26 Sep 2006, 18:10
26 Sep 2006, 18:11
26 Sep 2006, 18:41
26 Sep 2006, 18:44
26 Sep 2006, 18:54
Castor_Troy a écrit:loursin a écrit:Thorgal a écrit:exact. En fait si mes souvenirs sont bons, bien que longtemps pressenti, et malgré d'excellents sondages, ils ne s'est même pas présenté
si mes souvenirs sont exacts, il l'avait annoncé chez Sinclair à 7/7. J'etais super déçu de son choix(j'avais meme pas 12 ans, mais je suivais deja la politique avec beaucoup d'interet
)
je m'en souviens...
tout pareil (reaction, age à 1 ou 2 ans pres, etc..) pour moi
26 Sep 2006, 18:56
peezee a écrit:loursin, t'as pas l'air d'avoir une très haute opinion du débat politique en général, et de l'interne au PS en particulier...![]()
Moi je trouve ça très bien au contraire. Et je pense pas être le seul dans ce cas. La transparence c'est rarement une mauvaise chose. On verra bien...
26 Sep 2006, 18:58
26 Sep 2006, 22:57
26 Sep 2006, 23:01
27 Sep 2006, 10:23
Un accord a été conclu, mardi 26 septembre, entre les différents courants du Parti socialiste, en vue de l'organisation de la campagne interne pour la désignation du candidat à la présidentielle, prévoyant notamment trois débats télévisés.
Le bureau national a adopté cette "charte d'organisation du débat interne" qui doit "garantir l'égalité entre les différent(e)s candidat(e)s, l'équité dans l'accès aux moyens logistiques, assurer la transparence des prises de décision collectives, le respect pour chacun des candidats et la sérénité du débat". "Les membres de la direction nationale s'imposeront à l'égard des candidats pendant toute la durée de la campagne une stricte impartialité dans l'exercice de leurs fonctions nationales," poursuit le texte.
Plusieurs candidats à la candidature, notamment Laurent Fabius, Dominique Strauss-Kahn et Lionel Jospin, ont mis en cause l'impartialité du premier secrétaire, François Hollande, compagnon de Ségolène Royal, favorite des sondages. La charte prévoit l'organisation de "trois débats télévisés retransmis en direct par des chaînes parlementaires", qui porteront respectivement sur les questions économiques et sociales, de société et environnement, et enfin institutionnelles, internationales et européennes.
Les candidats, qui disposeront chacun de trente minutes, répondront à des questions de militants posées par Internet. Par ailleurs, trois grands débats régionaux sur le modèle de "celui organisé à Lens" sont "envisagés", et un appel sera lancé aux fédérations en ce sens. Le premier débat télévisé est prévu le 10 octobre, une semaine après la clôture du dépôt des candidatures, le premier débat régional le 19 octobre.
En cas de second tour, un débat télévisé serait organisé le 21 novembre.
27 Sep 2006, 10:47
27 Sep 2006, 11:02
etienne92200 a écrit:mardi 26 septembre 2006, 22h45
Après le débat de Lens, la présidente de la région Poitou-Chatentes est désignée par 59% des sympathisants du PS (-7 points par rapport à l'université PS de la Rochelle fin août) et devance de plusieurs longueurs les autres candidats à la candidature socialiste: Lionel Jospin (23%, -7 points), Jack Lang (20%, +5 points), Dominique Strauss-Kahn (19%, inchangé), Laurent Fabius (12%, +1 point) et François Hollande (6%, -6 points).
27 Sep 2006, 11:05
Ségolène Royal craint une "machine à perdre" au PS
PARIS (Reuters) - Ségolène Royal, présidentiable socialiste préférée des sondages, a déclaré mardi soir à Dakar qu'elle redoutait que les primaires au sein du PS ne se transforment en "machine à perdre".
"C'est à se demander si certains n'ont pas envie de perdre, si la machine à perdre n'est pas déclenchée", a-t-elle dit aux journalistes l'accompagnant au Sénégal.
"Il va y avoir des débats internes (...), j'irai parce que je ne veux pas qu'on dise: 'elle refuse les débats etc.' Mais il faut que le débat interne serve le combat après, le débat suivant (contre la droite)", a souligné Ségolène Royal, laissant entendre au passage qu'elle serait bien candidate à l'investiture socialiste.
Le bureau national du PS a adopté mardi soir une "charte d'organisation du débat interne" en vue de la désignation de son candidat, qui prévoit notamment l'organisation de six débats, dont trois télévisés, avant le premier tour du scrutin, le 16 novembre.
Pour Daniel Vaillant, bras droit de Lionel Jospin, la machine à perdre, ce serait "que les socialistes ne fassent pas leur choix en conscience sur la base du débat auquel ils ont droit" et se laissent "porter par une espèce de vague extérieure que les socialistes ne maîtriseraient pas".
"Il faut que ce soit la machine à gagner, c'est-à-dire une machine collective solidaire, enthousiaste pour vraiment réussir l'alternance dont la France a besoin en 2007. Pour cela les socialistes prennent leur temps, fassent leur choix", a déclaré l'ancien ministre de l'Intérieur sur Europe 1.
La présidente de la région Poitou-Charente, qui s'exprimait lors d'une rencontre avec des militants socialistes français au Sénégal, a réagi aux attaques internes dont elle est la cible.
"Je suis la seule à ne pas avoir répondu aux attaques (...), la seule à avoir gardé la dignité du débat", a-t-elle dit.
Selon un sondage CSA pour Le Parisien et i-Télé, l'élue poitevine reste la "présidentiable" préférée des Français et des sympathisants du PS mais elle perd sept points auprès de ces derniers.
