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18 Jan 2004, 19:30

Al Moujrihoun a écrit:
EL MAGNIFICO a écrit:recentrons le debat la france a leconomie dun pays comme le portugal ou la grece :|

d'accord avec toi,ce n'était qu'une parenthèse que j'ai ouverte pour stigmatiser un probleme comme il y en a tant d'autres en france.
ma conclusion est simple sur ce dossier,certains n'acceptent pas le fait que des francais de confession Musulmane puisse exister et être visibles...on appel ca comment déjà?


tu exagere un peu aussi il ny a pas que lislam qui est touche par cette lois
meme si cest le foulard qui fait debat :wink:
cest sur tous les signes religieux la lois

18 Jan 2004, 19:34

Al Moujrihoun a écrit:mais t'es bete u quoi?en quoi est-ce contraire à ce que je dis?se protéger,tu sais ce que ca veut dire?ca veut dire se protéger du regard et du désir de la personne qui n'est pas ton mari,ou qui n'est pas de ta famille,seul le mari et la famille de la femme ont le droit de distinguer les autours de celle ci!!!!!!!!IL FAUT QUE JE TE LE DISE EN QUELLE LANGUE CA EN REVIENT A CONFIRMER CE QUE JE DISAIS!!!!!
Tu ne peux pas nier le cote mysogyne de cette disposition. Pourquoi devraient-elles "se proteger des regards et du desir des hommes"? C'est pas parce qu'elles ne portent pas de voile qu'elles sont "a poils"!!
Encore une fois, il n'y pas que les "putes" et les "voilees".

Qd tu dis que des parents ont le droit de mettre le voile a une fille de 8 ans... Elle doit, a 8 ans, "se proteger des regards et du desir des hommes"?

Tout comme les parents qui habillent leurs filles en femme, c'est completement deplorable.

18 Jan 2004, 19:36

ok avec beenie.

Quand tu dis, Al Mouji, que toutes les femmes devraient le choisir librement, il faut préciser le nombre important de celles qui ne veulent pas le porter mais que

1.) leur famille (père et frères) leur oblige à le faire
2.) elles sont tellement considérées comme des ... qu'elles le mettent de dépit pour être tranquilles.

Quand tu dis que les phrases ont été sorties de leur contexte, je serai curieux comment une phrase telle que "Admonestez celles (de vos femmes) dont vous craignez l'infidélité ; reléguez-les dans des chambres à part et frappez-les ..." puise être changée dans le contexte initial !

Souvenez-vous toujours que le Coran a été écrit par des hommes (je précise que je suis croyant, mais sans religion) et que Mahomet n'avait laissé aucune consigne quand à son écriture (effectuée plus de 40 ans après sa mort). On peut donc se poser la question de passages contradictoires (je vous écrirai la source demain) ainsi que d'idées qui reflétaient la culture des écrivains du Coran, et non les préceptes qu'ils avaient reçu de Mahomet.

18 Jan 2004, 19:52

Mahomet

Non je t en supplie pas ca!!! Mohamed ou Mohammed mais pas Mahomet. Je me suis deja assz embrouille avec mes profs d histoire!! :D :D

Et puis pour en venir ou foulard , je vois pas en quoi ca derange une fille qui porte le voile comme l'inverse une fille qui n en porte pas. Chacun ses choix,chacun fait ce qu'il veut.
Oui le foulard est obligatoire (durant la priere) pour toute musulmane pratiquante.
Et puis je vois pas l interet des parents de forcer une fille a porter le voile vu que le jour du jugement on se retrouvera SEUL devant dieu.
Maintenant je comprends pas les mecs qui disent que le foulard c est arrieré, qu on est au XXI siecle blablablabla
Dites plutot que vous etes degoutes de voir une fille voilé plutot que de voir une fille stringué.
Dans pleins de pays ou vivent des immigres musulmans, on voit qu'ils ont reussi a mieux s integrer qu en France. Au States, en Allemagne en Angleterre tu peux porter le voile a l ecole et ca leur derange pas.

18 Jan 2004, 20:00

La France est un Etat laïc, c'est ca la différence.

18 Jan 2004, 20:00

et la turquie ideh, #-o

18 Jan 2004, 20:03

Dans pleins de pays ou vivent des immigres musulmans, on voit qu'ils ont reussi a mieux s integrer qu en France. Au States, en Allemagne en Angleterre tu peux porter le voile a l ecole et ca leur derange pas.

:shock:
nimporte quoi en angleterre vous ne fetes pas parti de la societe
tous les etrangers sont oblige de faire du communautarisme
va au state en ce moment et on verra ideh, :D

18 Jan 2004, 20:18

Le melting pot devient le pot melting

18 Jan 2004, 20:18

Al Moujrihoun a écrit:le port du foulard est une obligation,c'est écrit dans le Coran « Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »

Ben alors c'est les paroles du Coran qui doivent etre condamnées. On est plus au Moyen-Age :roll:

18 Jan 2004, 20:26

mr.le.maire a écrit:Le melting pot devient le pot melting


C'est vrai ke le terme a disparu. Maintenant ils appellent ca le Salad Bowl :?

