Modérateur: Modérateurs
area13 a écrit:on a le droit d'ecrire sans mettre d'accents quand meme hein ?
gob a écrit:je fais dans le transport aussi.
mais uniquement des allers simples ...
Fidel Cienaga a écrit:Jour 6
Le doc a enfin fait son apparition sur le topic. Ca me fait froid dans le dos.
Parlons en Jeannot X, là je sors de mon IRM et j'ai RDV avec le neurochir à 16H. Journée off donc. Mais je peux te dire que j'espère que mes journées vont pas ressembler à celle là pendant encore longtemps. J'ai vu la gamine en coup de vent à 13h, on a rigolé un peu en regardant les clichés IRM ("elles sont où les fesses ?"). Donc je pense que ta gosse elle a plus besoin de toi sur pattes que dans un cimetière ou dans un lit d'hosto. Réduis au moins.
Moi aussi je me suis mis à fumer comme un malade après la naissance (jamais à l'intérieur) et j'arrivais à péter mes deux paquets sans problèmes. C'était il y a cinq ans. J'ai 35 ans et je peux te dire que si tu n'as pas de chance ça peut aller très vite.
Ca motive un peu.
Mais sinon j'ai aussi un copain qui s'est sorti sans dommage d'un cancer du poumon après ablation, il a 55 ans et vit paisiblement en Corse.
Mais aussi un autre qui a claqué en six mois d'un cancer de la gorge à 37 ans en laissant trois mômes. Je l'ai vu mourrir mais ça m'a pas empêché de continuer pendant un an. En fait tu comprends vraiment quand ça se rapproche.
Et c'est très con d'en arriver là. Vous pouvez reprendre une vie normale.
je ne comprendrai jamais qu'on puisse fumer en ayant des gosses ...
Moundir33 a écrit:Confetize, tu parles pas plutot de la dependance psychologique? associer la cigarette à des gestes quotidiens
Fidel Cienaga a écrit:poupou alpin,
Désolé, c'est le sunny side of life. Ca n'empêche absolument pas la terre de tourner. Et il vaut mieux en rire. Je te jure que la clope post coïtum n'est absolument pas nécessaire. Ce qui compte c'est la qualité de l'acte précédant. Tu recherches juste une petite décharge de sérotonine supplémentaire, comme avec un petit trait de C. en fait. La C. on s'en passe le plus souvent donc la clope aussi. Avoue que l'image du mec avec le nez dans la farine après l'amour histoire de prolonger la décharge c'est un peu ridicule non ?
Mais sinon j'ai bien rigolé quand même avec la petite tout à l'heure.
sniper.06 a écrit:moi ya un truc que je comprends pas , c'est qe la je fais le ramadan et je ressens pas le besoin de fumer mais apres manger mon premier reflexe est de me fumer une clope , et apres avec mon café ...
mais ya un trc que je comprends c'est que des que je suis chez moi et que je sors pas (je fume pas chez moi) ben g pas envie de fumer !!!
si quelqu'un comprends mon mecanisme parce qe moi je capte un choux ...
Confetize a écrit:Moundir33 a écrit:Confetize, tu parles pas plutot de la dependance psychologique? associer la cigarette à des gestes quotidiens
Je me trompe peut être, mais il mpe semble que ce fait là soit associer à de la dépendance physique. Ce qui parait logique puisque tu assimile ta cigarette à un geste.
Confetize a écrit:je ne comprendrai jamais qu'on puisse fumer en ayant des gosses ...
C'est plus façile à dire que de s'arreter.
DÉPENDANCE PHYSIQUE
La notion de dépendance physique se définit par le syndrome de sevrage qui lui est consécutif. Elle résulte de l'adaptation de l'organisme à un psychotrope de sorte qu'un arrêt de consommation suscite des réactions psychologiques et physiologiques.
L'intensité des symptômes diffère selon les substances, l'individu et les habitudes de consommation. L'explication médicale, voire neurobiologique, de ce phénomène parle du temps requis (généralement de 7 à 10 jours) par l'organisme pour rétablir l'équilibre suite au dysfonctionnement de certaines neurones.
DÉPENDANCE PSYCHOLOGIQUE
La dépendance psychologique s'inscrit dans un processus à caractère compulsif afin d'amener le consommateur à se sentir bien ou à mieux s'adapter à la réalité. À l'égard de la toxicomanie, la dépendance psychologique se traduit par l'utilisation inadaptée d'une substance conduisant à une souffrance significative du consommateur durant une période continue de douze (12) mois aux drogues
C'est un mécanisme d'adaptation coûteux, voire destructeur. On parle alors de dépendance à l'expérience subjective que procure la drogue. Elle repose davantage sur les caractéristiques de l'individu (habitudes, états affectifs, styles de vie) que sur la substance elle-même.
La dépendance psychologique est souvent définie par le mot anglais "CRAVING" qui traduit bien l'envie extrême de consommer et de ressentir les effets du produit.
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 67 invités