iamaseb, augmenter le SMIC ......... ok, mais il y a une hausse ts les ans ou presque. Un SMIC à 1500€ ? Ok, mais on va y arriver d'ici peu, et Fabius fait uniquement de la démagogie.
Smic à 1500 euro en 2007 et pas en 2012.
Un salaire maximum ? Mr. Green Ou alors, comment empecher des gens de créer leur boite, de cravacher et de faire la fierté de la France (cf Beigbeider avec l'ancien self tarde et maintenant poweo ou d'autres start-up).
Je n'ai pas précisé le montant du salaire maximum, je ne parle pas de 2000 euros par moi, mais plutôt d'une somme comme 6000...
Et ne me dis pas que ce n'est pas assez, + de 90 % de la population mondiale ne gagnera jamais autant par mois... Donc avec 6000 euros, je crois tu récompenses largement les efforts fourni, tu ne crois pas ?
Surtout que d'un point de vue éthique, gagner des millions et des millions quand d'autre crêve la dalle, c'est pas térrible...
Deplus, si tu met un salaire maximum, forcément les richesses créés iront quelques parts, tu es d'accord. Si l'Etat (Cad la collectivité) récupère cette argent, cette argent pourra toujours être donné à ceux qui ont des projets intérréssant.
Je dirai même qu'en faisant cela, on fera honneur au mérite. En effet, quelqu'un qui n'a pas d'argent mais qui a de bonnes idées sera favorisé à celui qui a de l'argent et qui n'a pas d'aussi bonnes idées que ça...
De cette façon, c'est bien le travail qu'on récompense... et non la richesse...
C'est ce que tu veux, non ?
Tu crois que tu peux motiver des gens, si tu leur dis ok, vas-y mon gars : fonce, défonce toi, prends ts les risques, bosses 70h/semaine, crée qqch, invente qqch, mets-y tte toute ton énergie (ds le boulot, en // de ta vie) ........ mais saches mon gars que tu gagneras maximum X€ / an.
Le mec va te faire un gros doigt Mr. Green
Dans ce cas là, applique le même principe pour tout le monde... tous les SMICARD devrait faire un doigt...
Les entreprises qui font des bénefs, c'est normal de le réinvestir ds la R et D, ds ses salariés (via des stock-option).
Après, si le mec merde, c'est son pb, et la justice doit le punir, en cas d'abbus.
(Extrait de
http://www.lariposte.com/article.php3?id_article=567)
Marx soulignait que l’idéal des capitalistes était de « faire de l’argent avec de l’argent », ce qu’il exprimait par la formule « M-M1 ». Alors que, par le passé, la bourgeoisie développait les moyens de production et, de ce fait, jouait un rôle relativement progressiste, ce n’est désormais plus le cas. Les capitalistes cherchent de plus en plus à faire de l’argent par le biais d’activités spéculatives, en s’exemptant de la pénible nécessité de produire. Exception faite de la Chine, où il y a eu un énorme développement des forces productives, les capitalistes n’investissent plus autant dans la production que par le passé. Les chiffres de l’Investissement Direct à l’Etranger (IDE), pour la période de 1999 à 2003, sont les suivants :
1999 : 1080 milliards de dollars
2000 : 1380 milliards de dollars
2001 : 817 milliards de dollars
2002 : 678 milliards de dollars
2003 : 559 milliards de dollars
Ces chiffres montrent que l’IDE a chuté de 41% en 2001, puis de 17% en 2002 et d’à nouveau 17% en 2003. En outre, en 2003, les chiffres de l’IDE aux Etats-Unis indiquent une chute de 53% - la plus importante en 12 ans. En Europe Centrale et de l’Est, l’IDE a chuté de 30%, en Europe de 20% et au Japon de 35%. La Chine est l’exception : l’IDE y a beaucoup progressé. Dans son rapport de septembre 2005, le FMI a prévenu que « malgré la forte croissance des profits des entreprises, le niveau de l’investissement a été faible, en général. » Le même rapport en appelle à un changement de stratégie : « Jusqu’alors, la croissance mondiale a reposé sur un accroissement de la consommation ; il est temps, désormais, de passer d’une croissance basée sur la consommation à une croissance basée sur l’investissement. »
Dans leur course aux profits faciles, les capitalistes se sont engagés dans une orgie d’acquisitions, qui se soldent presque toujours par des fermetures, des restructurations et des « plans sociaux ». Dans les premiers mois de 2005, les acquisitions ont augmenté de 40%, pour une valeur totale de 1657 milliards de dollars. Le FMI parle d’ « économies d’échelle permettant de réduire les coûts fixes », et, non sans euphémisme, de « destruction créative ». En réalité, cela n’a rien de créatif. Il s’agit d’une sorte de Luddisme moderne [1] - à ceci près qu’aux premiers temps du capitalisme industriel, c’était les ouvriers qui détruisaient les machines, alors qu’aujourd’hui ce sont les capitalistes eux-mêmes.
