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27 Sep 2006, 13:35

Confetize, ok, je parlais plus du fait qu'il n'est pas envie de fumer quand il ne eput pas.
Je voyais plus ca comme de la dépendance mentale.

Pour les deux cigarettes (café, repas), tu peux rajoueter celle apres l'amour. c'est la pire.
(c'est pour ca que je fume 1 paquetr par jour de 30 et que je ne epux m'arreter :oops: :mrgreen: )

27 Sep 2006, 13:36

area13 a écrit:on a le droit d'ecrire sans mettre d'accents quand meme hein ?

En anglais, oui.
gob a écrit:je fais dans le transport aussi.
mais uniquement des allers simples ...
Image
La médecine vue par gob. :shock:

27 Sep 2006, 13:36

Fidel Cienaga a écrit:Jour 6
Le doc a enfin fait son apparition sur le topic. Ca me fait froid dans le dos.

Parlons en Jeannot X, là je sors de mon IRM et j'ai RDV avec le neurochir à 16H. Journée off donc. Mais je peux te dire que j'espère que mes journées vont pas ressembler à celle là pendant encore longtemps. J'ai vu la gamine en coup de vent à 13h, on a rigolé un peu en regardant les clichés IRM ("elles sont où les fesses ?"). Donc je pense que ta gosse elle a plus besoin de toi sur pattes que dans un cimetière ou dans un lit d'hosto. Réduis au moins.
Moi aussi je me suis mis à fumer comme un malade après la naissance (jamais à l'intérieur) et j'arrivais à péter mes deux paquets sans problèmes. C'était il y a cinq ans. J'ai 35 ans et je peux te dire que si tu n'as pas de chance ça peut aller très vite.
Ca motive un peu.
Mais sinon j'ai aussi un copain qui s'est sorti sans dommage d'un cancer du poumon après ablation, il a 55 ans et vit paisiblement en Corse.
Mais aussi un autre qui a claqué en six mois d'un cancer de la gorge à 37 ans en laissant trois mômes. Je l'ai vu mourrir mais ça m'a pas empêché de continuer pendant un an. En fait tu comprends vraiment quand ça se rapproche.
Et c'est très con d'en arriver là. Vous pouvez reprendre une vie normale.


Tu m'a bien ni... le moral. merci :evil: :twisted:

27 Sep 2006, 13:38

Confetize, tu parles pas plutot de la dependance psychologique? associer la cigarette à des gestes quotidiens

27 Sep 2006, 13:39

poupou alpin a écrit:jeannotX, avant que qelqu'un te fasse la remarque, je me permets de te la faire: attention à ton ecriture :wink:

merci j'ecris mal de nature je vais faire encore plus d'éfort :D

27 Sep 2006, 13:40

gob a écrit:
jeannotX a écrit:
gob a écrit:ah chouette, un futur client ... :mrgreen:

tu vens des camion?


pas tout a fait...

je fais dans le transport aussi.
mais uniquement des allers simples ...

:mrgreen:

tu conduis des corbillare? #-o

27 Sep 2006, 13:40

fourcroy a écrit:Image
La médecine vue par gob. :shock:


non, les fumeurs vus par Gob.

27 Sep 2006, 13:42

poupou alpin,
Désolé, c'est le sunny side of life. Ca n'empêche absolument pas la terre de tourner. Et il vaut mieux en rire. Je te jure que la clope post coïtum n'est absolument pas nécessaire. Ce qui compte c'est la qualité de l'acte précédant. Tu recherches juste une petite décharge de sérotonine supplémentaire, comme avec un petit trait de C. en fait. La C. on s'en passe le plus souvent donc la clope aussi. Avoue que l'image du mec avec le nez dans la farine après l'amour histoire de prolonger la décharge c'est un peu ridicule non ?
Mais sinon j'ai bien rigolé quand même avec la petite tout à l'heure.

27 Sep 2006, 13:42

jeannotX a écrit:tu conduis des corbillare? #-o


non, je traite ( bien mieux que soigner ou guérir) des fumeurs ...

et je ne comprendrai jamais qu'on puisse fumer en ayant des gosses ...

27 Sep 2006, 13:46

je ne comprendrai jamais qu'on puisse fumer en ayant des gosses ...

C'est plus façile à dire que de s'arreter.

27 Sep 2006, 13:48

Moundir33 a écrit:Confetize, tu parles pas plutot de la dependance psychologique? associer la cigarette à des gestes quotidiens

Je me trompe peut être, mais il mpe semble que ce fait là soit associer à de la dépendance physique. Ce qui parait logique puisque tu assimile ta cigarette à un geste.

27 Sep 2006, 13:49

Fidel Cienaga a écrit:poupou alpin,
Désolé, c'est le sunny side of life. Ca n'empêche absolument pas la terre de tourner. Et il vaut mieux en rire. Je te jure que la clope post coïtum n'est absolument pas nécessaire. Ce qui compte c'est la qualité de l'acte précédant. Tu recherches juste une petite décharge de sérotonine supplémentaire, comme avec un petit trait de C. en fait. La C. on s'en passe le plus souvent donc la clope aussi. Avoue que l'image du mec avec le nez dans la farine après l'amour histoire de prolonger la décharge c'est un peu ridicule non ?
Mais sinon j'ai bien rigolé quand même avec la petite tout à l'heure.


