Europe 1.
S'il est élu président de la République, François Bayrou, que certains sondages placent en troisième place au premier tour avec jusqu'à 12% des intentions de vote, inscrira dans la Constitution "l'interdiction pour tout gouvernement de présenter un budget en déficit de fonctionnement".
Le gouvernement actuel prévoit un retour des comptes publics à l'équilibre en 2010 et l'abaissement du ratio dette/produit intérieur brut à 60%, contre près de 65% prévus en 2006.
Pour contribuer à réduire la dette publique, François Bayrou a souligné l'importance durant la campagne électorale de ne pas avoir de candidats se laisser entraîner "à annoncer des choses qui sont absolument du domaine de l'illusion (...), des dizaines de milliards d'euros de dépenses supplémentaires".
A l'UDF aussi on rase gratis
PARIS (Reuters) - François Bayrou, candidat de l'UDF à l'élection présidentielle, assure qu'il faudra trois ans pour stabiliser la dette publique de la France.
"Je pense qu'il faut trois ans pour arriver (...) à présenter un budget suffisamment équilibré pour que la dette ne grossisse plus", a-t-il déclaré mercredi au micro d'Europe 1.
S'il est élu président de la République, François Bayrou, que certains sondages placent en troisième place au premier tour avec jusqu'à 12% des intentions de vote, inscrira dans la Constitution "l'interdiction pour tout gouvernement de présenter un budget en déficit de fonctionnement".
Le gouvernement actuel prévoit un retour des comptes publics à l'équilibre en 2010 et l'abaissement du ratio dette/produit intérieur brut à 60%, contre près de 65% prévus en 2006.
Pour contribuer à réduire la dette publique, François Bayrou a souligné l'importance durant la campagne électorale de ne pas avoir de candidats se laisser entraîner "à annoncer des choses qui sont absolument du domaine de l'illusion (...), des dizaines de milliards d'euros de dépenses supplémentaires".
A l'UDF aussi on rase gratis
24 Jan 2007, 11:21
Amusant : Bayrou nous refait le coup de chevenement de 2002 ...
C'est très ressemblant, en tout cas.
C'est très ressemblant, en tout cas.
24 Jan 2007, 12:25
En tout cas, c'est une bonne idée de stabiliser la dette. Il ne faut peut-être pas en faire une obsession car on peut se souvenir de Ceaucescu dont le fait d'armes était d'avoir fait de la Roumanie un pays non endetté... on a vu à quel prix.
Une dette élevée, c'est une part du budget de plus en plus importante qui part en fumée, servant juste à rembourser les intérêts, donc à enrichir ces sales capitalistes de banquiers. On le voit bien d'ailleurs au niveau d'une société comme Eurotunnel, qui marche bien, mais qui part en couille uniquement du fait de sa dette.
Une dette élevée, c'est une part du budget de plus en plus importante qui part en fumée, servant juste à rembourser les intérêts, donc à enrichir ces sales capitalistes de banquiers.
On le voit bien d'ailleurs au niveau d'une société comme Eurotunnel, qui marche bien, mais qui part en couille uniquement du fait de sa dette.
24 Jan 2007, 12:53
Tiens, Bayrou viendrait de passer devant JMLP dans les derniers sondages... 
Bizarrement, au-delà de ses électeurs de base, les intentions de vote viendraient à peu près à égalité de sa droite et de sa gauche, ce seraient les fameux électeurs "ni Ségo ni Sarko" style... Ca me dit qq chose ça...
Sinon le coup d'amener la dette sur le devant des discussions est plutôt adroit, ça permet à FB de jouer sur un des ses leit-motiv's "les promesses électorales qui ne pourront pas être tenues (cause la dette, vous suivez hein?), y'en a marreuh"...
Bizarrement, au-delà de ses électeurs de base, les intentions de vote viendraient à peu près à égalité de sa droite et de sa gauche, ce seraient les fameux électeurs "ni Ségo ni Sarko" style... Ca me dit qq chose ça...
