kant59 a écrit:ne t'inquietes pas etienne 92200. Je suis dans une école belge mais je fais mon sujet sur la politiaque de mon pays : la france. Sinon, tu as rasion, la politique belge est différente de laz notre.
Un conseil : passe au correcteur orthographique avant de rendre ton pensum...
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Ou rends son clavier à
rocca
Sur le fond, "l'influence des médias sur les électeurs", la grosse difficulté du sujet est de mesurer cette influence, et ce de manière raisonnablement objective. Le seul vrai révélateur de l'état de l'opinion, c'est précisément l'élection, et bien malin qui peut dire en détail pour quelles raisons les gens ont voté pour telle ou tel. On ne peut pas faire la part des votes entre ceux que les médias ont influencés et ceux qui y sont restés sourds... C'est là que ton sujet me semble très difficile. Parce qu'avoir l'impression que les médias nous manipulent est un chose, expliquer en quoi ils le font nécessite un peu d'analyse, mais prouver que leur manipulation est efficace est bcp plus compliqué !
Une solution très partielle peut être trouvée par une enquête approfondie des sujets traités par les grands médias et des sondages d'opinion avant et après - genre l'importance accordée à l'insécurité a-t-elle augmenté suite à la campagne éhontée menée par TF1 ?
En passant, quelque chose dont je suis convaincu sans pouvoir le prouver, justement : les sondages politiques sont un cancer de la démocratie en ce qu'ils influencent directement les votes. D'une part en jouant sur la motivation des électeurs prêts à voter pour X s'il le faut vraiment, mais pas enthousiastes, d'autre part parce que les campagnes, notamment présidentielles, sont un peu une grande foire. On a de la sympathie pour qui remonte dans les sondages peu à peu comme on a de la sympathie pour le mec qui reprend du temps pendant une étape de montagne du tour de France. Il ne faut d'ailleurs pas oublier que les médias français (contrairement aux médias anglais) passent toujours sous silence les marges d'erreurs - non négligeables - des sondages, ce qui est bien sûr de la désinformation caractérisée. Par exemple, passer de 50-50 à 52-48 ne signifie aucunement que l'opinion ait été modifiée en quoi que ce soit... L'écart est trop faible pour être significatif.