18 Jan 2004, 20:27

D-Dro a écrit:
Al Moujrihoun a écrit:le port du foulard est une obligation,c'est écrit dans le Coran « Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux. »

Ben alors c'est les paroles du Coran qui doivent etre condamnées. On est plus au Moyen-Age :roll:


C cke je dit depuis le debut :o

18 Jan 2004, 20:29

Je regardais le zapping tout à l'heure sur le site de canal et y'avait un scène affreuse d'une caméra de sécurité en prison avec 5 hispaniques sur un noir. Le noir se fait planter 5 fois ...

18 Jan 2004, 21:02

il ya malheureusement beaucoup de personnes qui parlent de part et dautre et qui ne conaissent rien du sujet comme moonwalker par exemple et qui feraient mieux de ne pas intervenir.
ou sont les modos , ce topic est a fermer ca a assez derapé comme ça

18 Jan 2004, 21:25

marseillais4ever a écrit:il ya malheureusement beaucoup de personnes qui parlent de part et dautre et qui ne conaissent rien du sujet comme moonwalker par exemple et qui feraient mieux de ne pas intervenir.
ou sont les modos , ce topic est a fermer ca a assez derapé comme ça


fait parler ta science enstein k on rigole :P

18 Jan 2004, 21:26

mr.le.maire a écrit:Je regardais le zapping tout à l'heure sur le site de canal et y'avait un scène affreuse d'une caméra de sécurité en prison avec 5 hispaniques sur un noir. Le noir se fait planter 5 fois ...

t a vu les images des tortures en Iran ? :?

18 Jan 2004, 23:23

LE CORAN et la science

Commençons d'abord, par ce témoignage du Dr Maurice BUCAILLE :
Ayant mesuré la marge qui séparait la réalité de l'Islam de l'image qu'on s'en faisait dans nos pays occidentaux, je ressentis le vif besoin d'apprendre l'arabe que je ne connaissais pas, pour être en mesure de progresser dans l'étude d'une religion si méconnue. Mon premier objectif résida dans la lecture du Coran et dans l'examen de son texte phrase par phrase, avec l'aide des commentaires divers indispensables à une étude critique. Je l'abordai en prêtant une attention toute particulière à la description qu'il donne d'une multitude de phénomènes naturels : la précision de certains détails du livre les concernant, seulement perceptible dans le texte original, me frappa en raison de sa conformité avec les conceptions qu'on peut en avoir à notre époque, mais dont un homme de l'époque de Mahomet ne pouvait avoir la moindre idée. Je lus par la suite plusieurs ouvrages consacrés par des auteurs musulmans aux aspects scientifiques du texte coranique: ils m'ont apporté de très utiles éléments d'appréciation, mais je n'ai pas encore découvert une étude d'ensemble effectuée en Occident sur ce sujet.

Ce qui frappe d'abord l'esprit de qui est confronté avec un tel texte pour la première fois est l'abondance des sujets traités: la création, l'astronomie, l'exposé de certains sujets concernant la terre, le règne animal et le règne végétal, la reproduction humaine. Alors que l'on trouve dans la Bible de monumentales erreurs scientifiques, ici je n'en découvrais aucune. Ce qui m'obligeait à m'interroger: si un homme était l'auteur du Coran, comment aurait-il pu, au VIIe (septième) siècle de l'ère chrétienne, écrire ce qui s'avère aujourd'hui conforme aux connaissances scientifiques modernes? Or, aucun doute n'était possible: le texte que nous possédons aujourd'hui du Coran est bien le texte d'époque, si j'ose dire (...) Quelle explication humaine donner à cette constatation? A mon avis, il n'en est aucune, car il n'y a pas de raison particulière de penser qu'un habitant de la péninsule Arabique pût, au temps où, en France, régnait le roi Dagobert, posséder une culture scientifique qui aurait dû, pour certains sujets, être en avance d'une dizaine de siècles sur la nôtre.





Dr Maurice Bucaille : La Bible, le Coran et la science Editions Seghers








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"En vérité, il y a pour vous, dans vos bêtes un exemple à méditer : Nous vous donnons à boire de ce qui se trouve à l'intérieur de leur corps ( et qui) provient de la conjonction entre le contenu de l'intestin et le sang, un lait pur que les buveurs avalent avec facilité et délice" Coran 16/66

Que dit la science? Grâce à des transformations chimiques, les substances qui assurent la nutrition de l'organisme passent dans le sang, en traversant la paroi intestinale. Les glandes mammaires sécrètent le lait à partir de ces substances véhiculées par le sang. Toutes ces notions remontent à la période moderne.
Le chirurgien Maurice Bucaille conclut dans son livre "LA BIBLE, LE CORAN et la science" à propos de ce verset :
"Je pense que l'existence dans le Coran du verset qui fait allusion à ces notions ne peut avoir d'explication humaine en raison de l'époque où elles ont été formulées" (page 198, édition 76)



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"Il fit descendre du ciel une eau et alors des torrents coulèrent selon leur importance..." Coran 13/17

"On croyait jusqu'à la fin du 17ème siècle, que les précipitations ne pouvaient suffire à alimenter les fleuves et qu'une grande quantité d'eau provenait des entrailles de la terre" (Fabuleuse histoire de l'eau. Les chemins du savoir p.41)... alors que le Coran l'a annoncé il y a 14 siècles !!