Même là où les capitalistes font de gros profits, ils n’investissent pas dans le développement des forces productives de leur propre pays. Dans un article soigneusement enfoui dans les dernières pages de son édition du 25 février, The Economist explique : « Aujourd’hui, dans des pays comme l’Allemagne, dont l’économie stagne, les profits augmentent. Et presque partout, même lorsque les profits ont augmenté en flèche, le revenu réel des travailleurs a stagné, voire régressé. [...] En Europe, les entreprises dégagent de beaux profits [...]. Au cours des deux dernières années, le rendement des actions des plus grandes entreprises a grimpé de plus de 100% en Allemagne, de 50% en France, de 70% au Japon - et de 35% aux Etats-Unis, malgré le fait que le PIB de l’économie américaine a crû plus rapidement que les autres. [...]
« Deuxièmement - et c’est le plus inquiétant -, le succès des entreprises ne garantit plus la prospérité des économies nationales, ou plus précisément des travailleurs du pays. De gros profits sont supposés encourager les entreprises à investir davantage, à augmenter les salaires [ !] et à embaucher. Or, bien que la part des profits, dans le revenu national des économies du G7, frôle des niveaux historiques, l’investissement a été exceptionnellement faible au cours de ces dernières années. Comparé aux précédentes périodes de reprise économique, les entreprises ont rechigné à augmenter l’embauche ou les salaires. Aux Etats-Unis, la part des profits dans la croissance du revenu national est la plus importante depuis 1945, en période de reprise. » [nous soulignons]
Au lieu de développer les moyens de production, les capitalistes se sont engagés dans un carnaval de destruction à l’échelle mondiale. Des centaines de milliers d’emplois industriels sont détruits, dont un grand nombre sont remplacés par des emplois dans le secteur parasitaire des « services ». Les travailleurs qui conservent leur emploi doivent travailleur plus longtemps, dans de moins bonnes conditions et, souvent, pour un moindre salaire. Le patronat s’est lancé dans une offensive sauvage pour accroître les profits au détriment des salariés. Il s’agit d’un phénomène universel.
Prenons quelques exemples. Au cours de ces deniers mois, Telsar, le leader des télécoms en Australie, a supprimé 12 000 emplois, cependant que Deutsche Telekom en supprimait 19 000. L’entreprise pharmaceutique Merck a annoncé un plan de suppression de 7000 emplois dans les trois ans à venir. Volkswagen a prévenu que 20 000 emplois feraient les frais de son plan de restructuration. France Télecom parle de supprimer 17 000 emplois au cours de trois prochaines années. Et ainsi de suite. La force de travail subit des attaques à répétition. Les salariés sont exaspérés. Grèves et protestations diverses sont à l’ordre du jour, comme on le voit déjà, non seulement chez Général Motors, mais aussi dans les transports new-yorkais. Les travailleurs de Boeing ont également fait grève contre la remise en cause de leur convention collective. D’autres suivront.
Voilà le seul type de « boom » auquel on peut s’attendre dans la période actuelle. La question se pose : que se passera- t-il dans un contexte de récession ? Or il est clair qu’une sérieuse récession se prépare. Il est impossible de prévoir avec précision quand elle adviendra. L’économie n’a jamais été une science exacte, et elle ne le sera jamais. Au mieux peut-elle établir des tendances générales. Mais là n’est pas la question. Les effets de la crise du capitalisme se font sentir dès à présent. Les capitalistes s’efforcent d’accroître la plus-value aux dépens des travailleurs. On voit cela partout. Dans tous les pays, la part des revenus du travail dans la richesse nationale est en déclin, alors que la part des profits augmente.
Les capitalistes ont maintenu leurs profits, d’une part en accroissant l’exploitation relative et absolue, d’autre part en intensifiant leur participation sur le marché mondial, c’est-à-dire en renforçant la division internationale du travail (ce qu’ils appellent la « globalisation »). Cela les a temporairement aidé. C’est notamment ce qui explique que les deux récessions mondiales, depuis 1987, ont été relativement faibles, comparées aux quatre récessions des 18 années précédentes. Mais en économie, le passé n’est pas une indication de l’avenir. Le fait que les deux dernières récessions aient été relativement faibles ne signifie pas qu’il en sera de même pour la prochaine. Tout indique, au contraire, que d’énormes contradictions préparent le terrain d’une sérieuse crise.
Les économistes bourgeois les plus sérieux font le parallèle entre la situation actuelle et le début des années 70, lorsque la montée du cours du pétrole (également consécutive à une aventure militaire au Moyen-Orient) a provoqué la première véritable récession mondiale depuis la deuxième guerre mondiale. Contrairement à ce qu’expliquaient de vulgaires économistes, l’augmentation du prix du pétrole n’était pas la cause de la récession, mais simplement la « goûte qui fait déborder le vase », ou encore le catalyseur, qui a porté jusqu’à un point critique des tendances qui s’étaient développées sur toute une période.
Qu'appeles-tu enfants défavorisés ?
Des enfants, dont les parents n'ont pas de papiers et qui sont en situation illégale sur le territoire français ?
Des enfants, dont le père a plusieurs femmes, pour toucher un max d'aides ? ce qui est illégale.
En fait, mon objectif c'est de donner le niveau du BAC (sans changer le niveau de celui-ci) à 99 % de la population, on sait tous que cela se joue lors de la socialisation primaire et secondaire, et lors des premères années d'enseignement, je suis donc favorable à ce qu'on mette les moyens pour aider ces enfants en difficultés.