Pour l'instant je me limite à la clope apres l'acte :mrgreen:
j'me fait déja engueulé pour ca, si jamais en plus je sors la C :evil:

27 Sep 2006, 13:50

sniper.06 a écrit:moi ya un truc que je comprends pas , c'est qe la je fais le ramadan et je ressens pas le besoin de fumer mais apres manger mon premier reflexe est de me fumer une clope , et apres avec mon café ...

mais ya un trc que je comprends c'est que des que je suis chez moi et que je sors pas (je fume pas chez moi) ben g pas envie de fumer !!!

si quelqu'un comprends mon mecanisme parce qe moi je capte un choux ...


C'est assez simple en fait, ton cerveau fonctionne par association, à partir du moment ou fumer après manger t'as procuré du plaisir, ton cerveau cherche à retrouver cette sensation.

C'est pareil avec l'apéro, la bière devant le match, en fait tout ce qui libère des endorphines (sensation de bien-être) sera perpétuellement (ou presque) recherché par ton cerveau.

27 Sep 2006, 13:51

Confetize a écrit:
Moundir33 a écrit:Confetize, tu parles pas plutot de la dependance psychologique? associer la cigarette à des gestes quotidiens

Je me trompe peut être, mais il mpe semble que ce fait là soit associer à de la dépendance physique. Ce qui parait logique puisque tu assimile ta cigarette à un geste.


sans etre lourd, je pense comme moundir, c'estb plus de la dépendance mental et psychologique que physique, puisqu'il peut s'en passer.

Sur ce j'vais aller m'en fumer une. Ca m'a donné envie :evil:

27 Sep 2006, 13:51

Confetize a écrit:
je ne comprendrai jamais qu'on puisse fumer en ayant des gosses ...

C'est plus façile à dire que de s'arreter.


d'un autre coté, moi, de la cigarette, je ne vois que les cancers et leurs soufrrances, l'insuffisance respiratoire et cet air de poisson la bouche ouverte en train d'agoniser, etc ... et tout ca, parfois a 40 ans.

Alors, je ne suis que tres peu tolérant en effet.

27 Sep 2006, 13:53

Moi perso j'ai jamais essayé et j'en ai pas l'intention.
D'une part le prix est :shock:
Ensuite vu les effets sur la santé je suis pas près d'essayer et étant de surcroi sportif je ne peu pas me le permettre.

27 Sep 2006, 13:53

fourcroy a écrit:
area13 a écrit:on a le droit d'ecrire sans mettre d'accents quand meme hein ?

En anglais, oui.


:mrgreen:

Bon ok,j'ai le droit alors :lol:

27 Sep 2006, 13:54

gob, comme ambulancier, j'en transporte quelques uns aussi....
Mais comme je te le dis, c'est pas simple d'arreter. Il n'y a que lorsque l'on est touché que l'o réagit. Et des fois trop tard.
Sinon tu peux nous éclairer sur la dépendance : Physique, Mentale ?

27 Sep 2006, 13:55

les deux. :wink:


DÉPENDANCE PHYSIQUE

La notion de dépendance physique se définit par le syndrome de sevrage qui lui est consécutif. Elle résulte de l'adaptation de l'organisme à un psychotrope de sorte qu'un arrêt de consommation suscite des réactions psychologiques et physiologiques.

L'intensité des symptômes diffère selon les substances, l'individu et les habitudes de consommation. L'explication médicale, voire neurobiologique, de ce phénomène parle du temps requis (généralement de 7 à 10 jours) par l'organisme pour rétablir l'équilibre suite au dysfonctionnement de certaines neurones.


DÉPENDANCE PSYCHOLOGIQUE

La dépendance psychologique s'inscrit dans un processus à caractère compulsif afin d'amener le consommateur à se sentir bien ou à mieux s'adapter à la réalité. À l'égard de la toxicomanie, la dépendance psychologique se traduit par l'utilisation inadaptée d'une substance conduisant à une souffrance significative du consommateur durant une période continue de douze (12) mois aux drogues

C'est un mécanisme d'adaptation coûteux, voire destructeur. On parle alors de dépendance à l'expérience subjective que procure la drogue. Elle repose davantage sur les caractéristiques de l'individu (habitudes, états affectifs, styles de vie) que sur la substance elle-même.

La dépendance psychologique est souvent définie par le mot anglais "CRAVING" qui traduit bien l'envie extrême de consommer et de ressentir les effets du produit.
Modifié en dernier par gob le 27 Sep 2006, 13:56, modifié 1 fois.

27 Sep 2006, 13:56

gob, ben voilà, comme ça tout le monde a raison :fete:
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