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"Le ciel, Nous l'avons construit par notre puissance et Nous en élargissons constamment le domaine" Coran 51/47

Ainsi, pour la notion coranique, l'espace ne serait pas fini et augmenterait constamment. Mais c'est précisément cette notion devenue scientifique, qui donna le vertige même à Einstein, quand le physicien Hubble découvrit que les nébuleuses s'éloignent de notre galaxie et que le mathématicien l'abbé Lemaître, en déduisit la théorie de l'expansion de l'univers.



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"Nous vous avons formés d'une goutte de sperme, puis d'un embryon qui a nidé en une masse de chair (comme mâchée), puis de cette chair, Nous avons créé les os, et Nous avons revêtu les os de chair (comme fraîche), produisant ainsi une nouvelle création" Coran 23/14

L'embryon qui a nidé vient du mot âalaqa dont la racine est "s'accrocher" et qui désigne aussi la sangsue. Cette dernière s'accroche à son hôte grâce à une ventouse pour sucer son sang. Un phénomène semblable se passe entre l'oeuf et la muqueuse utérine.
Le Docteur M. Bucaille écrit : "...elle répond parfaitement à ce que l'on sait aujourd'hui de certaines étapes du développement de l'embryon et elle ne contient aucun énoncé que la science moderne pourrait critiquer... L'embryon est initialement une petite masse, qui à l'oeil nu, à un certain stade de son développement, a bien cet aspect de chair mâchée. Le système osseux se développe au sein de cette masse dans ce qu'on appelle le mésenchyme. Les os formés sont habillés de masses musculaires..." (pages 205-206, édition de 1976).

Keith Moore, Professeur de chirurgie et d'embryologie à l'université de Toronto (Canada), de renommée mondiale dans son domaine (son livre "The Human development" a été traduit en huit langues), a déclaré, après avoir étudié et comparé tous les versets coraniques ayant trait à la création de l'homme avec les données modernes :"Cela me donne la certitude que Mohammed est un messager de Dieu".





Voici un article du Professeur K. Moore sur

le développement embryonnaire dans le Coran
(Jazaka ALLAHo Khairane Amine : http://www.oceanes.fr/~amine/sources/ )


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Dans le Coran, on ne trouve aucune trace des mythes et des fantaisies qui couraient à l'époque de Mohammed. "Ne méditent-ils donc pas le Coran? S'il provenait d'autre que Dieu, ils y auraient trouvé des contradictions abondantes" Coran 4/82

ps:sincerement désolé les gars,mais j'ai du poster ceci comme réponse à tout ce que vous m'avez adréssé,j'ai beau être coriace,les ânes ne comprennent que les coups de batons(message adressé à tous ceux qui ont des préjugés négatifs sur ma religion alors qu'ils n'on ni prit la peine de lire le Coran oubien même de se renseigner sur l'Islam).je ne peux pas répondre à tous vos messages 1 par 1,ils sont trop nombreux

18 Jan 2004, 23:29

Le docteur Maurice Bucaille
Par Maurice Bucaille


Le Docteur Maurice Bucaille s'est trouve en contact de la piété musulmane pendant l'exercice de ses fonctions de chirurgien. Il s'est trouvé à maintes reprises auscultant les âmes autant que les corps, ainsi il a découvert des aspects de l'Islam que beaucoup de monde ignore. Pour mieux comprendre, le Dr. Bucaille s'est mis a étudier le Coran et pour parfaire son étude, il apprendra la langue arabe ( langue du Coran). Au cours de son étude, a sa grande surprise il a découvert dans le Coran - entre autre - certaines informations scientifiques concernant des phénomènes que l'on ne peut comprendre qu'avec les lumières de la science moderne, ainsi que des informations historiques qui n'ont été élucidées qu'avec l'archéologie moderne. Il s'est également penché sur l'étude des Ecritures Saintes juives et chrétiennes. Enfin il a présenté une part importante de ses recherches dans son livre : « La Bible le Coran et la science ; les écritures saintes examinées à la lumière des connaissances modernes » écrit en français, publié pour la première fois en 1976. Ce livre ne tarda pas a attirer l'attention des chercheurs de vérité de tous les horizons. Ainsi il fut traduit en Anglais, Arabe, Allemand, Gujarati, Indonésien, Persan, Serbo-croate, Turc, Urdu et Bengali, la version française étant a sa 15ème édition en 1993. Il a eu le prix du livre d'or en 1986. On signale également que le professeur Bucaille a public en 1981 un excellent livre sur l'origine de l'homme intitule « L'homme, d'ou vient-il ? La réponse de la science et des écritures saintes » qui a été traduit à son tour en d'autres langues, il a également co-écrit avec le professeur Talbi le livre intitule « Réflexions sur le Coran » et il a écrit en 1988 « pharaons et la médecine » qui lui a valu le prix d' Histoire de l' Académie Française ; et le prix général de l'Académie nationale de Médecine en 1991.





