Débats, partage et délires en tout genre. C'est une tradition maintenant...
06 Sep 2006, 18:52
le pire c'est que c'est la verite mais le systeme est comme ca car finalement les gens qui se debrouillent comme ca ils sont bien moins cons que moi ou d'autres!!
Car bosser pour un smic voire avec 150 miserables euros de plus c'est caremment anormal.
Passage a l'euros:20%d'augmentation des prix
logement:j'en parle meme pas c'est l'apotheose
inflation:+2% minimum par an hors carburants qui atteignent des records
et les salaires dans tous ca ils stagnent
Ils faut redonner du pouvoir d'achat aux francais(un smic a 1500 euros c'est trop juste)
et je ne vois pas quel parti sera capable de donner vrai un coup de pouce
a la population.
ps: au diable le medef qui essaie sans cesse de reduire les bourses des francais
06 Sep 2006, 18:56
boss, le smic est encore loin d'être à 1500 euros!
06 Sep 2006, 18:58
T'oublies, l'argent du fils qui deale en bas de chez lui.
Rigole pas!!
les guetteurs du quartiers (ages d'une quinzaine d'annees )500 balles par soirs(de 17h a minuit)!!!!!et fument aoufs!
06 Sep 2006, 18:59
ganjatateur a écrit:boss, le smic est encore loin d'être à 1500 euros!
c'est la proposition de Segolene (1500 euros brut)
06 Sep 2006, 19:01
boss, augmenter a tout le monde les salaires est le meilleur moyend'avoir une inflation de folie.... ce qui evite la trop grande augmentation des prix c'est justement les salaires qui ne suivent pas...
06 Sep 2006, 19:03
cercle vicieux donc...
D'ailleurs les autres pays n'ont pas trouves eux non plus la solution
06 Sep 2006, 19:04
boss, exactement... augmenter les salaires n'est pas la solution...le probleme est bien plus grave que ca.
une chose est sure: aucun extremen'est bon... ensuite au milieu faut choisir. Favoriser les entreprise pour booster l'economie ou favoriser les petits salaires...
06 Sep 2006, 19:31
Toujours dans le programme de démocratie et socialisme; comment augmenter le pouvoir d'achat :
1.4.1. La France n’a jamais été aussi riche mais jamais le partage des richesses n’a été aussi déséquilibré !
Au cours des 23 dernières années, essentiellement entre 1983 et 1992, la part des profits dans le partage des richesses créées chaque année (le Pib) s’est accrue de 10 points au détriment de celle des salaires.
10 points d’un Pib de 1 600 milliards d’euros en 2005, cela représente la somme énorme de 160 milliards d’euro.
En 2005, les profits record d’une partie des sociétés cotées au CAC 40 s’élevaient à 84,5 milliards d’euros. Sur ces 84,5 milliards d’euros, 30 milliards ont été versés sous forme de dividendes aux actionnaires. Les 54,5 milliards restant ont été en grande partie utilisés non à financer des investissements productifs mais pour des placements financiers destinés à enrichir les rentiers. Or, 84,5 milliards d’euros représentent 2 250 000 emplois (environ 38 000 euros par an et par emploi, cotisations sociales incluses). A eux seuls, les 30 milliards de dividende versés stérilement aux actionnaires auraient permis la création de 800 000 emplois !
Le choix qui s’offre à nous est simple : augmenter les salariés ou laisser augmenter les profits. Nous choisissons et nous engageons à ce que soient restitués, au cours des 5 ans de la prochaine législature, 100 des 160 milliards annuels (valeur 2005) que les profits ont confisqués au salariat au cours des 23 dernières années.
Comment atteindre cet objectif de rééquilibrage du partage des richesses entre salaires et profits?
• En prenant des mesures volontaristes pour augmenter les salaires réels, directs et indirects (grâce notamment à l’augmentation des cotisations sociales patronales).
• En augmentant les minima sociaux avec lesquels il n’est pas possible de vivre correctement aujourd’hui.
• En indexant l’évolution des salaires et des minima sociaux non seulement sur l’évolution des prix mais aussi sur l’augmentation de la productivité du travail. Seule une telle indexation garantira que ce qui a été restitué au salariat ne lui sera pas une nouvelle fois confisqué.
• En réduisant le temps de travail sans réduction de salaire avec un fort droit du travail : mesures indispensables à un véritable recul du chômage et au rétablissement du plein emploi.
• En mettant en œuvre une véritable révolution fiscale qui permettra, en relançant l’investissement public, de répondre aux besoins sociaux et en priorité aux plus urgents : santé, éducation, logement, transports collectifs, accueils des plus jeunes et des plus âgés, « plan Marshall » pour les banlieues…
Les libéraux n’affirment jamais clairement que les détenteurs de capitaux ne seront jamais rassasiés et que le taux de profit ne sera jamais suffisant pour les satisfaire. Ils se retranchent derrière l’investissement et la compétitivité : ce ne sont que des prétextes.
