etienne92200 a écrit:@ la LCR :
1.L’interdiction des licenciements collectifs et individuels, le maintien des emplois sous peine de réquisition des entreprises. En cas de carence de l’employeur, c’est la responsabilité collective du patronat de maintenir les salaires et les activités, grâce à un fonds de mutualisation fondé sur des cotisations patronales.
- Et si l'entreprise fait faillite on fait quoi?
- Réquisitionner l'entreprise de quelqu'un n'est-ce pas lui voler son bien?
- Crois-tu que n'importe qui peut diriger une entreprise?
- Comment crois-tu qu'on gère une entreprise?
- Et si personne n'achète le produit, le service de l'entreprise, on fait quoi?
- Tu crois que l'argent d'un patron est inépuisable?
On est plus riche aujourd'hui qu'hier, d'ailleurs il vaut mieux, parce que sinon le capitalisme ça servirait vraiment à rien...
Ce que dit Besancenot ici, c'est que les bénéfices des uns doit compenser les pertes de certains, et ainsi augmenter l'intérêt général, le fameux bien être que les libéraux sont sensé rechercher.
Après, c'est totalement utopique de faire ceci dans une logique libérale, on est d'accord. Mais traité de méprisable cette envie d'augmenter le bien être, ça en dit long sur la recherche du bien être des libéraux ...
Et je précise ici, justement, qu'en instaurant une solidarité entre les petits patrons qui connaissent des difficultés, et les grosses boites qui font plein d'argent, il aide bien les petites boites ...