Le Coran une autre sainte écriture :





Un parcours dans les livres du Dr Bucaille fait surgir un certains nombre de témoignages et de conclusions qui ne laissent pas le lecteur indifférent au courage et a l'honnêteté intellectuelle de ce scientifique, sachant qu'il y a une diabolisation par les hommes de « science » de toute tentative de réconciliation entre science et religion en général et la science occidentale et l' Islam en particulier.





Ainsi, dans son premier livre, il commence par une plaidoirie pour la réhabilitation de l'Islam dans les mentalités occidentales ; une réhabilitation déja commencée par l'église même, qui jadis appelait a sa diabolisation, et cela a travers de multiples rencontres entre les hommes des deux religions et la reconnaissance mutuelle, ainsi que l'élimination des préjugés par les propos du pape Paul VI qui se déclarait « animé d'une foi profonde dans l'unification des mondes Islamique et chrétien qui adorent un seul Dieu ». Et cette citation suffit a elle seule pour illustrer le changement de l'Eglise envers l'Islam.





Ainsi le Dr Bucaille propose que le Coran accède au rang d'Écriture Sainte dans le mental des occidentaux.





Après cela le Dr Bucaille nous livre les résultats de ses recherches sur le Coran. Il conclut ainsi :





« Transcrits du vivant du Prophète, mais aussi récité par cœur par ses premiers fidèles et plus tard par de nombreux croyants autour de 1ui, tous ces éléments ont été rassemblés après sa mort (632 de l'ère chrétienne) en un livre appelé depuis lors le Coran. Il contient la Parole de Dieu, a l'exclusion de tout apport humain. La possession de manuscrits du 1er siècle de l'ère Islamique authentifie le texte actuel. »





II continue et confirme que le Coran ne contient assurément aucune contradiction avec la science, parlant même d'une harmonie entre le Coran et la science Moderne et que d'autre part le Coran ne laisse aucune place aux fausses idées (ou au idées mythologiques) de l'époque de sa révélation, et qu'il contient des informations scientifiques à peine découvertes a l'époque moderne, Ce qui confirme le caractère révélé de ce Livre.





Le vif du sujet :





Après quoi l'auteur rentre dans le vif du sujet. Commençant par « la création des cieux et de la terre » il a opéra d'intelligents ajustements au niveau du sens des mots et de

".. Exemptes de tous les détails fantaisistes qui accompagnent ces croyances, et marqués au contraire par la sobriété verbale de leur énoncé et par leur concordance avec les données modernes de la science. Ainsi caractérisés, les énoncés coraniques sur la création, pour avoir été exprimés il y a près de quatorze siècles, ne paraissent pas pouvoir recevoir une explication humaine."





Évoquant l'astronomie dans le Coran, le docteur Bucaille cite de nombreux versets du Coran qu'il qualifie de réflexions générales sur le ciel, et qui visent simplement a attirer l'attention sur la Toute-puissance de Dieu, qui se manifeste a travers Sa création. Ensuite il a étudié ce que le Coran, il y a quatorze siècles, à diffusé comme information et descriptions des éléments séparés de l' univers, puis de l' organisation globale de celui-ci ; il relate la nature des corps célestes, tel la terre, le soleil, la lune, les étoiles, les planètes, etc.. ainsi que l'organisation présente de l'univers, avec l'existence des orbites, le déplacement de la lune et du soleil dans un mouvement propre, et pour le devenir de l'univers, il parle de son expansion, sa conquête. Et il termine ce chapitre en écrivant :


" La encore, lorsque l'on confronte le texte coranique et les données modernes, comment n'être pas impressionné par les précisions dont on ne peut Supposer qu'elles aient émané de la pensée d'un homme qui vécut il y a près de quatorze siècles. >> (Page 170).


Nous laissons au lecteur le soin de retrouver tous les détails de ce que le docteur Bucaille a développes dans ce chapitre comme dans d'autres tels : le règne végétal et animal, l'origine de la vie, l'équilibre.., la reproduction animale, les communautés animales (les abeilles, les fourmis etc..),

L'archéologie témoigne :


Un autre phénomène coranique a été traité dans ce livre, c'est celui de l'information historique relatant des évènements éloignes dans l'histoire humaine. Pour illustrer cela le docteur Bucaille a pris deux exemples : le Déluge (époque de Noé) et l'

Le Déluge :


Comparant le récit Biblique et le récit Coranique, constatant que ce dernier comporte des données qui ne sont pas présentes dans la Bible et qui concordent avec les données modernes, il termine ce chapitre par cette phrase : "Si des facteurs humains ne peuvent expliquer les changements dans les récits s'opérant dans le sens de la concordance avec les connaissances modernes, il faut accepter une autre explication : Une Révélation postérieure a celle

L'exode de Moise :


Pour mettre en évidence le défi de l'information historique dans le Coran concernant les pharaons, nous allons développer deux points dégagés de la lecture des livres du professeur Bucaille. D'autres points a développer ne sont pas moins frappants et intéressants mais on ne peut tous les reprendre ici et encore une fois, conseillons a ceux qui veulent approfondir la question de lire les livres du Professeur.