Les profits énormes des grands groupes ne se traduisent pas par une augmentation des investissements productifs
Les prévisions du théorème d’Helmut Schmidt, énoncé au cours des années 1970, « Les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après-demain » ne se sont pas réalisées. Il est plus que temps d’en tirer les conséquences.
Les profits ont bien augmenté et retrouvé leur niveau des années 1960, mais les investissements productifs ont continué à stagner. Les 160 milliards que les profits ont pris aux salaires n’ont pas été utilisés à investir mais à alimenter les revenus financiers.
Restituer aux salaires 100 des 160 milliards d’euro annuels qui leur ont été confisqués n’aurait donc aucune incidence sur l’investissement productif.
Cette restitution toucherait uniquement les revenus de cette étroite couche sociale qui domine l’ensemble de l’économie en fonction de ses seuls intérêts, économiquement stériles, quel qu’en soit le coût social et humain.
Augmenter les salaires sera sans effet négatif sur la compétitivité si la part des profits diminue
Contrairement à ce que répètent quotidiennement les libéraux, les coûts d’une entreprise ne sont pas les seuls coûts salariaux. Les coûts financiers, les revenus versés aux actionnaires, font eux aussi partie des coûts d’un produit ou d’un service.
Les revenus financiers ayant augmenté au même rythme qu’ont diminué les revenus salariaux, il est donc tout à fait possible de ne pas augmenter les prix tout en augmentant les salaires, directs et indirects. A une condition, c’est de diminuer les revenus financiers. Si vous tenez tant que cela à votre sacro-sainte compétitivité, Messieurs les Libéraux « Tirez les premiers ! »
06 Sep 2006, 19:43
tu devrai faire un one man show
06 Sep 2006, 19:55
iamaseb, t'es devenu social démocrate ?
06 Sep 2006, 20:56
Thorgal a écrit:
Niveau responsabilité c'est du 50-50.
Il y a des abus c'est clair mais c'est pas avec des salaires de merde (même indépendement du niveau des prestations sociales) qu'ils vont attirer du personnel motivé, surtout pour des métiers comme ça
c'est bien pour cela que je pose la question ..
06 Sep 2006, 20:57
Thorgal a écrit:iamaseb, t'es devenu social démocrate ?
j'ai failli poser la question aussi
06 Sep 2006, 20:59
Thorgal, j'aime pas trop les étiquettes.
Si on considère les idées, je ne vois pas comment tu peux dire que je suis devenu quelque chose d'autre (on évolue tout le temps, mais pas focément de grand changement)...
35 heures, meilleur répartition des richesses (moins d'argent pour le capital) ... C'est ce que je dis depuis longtemps, non ?
Je ne comprends donc pas ta remarque.
PS : le programme officiel du PS, c'est pas ça ...
06 Sep 2006, 21:03
Comment atteindre cet objectif de rééquilibrage du partage des richesses entre salaires et profits?
• En prenant des mesures volontaristes pour augmenter les salaires réels, directs et indirects (grâce notamment à l’augmentation des cotisations sociales patronales).
• En augmentant les minima sociaux avec lesquels il n’est pas possible de vivre correctement aujourd’hui.
• En indexant l’évolution des salaires et des minima sociaux non seulement sur l’évolution des prix mais aussi sur l’augmentation de la productivité du travail. Seule une telle indexation garantira que ce qui a été restitué au salariat ne lui sera pas une nouvelle fois confisqué.
• En réduisant le temps de travail sans réduction de salaire avec un fort droit du travail : mesures indispensables à un véritable recul du chômage et au rétablissement du plein emploi.
• En mettant en œuvre une véritable révolution fiscale qui permettra, en relançant l’investissement public, de répondre aux besoins sociaux et en priorité aux plus urgents : santé, éducation, logement, transports collectifs, accueils des plus jeunes et des plus âgés, « plan Marshall » pour les banlieues…
ouais t'aurais pu résumer tout ton pavé à "prenons aux riches".
c'est terrible cette manie de vouloir gratter du papier pour se donner une contenance.
06 Sep 2006, 21:30
AU lieu de balancer un smic a 1500,pourquoi pas reduire le cout de la vie...ca serait si simple..
Les patrons sont jamais content,avec les benefs qu'ils font...qu'ils crevent !
06 Sep 2006, 22:34
Figoal a écrit:Thorgal a écrit:gob a écrit:ideh a écrit:gob a écrit:ideh a écrit:
Il n'y as de logement tout simplement parce qu'on en construit pas.