Sinon le coup d'amener la dette sur le devant des discussions est plutôt adroit, ça permet à FB de jouer sur un des ses leit-motiv's "les promesses électorales qui ne pourront pas être tenues (cause la dette, vous suivez hein?), y'en a marreuh"...
24 Jan 2007, 12:56
OMLive pèse sur la vie politique française
24 Jan 2007, 12:59
OMLIVE a fait le choix du :
Ni Fukusan Ni Etienne !
Ni Fukusan Ni Etienne !
24 Jan 2007, 13:03
24 Jan 2007, 13:28
JPP REVIENS, euh .... pas cool de mettre mon nom avec celui de Fukusan
24 Jan 2007, 13:29
JPP REVIENS a écrit:OMLIVE a fait le choix du :
Ni Fukusan Ni Etienne !
24 Jan 2007, 16:00
Lolo_DV a écrit:Quitte à parler 4 langues, je trouve qu'il est plus enrichissant de parler français, anglais, espagnol et chinois que français, occitan, breton et corse.
Enrichissant au niveau des perspectives économiques donc ... c'est pas très objectif.
Tu estimes donc que quand une langue est estampillée "morte", il est inutile de la promouvoir car elle n'est plus enrichissante pour personne ? qu'on éxécute tous les profs de Latin et de Grec.
Moi je fais Anglais et Espagnol, Japonais débutant, ça me dirait de faire un peu de l'Occitan ou de la langue des signes. Même si ça touche qu'une infime minorité de gens, c'est pas là mon souci principal ...
Euh, pas du tout. Je pense qu'on est bien en désaccord, mais je n'ai pas dit ce que je n'ai pas dit.
Une langue, c'est un accès à de la culture, à un corpus, un outil de communication. Si tu vis en Corse et que ton milieu familial/amical parle en corse, il est bienvenu d'apprendre le corse, parce que cela te permet de ne pas rester en marge, de communiquer, de t'intégrer au groupe. Ce n'est pas le cas pour le provençal, qui n'est plus parlé. Culturellement, je crois l'avoir déjà dit, il n'y a rien d'absurde à lire Frédéric Mistral dans le texte et à découvrir la culture historique de sa région (ou même d'une autre, d'ailleurs).
En revanche, je maintiens, même si ça a un petit côté colonialiste, qu'il vaut mieux encourager l'apprentissage de l'espagnol que du provençal. L'accès à la communication avec les hispanophones, à la littérature de langue espagnole, aux livres techniques en espagnol, aux pages ouaibe en espagnol, tout cela représente une immense richesse que n'offre pas le provençal. C'est aussi économiquement plus rentable - je ne vois pas de raison de mépriser cet argument tant qu'il ne devient pas exclusif.
Le latin et le grec sont une question un peu différente ; que je sache, personne n'a jamais réclamé qu'on inscrive Massilia sous "Marseille" sur les panneaux indicateurs. On ne cherche pas non plus à ressusciter le latin comme langue vivante. Leur apprentissage est un approfondissement du français et de nos racines culturelles, la philosophie, le droit, les sciences étant hérités (en partie) de l'Antiquité gréco-romaine.
Cela étant, il se peut que ce soit toi qui sois dans le sens de l'Histoire. La notion de Nation est pour moi la notion fondamentale, et c'est une notion du XIXème siècle en perte de vitesse. Bismarck et Garibaldi sont un peu passés de mode, et il est possible que se développe dans le futur une double culture, l'une planétaire, l'autre régionale, au détriment de la culture nationale. C'est aujourd'hui le cas en Europe centrale, notamment.
24 Jan 2007, 16:02
fourcroy a écrit:il est possible que se développe dans le futur une double culture, l'une planétaire, l'autre régionale, au détriment de la culture nationale. C'est aujourd'hui le cas en Europe centrale, notamment.
Et ça ouvre des perspectives intéressantes.
24 Jan 2007, 16:03
On ne cherche pas non plus à ressusciter le latin comme langue vivante
Ora et labora.
jai vu + convaincant comme démo