Le premier point c'est que le professeur Bucaille à été l'initiateur de nombreuses recherches sur les momies des pharaons, qui ont été rassemblées dans son livre " Les momies des Pharaons et la médecine. Ramsés II à Paris, Le Pharaon et Moise". Un livre qui a été récompensé par deux prix : le prix de l'histoire 1988 de l'académie française et le Prix général de l'Académie de Médecine en 1991, ce qui confère à ce livre ainsi qu'au professeur Bucaille le caractère de référence sérieuse dans ce domaine. Une concordance manifeste est constatée dans les récits Bibliques et Coraniques relatifs au séjour des fils d'Israel en Égypte et a leur sortie du pays. On constate également une concordance de ces récits avec les connaissances modernes dans leurs grandes lignes en faisant abstraction de certains détails cites dans la Bible. Ainsi le Coran et la Bible nous informent que le " Pharaon" et ses soldats qui poursuivaient les Hébreux conduits par Moise sont morts noyés par le retour des flots de la mer ouverte (par Dieu ) pour Moise. Relatant cela, Dieu dit dans le Coran :


"Nous fîmes passer la mer aux fils d' lsrael et Pharaon et ses troupes les poursuivirent par (esprit de) rebellions et d'hostilité jusqu'a ce qu'enfin, sur le point d'être englouti (Pharaon) dise : je crois qu'il n'existe nul Dieu si ce n'est Celui en qui ont cru les fils d'lsrael, je suis parmi ceux qui Lui sont soumis".


Mais ce qui a échappé à la Bible ainsi qu'aux connaissances modernes - avant les travaux du professeur Bucaille- c'est que le corps du Pharaon a été repêché des eaux et momifié, ce a quoi le Coran fait allusion dans le verset 92 de la dixième sourate :


"Maintenant (tu crois) ! Alors que tu as désobéi auparavant et que tu fus parmi les semeurs de scandale ! Aujourd'hui, Nous te sauvons, en ton corps (cadavre), afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront après toi".


Voila près d'un siècle, en 1898, fut découvert par Loret Thèbes dans la vallée des Rois, le corps momifié du Pharaon Mineptah, fils de Ramsès II, dont tout permit de penser que c'est le Pharaon de l'exode. II fut transporté au Caire. En juin 1975, Les autorités égyptiennes ont permis au professeur Bucaille de procéder a des examens sur cette momie et sur ses initiatives, des investigations particulières furent faites sur la momie, sur place et à Paris, sur des petite fragment tombés spontanément de la momie. Une étude médico-légale à " permis d'établir l'existence d'une cause de mort très rapide par plaie crano-cérébrale ayant laissé une lacune de dimensions importantes au niveau de la voûte du crane, conjointement avec d'autres lésions traumatiques. Toutefois ces constatations s'avéraient compatibles avec les récits des Ecritures mentionnant que le Pharaon mourut lors du retour du flot", et pour plus ample information, se reporter au livre " Les Momies des Pharaons et la Médecine" déjà cité.


Le deuxième point choisi est :


Le Coran a fait mention du nom Hâmân qui est une personnalité de l'entourage du Pharaon :


" Et Pharaon dit : O notables, je ne connais pas de divinité pour vous autre que moi. Hâmân, allume-moi du feu sur l'argile puis construis-moi une tour peut être alors monterai-je jusqu'au Dieu de Moise. Je pense plutôt qu'il est du nombre des menteurs" (28/38).


et dans un autre verses, Dieu dit :


" Et Pharaon dit : Hâmân, bâtis-moi une tour peut être atteindrai-je les voies.." (40/36).


Voulant savoir si ce nom n' aurait pas été mentionné dans les Hiéroglyphes conservés, il n'avait d'autre choix pour authentifier sa conclusion que de contacter une autorité scientifique dans le domaine : il expose alors à un égyptologue français le mot Hâmân sans pour autant l'informer d'ou il tirait le mot. le Dr Bucaille lui pose la question si ce mot datait du VIIème siècle, la réponse de l'égyptologue était de dire que pas un texte hiéroglyphique de la longue période d'oubli ne pouvait mentionner un nom jusqu'alors inconnu, l'égyptologue propose au docteur Bucaille de consulter le Dictionnaire des noms de personnel du Nouvel Empire de Ranke, en lui dessinant hiéroglyphement ce nom. A la stupeur du Dr Bucaille, il trouve ce nom avec une note " Chef des ouvriers des carrières", signalant que cette inscription remonte au Nouvel Empire, et nous savons bien que c'est l'époque dans laquelle s'inscrit Moïse. Par ailleurs une approche est faite avec la nature des ordres du Pharaon a Hâmân, qui dans les versets précédents demandent la construction d'une tour par deux fois Devant la clarté du signe "..Nous te sauvons, en ton corps (cadavre), afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront après toi.. > (Coran 10/92). Le Docteur Bucaille conclut :


<< Mais j'aimerais surtout attirer l'attention sur le point précis suivant : est-ce une attitude raisonnable de soutenir que le Coran fut composé de main humaine,.. "


C'est beau, et plus encore il y a quatorze siècle :


Hâmâm.. construits-moi une tour !