Il y a un chomage de dingue car tous le monde veut faire les meme metiers qui sont pas prise de tete, Va demander au chefs de chantier s'ils sont pas en penurie d'employé? Va demander au restaurateur s'ils sont pas en galere pour trouver des gens pour faire la plonge?
Et des exemples comme ça , il y en a plusieurs...
.
y'a plus de deux millions de chomeurs.
Peut etre que eux pourraient le faire ca non ?
Apparement , ils ne veulent pas le faire , vu qu'il y a de demande
c'est bien là le probleme ...
A condition de se demander pourquoi ils ne veulent pas le faire ...
Niveau responsabilité c'est du 50-50.
Il y a des abus c'est clair mais c'est pas avec des salaires de merde (même indépendement du niveau des prestations sociales) qu'ils vont attirer du personnel motivé, surtout pour des métiers comme ça
en même temps s'ils attendent un salaire de 1500€ pour faire de la plonge.......... remarque ça ne me dérange pas, ça voudra juste dire que je pourrai demander un salaire de 5000€
![Surprised :o](http://www.massalialive.com/forum/images/smilies/icon_surprised.gif)
c'est pas toi le grand défendeur du capitalisme ici?
Tu devrais alors savoir que la valeur d'un bien, ici le travail, dépend de la loi l'offre et de la demande et non de son utilité marginale. Dans ce système, un joueur de foot illétré gagne beaucoup plus qu'un très grand érudit qui fera avancer la science par exemple, de même qu'un ouvrier en batiment peut gagner alors plus qu'un financier
06 Sep 2006, 22:36
Figoal a écrit:Comment atteindre cet objectif de rééquilibrage du partage des richesses entre salaires et profits?
• En prenant des mesures volontaristes pour augmenter les salaires réels, directs et indirects (grâce notamment à l’augmentation des cotisations sociales patronales).
• En augmentant les minima sociaux avec lesquels il n’est pas possible de vivre correctement aujourd’hui.
• En indexant l’évolution des salaires et des minima sociaux non seulement sur l’évolution des prix mais aussi sur l’augmentation de la productivité du travail. Seule une telle indexation garantira que ce qui a été restitué au salariat ne lui sera pas une nouvelle fois confisqué.
• En réduisant le temps de travail sans réduction de salaire avec un fort droit du travail : mesures indispensables à un véritable recul du chômage et au rétablissement du plein emploi.
• En mettant en œuvre une véritable révolution fiscale qui permettra, en relançant l’investissement public, de répondre aux besoins sociaux et en priorité aux plus urgents : santé, éducation, logement, transports collectifs, accueils des plus jeunes et des plus âgés, « plan Marshall » pour les banlieues…
ouais t'aurais pu résumer tout ton pavé à "prenons aux riches".
c'est terrible cette manie de vouloir gratter du papier pour se donner une contenance.
ou tout bêtement pour éviter de répondre à la question "et tu fais comment, prendre aux riches", ou "ton idée est bien trop basique, développe que l'on rigole un peu"
06 Sep 2006, 22:45
Tu devrais alors savoir que la valeur d'un bien, ici le travail, dépend de la loi l'offre et de la demande et non de son utilité marginale. Dans ce système, un joueur de foot illétré gagne beaucoup plus qu'un très grand érudit qui fera avancer la science par exemple, de même qu'un ouvrier en batiment peut gagner alors plus qu'un financier
justement dans le système que je défends (et encore heureux sinon je suis obligé de renier mon métier), ce qui compte n'est pas la valeur du bien en tant que tel (après tout la "vraie" valeur si personne n'est prête à la payer....... on s'en tamponne
![Mr. Green :mrgreen:](http://www.massalialive.com/forum/images/smilies/icon_mrgreen.gif)
) mais ce que les autres sont prêts à lui attribuer.
dès lors il est effectivement tout à fait possible de payer une personne 300.000€ pour taper dans un ballon, et un smic pour un chercheur sur la reproduction du poulpe en milieu aquatique avec présence d'une entreprise chimique et d'un transistor diffusant fun radio. Mais il est évident que personne ne paiera 1500€ pour laver des plats........ à ce prix autant en acheter des neufs
06 Sep 2006, 22:48
ou tout bêtement pour éviter de répondre à la question "et tu fais comment, prendre aux riches", ou "ton idée est bien trop basique, développe que l'on rigole un peu
le problème c'est qu'en lisant les "propositions" énoncées je ne sais pas si je dois rire ou pleurer.
t'en penses quoi? non parceque j'ai toujours les côtes qui me démangent sur les effets
EXTRAORDINAIRES des 35h alors si en plus il faut rediminuer le temps de travail.......... j'ai comme l'impression qu'il va y avoir de plus en plus de cadres dans ce pays
06 Sep 2006, 22:49
on parlait pas d'ouvrier en batiment?
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