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aristote2 a écrit:Mommy m'a mis une sacré claque.
Mon amie travaillant avec un public ayant les caractéristiques de l'ado du film, elle m'a assuré du réalisme des situations décrites.
J'en suis sorti bouleversé. Ce film prend aux tripes.
Le sous-titrage est obligatoire tant l'accent est .
Je le conseille vivement.
aristote2 a écrit:hide a écrit:aristote2, il est diffusé avec des sous-titres?
Je vais peut-être y aller ce soir, après je m'absente quelques jours et j'ai peur qu'à mon retour le film ne soit plus à l'affiche.
Sous-titrage obligatoire.
Par contre, la qualité des sous-titres laisse à désirer parfois.
pretender a écrit: Les images sont propres, parfois trop même
Toti a écrit:
Par ailleurs, tout ce qui relevait avec la pellicule d'une certaine "magie", comme le grain par exemple*, est aujourd'hui froid, lisse, géométrique et systématique (ou très incomplet notamment pour les couleurs). L'image cinématographique est devenue chirurgicale, et ce qu'elle gagné en réalisme cru, elle l'a perdu en âme, en densité, en charme, en naturel et en mystère, et quelque part aussi en matérialité comme tu l'évoquais.
Ça paraît idiot, mais c'est pourtant vrai.
* qui était aléatoire et esthétique contrairement au bruit électronique
Mais surtout, il (le français) invente un procédé qui permet à l’image numérique d’échapper à la malédiction de son extrême régularité: le velouté et l’infini nuancier que permet le 35 millimètres étaient dus au fait que les sels d’argent photosensibles sont disposés de manière irrégulière (et aléatoire, note de Fidel) sur la pellicule, alors que les pixels sont une grille fixe et parfaitement régulière. Beauviala met au point un dispositif qui décale aléatoirement la position physique du capteur d’un demi-pixel à chaque image, déstabilisant l’enregistrement.
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