Hamam ! ! ! est-ce un prénom, un grade, fonction... il n'a y ni plagia dans la bible ni dans l'environement de Mohamed - sur Lui la Grâce et la paix- ni dans un langage quelconque.. quatorze siècles plus tard et ".. afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront après toi.." (Coran 10/92). Un chercheur d'or (vérités) à l'est (orient) armé de la science et du courage doubles d'une grande honnêteté intellectuelle fait une découverte :


Hâmân est une designation qui a bel et bien existe. Il a signifie : Chef des ouvriers de carrières. Ainsi la phrase de pharaon : (Ô Hâmân, bâtis moi une tour... prend sens et devient : Ô Chef des ouvriers de carrières, construis moi une tour.. ! !


Ceci nous incite à faire preuve de beaucoup d'humilité intellectuelle devant les informations précieuse qu'on trouve dans le saint Coran. Et cela dans tous les cas : que l'on en cerne le sens ou pas encore.


Ainsi le Docteur Bucaille donne, par le résultat, de ces recherches une bonne adresse pour les chercheurs de vérité : le Coran. Tout en signalant aux non-arabophones que les traductions du Coran ne sont pas toutes fiables pour faire passer le sens voulu dans une autre langue, et parlant des méfaits des traductions, il dit dans son livre : Réflexion sur le Coran (p.213 et s) :


"Les toutes premières traductions sont marquées par de très grandes libertés prises avec le texte, les auteurs ayant plus le souci de (combattre l'hérésie) que d'être fidèles au contenu du Coran.... Ies traductions qui circulent de nos jours sont le plus souvent inutilisables. Lorsque je connus suffisamment l'arabe littéraire... je m'aperçus que nombre d'auteurs étaient passés complètement a coté du sens,... celui qui méconnais l'arabe littéral... et ne peut recourir qu'a des traductions est compIètement incapable d'avoir une opinion valable sur le sens d'un verset coranique offrant des allusions a des connaissances profanes.. >>.

Pour dire que le mot arabe " yawm pluriel ayyam", tel qu'il est dans le Coran ne peut être traduit littéralement, car Dieu parlant de la création, dit : " Votre seigneur est Dieu qui créa les cieux et la terre en six yawm (littéralement = jour)". Ailleurs dans le Coran Dieu dit "..dans un jour valant mille de ce que vous comptez" 32/5 et "...yawm dont..50 000 ans" 70/4.


Ainsi le Coran introduit une nouvelle donnée (car une journée sur Jupiter n'est pas une journée sur mars, c'est un concept nouveau que de dire un jour de terre = x jours de mars), on pourrait croire qu'un jour sur terre d'il y a des millions d'années n'est pas le même qu'un jour d'aujourd'hui et tout cela est lie a la vitesse de rotation de la terre sur elle même. Donc de tous cela il ressort qu'une journée est une période de temps qui peut être mise en unité dans une périodicité quelconque. Ainsi les 6 jours deviennent les 6 périodes, ce qui a été déjà fait dans une traduction en anglais en 1934 dans l'excellente et fidèle traduction de Yousouf Ali, le traduisant par longue période ou age







Il a d'ailleurs publié récemment un livre consacre a ce dernier sujet : Moise et Pharaon, Les Hébreux en Égypte ; Quelles concordances des Livres saints avec l'Histoire ? (Édition Seghers, Paris 1995)








Dans ce chapitre il traite de la fécondation, la nature du liquide fécondant, la nidation de l'oeuf fécondé et l'évolution de l'embryon, et termine le chapitre par le Coran et I'éducation sexuelle.






Le Coran dit de lui-même qu'il vient confirmé la Bible " Et je confirme ce qu'il y a dans la Thora révélée avant moi, et je vous rends licite un partie de ce qui vous était interdit... "(Coran 3/50). Il est donc naturel que des récits existants dans la Bible se trouvent dans le Coran. Faisant l'économie d'une analyse des différences dans ces mêmes récits, certains écrivains ont conclut, à tort, a un mauvais plagia que le Coran aurait fait de la Bible ! !


L'intérêt de l'étude du professeur Bucaille est de montrer que la différence des récits Coranique va dans le sens de compléter ces histoires en pleine concordance avec les découvertes modernes. .