Les candidatures à l'investiture du PS devront être déposées entre samedi et mardi prochain.
Mélenchon réplique à Ségolène Royal que "Personne ne veut perdre"
PARIS (AFP) - Le sénateur de l'Essonne Jean-Luc Mélenchon a affirmé mercredi que "personne ne veut perdre" au PS, répliquant à Ségolène Royal qui s'est demandée depuis Dakar si "certains n'ont pas envie de perdre" les élections de 2007.
"C'est très grave comme accusation. De qui parle-t-elle ? Personne ne veut perdre. Depuis quand discuter va nous faire perdre ?", a lancé Jean-Luc Mélenchon, partisan d'une candidature de Laurent Fabius, sur Canal+.
Il a estimé que "les nouveaux adhérents du parti ont besoin d'être éclairés, ont besoin d'un débat pour comprendre les enjeux". M. Mélenchon a reconnu toutefois que la campagne interne comportait "une difficulté : il faut à la fois discuter et ne pas s'entre-tuer".
Mardi le Bureau national du PS s'est mis d'accord sur l'organisation de la campagne, prévoyant trois débats télévisés avec les candidats et, sans doute, trois autres devant les militants d'ici le vote des adhérents du parti le 16 novembre, puis le 23 en cas de second tour.
Alors que Laurent Fabius soupçonne le premier secrétaire du PS François Hollande de partialité dans ce débat, le sénateur de l'Essonne a indiqué que François Hollande "vit quelque chose d'assez compliqué". "Cela force ma tendresse", a-t-il dit, en ajoutant qu'il ne croyait pas à une candidature Hollande.
27 Sep 2006, 11:09
27 Sep 2006, 11:20
27 Sep 2006, 11:35
27 Sep 2006, 11:42
27 Sep 2006, 11:47
27 Sep 2006, 11:52
27 Sep 2006, 11:57
François Hollande se voit en candidat unique du PS, sinon rien
PARIS (Reuters) - François Hollande n'exclut pas de briguer l'investiture présidentielle du PS si un "rassemblement de tous les socialistes" se fait autour de sa candidature, ce qui revient à appeler implicitement les autres "présidentiables" du parti à se retirer en sa faveur.
"Je suis au service de mon parti, donc je ne peux être candidat que si tous ceux qui aujourd'hui postulent à la candidature disent 'c'est au premier secrétaire de faire son devoir'", a déclaré le dirigeant du PS sur France Inter.
"Si au contraire chacun (...) dépose sa candidature, et bien je serai le garant de l'unité des socialistes", a-t-il ajouté.
Le premier secrétaire du PS a précisé qu'il ne se prononcerait définitivement que le 3 octobre, date-limite pour le dépôt des candidatures à l'investiture du parti pour l'élection présidentielle d'avril-mai 2007.
"Il n'y a pas de suspense, il y a des règles. On me demande de les respecter, je les respecte", a-t-il souligné.
Dimanche, le député des Landes Henri Emmanuelli, un des dirigeants historiques du PS, a appelé le premier secrétaire à "renverser la table" et à se présenter.
Les candidatures à l'investiture peuvent être déposées à partir de samedi 30 septembre et jusqu'au mardi 3 octobre. Les militants socialistes votent pour désigner leur candidat à la présidentielle le 16 novembre. Un deuxième tour est possible, le 23 novembre.
Avant une réunion du Bureau national qui doit étudier les modalités de la campagne interne, François Hollande a vivement rejeté les accusations des partisans de l'ancien Premier ministre Laurent Fabius, selon lesquels il tenterait de favoriser sa compagne, Ségolène Royal, "présidentiable" préférée des sondages.
METTRE FIN A LA "BATAILLE ENTRE SOCIALISTES"
"Je suis premier secrétaire du Parti socialiste. Je ne suis pas dans le socialisme familial (...) Je ne suis pas dans la relation personnelle ou l'avantage individuel", a-t-il dit.
Le premier secrétaire a refusé toute "leçon" de Laurent Fabius en matière de respect du vote militant.
En 2004, "il y a eu un vote au moment du traité constitutionnel européen. Les militants socialistes ont répondu (oui à) 60%. J'ai respecté le vote, pas Laurent Fabius (qui a fait campagne pour le 'non'). Donc qu'il ne vienne pas ici faire des leçons sur le respect du vote", a-t-il expliqué.
Il a également rejeté l'objection selon laquelle les nouveaux adhérents venus au parti via internet n'avaient pas été présentés en bonne et due forme dans les sections socialistes. "Je veux que ces adhérents, après contrôle bien sûr, puissent voter. Qui peut être contre cette position ?" a-t-il dit.
Des débats entre "présidentiables" que les rivaux de Ségolène Royal accusent d'esquiver ? Trois sont déjà prévus, a souligné François Hollande. "On me dit: 'il faut en faire huit autres'. Ah bon? On va passer notre temps, nous les socialistes à débattre entre nous ?"
"Dans cette campagne interne, on est sûr qu'un socialiste va gagner puisqu'on est entre socialistes. Alors on peut continuer la bataille entre socialistes (...) mais le principal c'est quand même de battre la droite", a-t-il insisté.
Les sondages, dominés par Ségolène Royal, qui influenceraient les militants ? Cela ne doit "pas être le critère déterminant mais en même temps ignorer l'opinion (...) c'est une façon curieuse de faire de la politique."
"Je regarde l'opinion, y compris pour ce qui concerne le jugement qu'elle porte sur moi", a ajouté le premier secrétaire du PS. "Parce si on dit, 'il ne faut pas prendre la plus populaire', pourquoi pas ? Mais à ce moment-là, il faut prendre le moins populaire et là j'ai mes chances !"
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