Le non-lieu, j'Aime.
Mais il faudrait que la loi soit modifiée, "
retournée" en qq sorte, pour que de tels actes, surtout encadrés par tout un contexte familial et médical bien maîtrisés, ne soient pas jugés *à priori* comme criminels, mais au contraire nécessitant un jugement au cas par cas.
Par contre, je ne vois pas non plus une législation autorisant l'euthanasie, ou alors avec de telles contraintes et une telle suite d'alinéas et de disclaimers qu'elle serait illisible et donc inappliquable telle quelle. Autant se diriger vers un cas pas cas directement.