Maurice Bucaille
Le Docteur Maurice Bucaille s'est trouve en contact de la piété musulmane pendant l'exercice de ses fonctions de chirurgien. Il s'est trouvé à maintes reprises auscultant les âmes autant que les corps, ainsi il a découvert des aspects de l'Islam que beaucoup de monde ignore. Pour mieux comprendre, le Dr. Bucaille s'est mis a étudier le Coran et pour parfaire son étude, il apprendra la langue arabe ( langue du Coran). Au cours de son étude, a sa grande surprise il a découvert dans le Coran - entre autre - certaines informations scientifiques concernant des phénomènes que l'on ne peut comprendre qu'avec les lumières de la science moderne, ainsi que des informations historiques qui n'ont été élucidées qu'avec l'archéologie moderne. Il s'est également penché sur l'étude des Ecritures Saintes juives et chrétiennes. Enfin il a présenté une part importante de ses recherches dans son livre : « La Bible le Coran et la science ; les écritures saintes examinées à la lumière des connaissances modernes » écrit en français, publié pour la première fois en 1976. Ce livre ne tarda pas a attirer l'attention des chercheurs de vérité de tous les horizons. Ainsi il fut traduit en Anglais, Arabe, Allemand, Gujarati, Indonésien, Persan, Serbo-croate, Turc, Urdu et Bengali, la version française étant a sa 15ème édition en 1993. Il a eu le prix du livre d'or en 1986. On signale également que le professeur Bucaille a public en 1981 un excellent livre sur l'origine de l'homme intitule « L'homme, d'ou vient-il ? La réponse de la science et des écritures saintes » qui a été traduit à son tour en d'autres langues, il a également co-écrit avec le professeur Talbi le livre intitule « Réflexions sur le Coran » et il a écrit en 1988 « pharaons et la médecine » qui lui a valu le prix d' Histoire de l' Académie Française ; et le prix général de l'Académie nationale de Médecine en 1991
Du même auteur, à lire en ligne sur Oumma.com :

Le docteur Maurice Bucaille

18 Jan 2004, 23:31

LE VOILE EST UNE OBLIGATION ?

Posté par Frère Moujahid (Forum Oumma.com)


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Contrairement aux fausses idées qui sont véhiculées depuis un certain nombre d'années, le voile de la femme en Islam (appelé communément "Hidjâb" ou "Khimâr" dans le vocabulaire juridique) n'est en aucun cas le symbole d'une revendication politique ou idéologique, ni une marque de soumission et d'infériorité quelconque par rapport aux hommes (comme c'était le cas dans certaines religions) et encore moins un simple vêtement traditionnel, lié à certaines cultures. En réalité, le "Hidjâb" possède une double dimension: en portant le voile, la femme musulmane fait acte de soumission et d'obéissance envers Allah, mais agit également pour sa protection morale, en préservant sa pudeur et sa chasteté. Comme on va le voir par la suite, Incha Allah, une bonne compréhension de ces deux aspects que l'on retrouve dans le "Hidjâb" permet déjà d'éloigner un certain nombre d'objections superficielles qui sont très souvent soulevées à son encontre. Mais d'abord, on essaiera, dans les lignes suivantes, de passer en revue deux ou trois références du Qour'aane et de la Sounnah qui mettent en valeur cette double dimension du "Hidjâb".

Allah, dans le Qour'aane, après avoir ordonné aux hommes de garder le regard baissé, demande au Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) de s'adresser aux croyantes en ces termes:

"Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines; et qu'elles ne montrent leurs atours qu'à leurs maris, ou à leurs pères, ou aux pères de leurs maris, ou à leurs fils, ou aux fils de leurs maris, ou à leurs frères, ou aux fils de leurs frères, ou aux fils de leurs sœurs, ou aux femmes musulmanes, ou aux esclaves qu'elles possèdent, ou aux domestiques mâles impuissants, ou aux garçons impubères qui ignorent tout des parties cachées des femmes...."

Quand on lit ce passage coranique, on se rend compte qu'il ne laisse place à aucune ambiguïté: C'est Allah Lui-même qui ordonne, par le biais de Son Messager (sallâllâhou alayhi wa sallam), aux femmes de ne montrer de leurs atours, en présence d'hommes étrangers, que la partie qui en paraît. Il s'agit là de la première dimension que l'on avait évoquée: Le respect d'une tenue vestimentaire bien particulière pour la femme relève de ses devoirs envers Allah. Mais en même temps, comme on l'a rappelé en introduction, quand on prend en considération le début du passage coranique, on comprend aussi que cette prescription divine est liée à la protection de la chasteté et, par extension, de la dignité de la femme. Prise sous cette perspective, on se rend compte que le fait de couvrir ces parties du corps déterminées constitue un bienfait indéniable pour la femme; c'est justement ce que relève avec beaucoup d'intelligence et de clairvoyance Fatima Naseef, dans son ouvrage intitulé "Droits et devoirs de la femme en Islam", lorsqu'elle qualifie le port du "Hidjâb" comme étant un "droit à la décence". On retrouve bel et bien la double dimension évoquée. La question qui se pose maintenant est de savoir quelle est donc cette partie des atours de la femme qu'il ne lui est pas nécessaire de recouvrir en présence d'étrangers. Pour la déterminer, il n'y a pas d'autres moyens que de se référer aux explications qui ont été données par les premiers interlocuteurs de la Révélation, en l'occurrence les Compagnons (radhia Allâhou anhoum), mais aussi par les savants et commentateurs musulmans des premiers siècles de l'Islam qui les ont suivis et qui ont pu étudier en profondeur la science religieuse et prophétique qu'ils ont laissée en héritage.



