fourcroy a écrit:iamaseb a écrit: j'ai dit "dont" mai 68, mais ce n'est pas grave tu as compris le sens.
Pour une fois, oui.
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Alors ne pinaillons pas.
Une petite question, quand on arrête de se battre pour le progrès, pour nos valeurs, nos rêves... il se passe quoi ? (A l'échelle de la société).
Quand on arrête de se battre, il y a régression. Là où ça devient un peu plus compliqué, c'est de décider pourquoi on se bat. Pour le progrès, la justice, les valeurs... c'est joli, mais vague. De Villiers se bat aussi pour des valeurs et pour la justice. Ce ne sont pas trop les miennes (de valeurs)... Puisqu'on parlait d'enseignement, je me bats pour le rétablissement d'un enseignement de qualité, pour donner leur chance aux plus défavorisés. Toi aussi, bien sûr. Et pourtant, nous ne sommes pas d'accord sur ce que cela contient.
On est d'accord sur la régression...
Pour ce qui est de mes valeurs, je suis contre le fait qu'on laisse qui que se soit au bord de la route.
A partir de là...
Pour notre divergence sur l'école, on retrouve certains mêmes éléments que notre divergence sur le "libre-arbitre". Je ne sais pas si tu te rappelles de cette divergence.
Je suis convaincu que 99 % des individus qui peuplent cette planète, peuvent, quand ils naissent, recevoir une éducation qui leur permettra d'avoir le bac. Une éducation que j'assimile à une socialisation, c'est-à-dire que la société est présente dans le processus (d'apprentissage).
Je pense donc, que quand un élève échoue, on est tous responsable plus ou moins de cet échec.
Je ne crois pas que tu sois d'accord avec ça.
Nos réponses sont donc différentes, puisque nous ne sommes pas d’accord sur l’origine du problème.
(J’espère avoir exprimé une idée simple dans un français à peu près correct).