A ce sujet, l'interprétation qui a été retenue par la majorité des commentateurs du Qour'aane (parmi lesquels Az zamakhchari (Réf: "Al Kacchâf", Volume 3 / Pages 230-231) , Ibné Kathîr ("Tafsir Ibné Kathîr" Volume 3 / Page 283), Al-Râzi ("Tafsir Kabîr" Volume 23 / Pages 205-206) , Al Qourtoubi ("Tafsir oul Qourtoubi" Volume 12 / Pages 228-229) , Al Tabri ("Moukhtasar min Tafsîril Imâm Al Tabri" Volume 2 / Page 9 et Note N°3) , Al Âloûsi ("Rouhoul Ma'âni" Volume 18 / Page 140) et Al Djassâs ("Ahkâmoul Qour'aane" Volume 3 / Page 315) est celle qui a été donnée par Ibné Abbâs (radhia Allâhou anhou). Selon lui, le terme "ce qui en paraît" désigne les deux mains et le visage. Ce qui signifie que, d'après ce passage du Qour'aane, ces deux parties du corps sont les seules que la femme a le droit de garder découvert en présence d'étrangers. Ce verset exprime donc bien l'obligation du port du "Hidjâb" (ou "Khimâr"), obligation qui est d'ailleurs clairement confirmée par la suite du passage qui dit: "qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines" . Le mot exact en arabe qui est employé dans le Qour'aane est "Khimâr". Dans le vocabulaire arabe, ce terme désigne le voile qui est utilisé pour recouvrir la tête et les cheveux. (Réf: "Al Moufradâte fi gharîbil Qour'aane" de Imâm Râghib Asphahâni / Page 159; "Basâïr" de Al Fîrowz Âbâdi - Volume 2 / Pages 571 et 572, entre autres…) En sus de cela, il y a également unanimité entre les plus illustres commentateurs du Qour'aane pour désigner le "Khimâr" auquel il est question dans ce passage comme étant un voile recouvrant d'abord la tête et les cheveux (Réf: "Tafsîr Kabîr" - "Tafsîr Qourtoubi" - "Roûh oul Ma'aniy" - "Al Mouhalla" de Ibné Hazm r.a.)

Il est aussi intéressant de noter la réaction des femmes musulmanes à l'époque du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) lorsque ce verset fut révélé: L'Imâm Boukhâri r.a. rapporte à ce sujet les propos de Aîcha (radhia Allâhou anha): "Qu'Allah fasse miséricorde aux premières femmes émigrées; dès que le verset "qu'elles rabattent leur voile sur leurs poitrines" fut révélé, elles découpèrent le drap qu'elles portaient (au dessus de leurs vêtements) et l'utilisèrent pour se couvrir la tête (ainsi que leur cou et leur poitrine). "

Le second verset qui évoque l'obligation de porter le voile est le 59ème de la Sourate 33, dans lequel Allah dit:

"Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles, et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs grands voiles: elles en seront plus vite reconnues et éviteront d'être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux."

Le mot arabe employé dans ce verset et qui a été traduit par "grands voiles" est "Djalâbîb". Encore une fois, s'il existe des divergences quand à la nature, la forme et la taille exacte de ce voile, il y a cependant unanimité entre tous les commentateurs du Qour'aane sur un point: ce voile en question recouvre entièrement la tête et les cheveux.


Enfin, la nécessité de porter le Hidjâb a été explicitement évoquée par le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) dans la célèbre Tradition rapportée par Aboû Dâoûd: Aïcha (radhia Allâhou anha) raconte qu'une fois, sa sœur, Asma (radhia Allâhou anha) entra chez le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) avec des vêtements transparents. Le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) se détourna d'elle et dit: "Ô Asma, quand la fille devient pubère, il ne convient pas de voir d'elle une autre partie que celles-ci (et il lui indiqua le visage et les mains)."(Hadith Moursal)

Ces trois références que nous venons de voir prouvent au moins deux choses:

1- Le port du "Hidjâb" est bien une prescription divine.

2- Les cheveux de la femme faisant partie du "awrah", il est donc nécessaire de les couvrir en présence d'étrangers, au même titre que les autres parties du corps, exception faite du visage et des mains.

18 Jan 2004, 23:31

trop long Al Moujrihoun,

18 Jan 2004, 23:36

EL MAGNIFICO a écrit:trop long Al Moujrihoun,

lol :) j'essaie seulemnt de faire comprendre aux ânes ce qu'ils refusent d'admettre(ps:je ne t'inclus pas dedans 8) )
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