Cinéma, infos, critiques, trailers... - Vol I

[Flys]

Bordel, ils ont vraiment besoin de lui foutre tant d'images de synthèse sur la gueule à Legolas ? Orlando Bloom est soudainement devenu moche ou quoi ?

Bah il s'est fait tèj par Miranda Kerr

[Bibpanda]

[Flys]

(il a été leaké d'ailleurs)

[sillicate]

Bibpanda, inutile de mettre le trailer, tout le monde l'a déjà vu, et en HD en plus.

[Odd]

Sympa la planète des singes. Par contre comprends pas pourquoi "l'Affrontement" alors qu'ils disent à la fin

Spoiler: montrer

enfin César dit que l'Affrontement va avoir lieu justement.

[Bibpanda]

sillicate,

Spoiler: montrer

la scène dans le bar avec jet li et schwarzi

[randoulou]

Bibpanda, inutile de mettre le trailer, tout le monde l'a déjà vu, et en HD en plus.

La dédicace à Wesley Snipes est bien marrante

[JPP REVIENS]

Sympa la planète des singes. Par contre comprends pas pourquoi "l'Affrontement" alors qu'ils disent à la fin

Spoiler: montrer

enfin César dit que l'Affrontement va avoir lieu justement.

Encore une traduction merdique, alors que le titre en VO est "dawn of the planet of the apes"

[sillicate]

sillicate,

Spoiler: montrer

la scène dans le bar avec jet li et schwarzi

Vu que j'ai pas vu le 2, je me suis dit que j'avais zappé un truc.

Spoiler: montrer

Mais ils sont pas allés jusqu'au patin. Faut que l'Américain moyen puisse encore s'identifier à Swartzy sans avoir peur pour sa virilité

[Bibpanda]

[hide]

Avec de nombreux mois de retard j'ai regardé "American Hustle" hier soir.

Je suis carrément resté sur ma faim Malgré un casting 3 étoiles ou l'on s'amuse des petits rôles tenus par De Niro ou Louis C.K. (et du caméo de Said Taghmaoui) le film peine a trouver son rythme et un ton propre.
Ni vraiment polar, ni vraiment thriller, ni vraiment comedie, ni vraiment film de love. La partie arnaque est quasiment inexistante, la partie polar avec un flic a l'ambition démesurée également, reste un quatuor amoureux avec Amy Adams en femme fatale et permanentée... mouais.
La reconstitution de la fin des années 70 est pas plus mis en avant (a part dans les tenus et les coupes de cheveux ).
Bon reste Jennifer Lawrence qui est toujours impeccable et crédible lorsqu'elle doit jouer des femmes constamment au bord de la rupture, comme dans "Hapiness Therapy"... du même réalisateur.

[sillicate]

Vu qu'il n'y a pas de topic Comic-Con, une vidéo Marvel, qui "résume" la phase 1, et tease un peu la phase 2 : des images déjà vues des Guardians, et quelques inédites d'Avengers2, et surtout, The Mad Titan, Thanos.

[hide]

Information

Ghibli n'est pas mort. Toshio Suzuki a précisément annoncé que le studio faisait une pause dans sa production, pour se réorganiser. "Le départ en retraite de Miyazaki a été lourd de conséquences. Que doit faire Ghibli après ? Il n'est pas impossible de continuer à créer. Mais nous allons prendre une pause et réfléchir à la suite". Une pause temporaire ou définitive ? A suivre.

Premiere.fr

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Cette déclaration fait suite aux rumeurs apparues sur la toile la semaine dernière, qui annonçaient la fermeture du studio Ghibli

[Odd]

des retours sur Lucy ?

[gob]

des retours sur Lucy ?

+1
Très tenté d'aller le voir...

[sillicate]

"On n'utilise que 10% de notre cerveau". Il pouvait trouver une meilleure excuse pour faire son remake de limitless.

[jerrib]

Information

Si le "Besson bashing" est un sport national, il faut avouer que l'homme tend le bâton pour se faire battre. Attendu comme un des grands blockbusters de l'été, le rêve hollywoodien de Luc Besson enfin accompli, Lucy se révèle être une escroquerie. Les Américains ne s'y sont d'ailleurs pas trompés : propulsé en tête du box-office en première semaine, le film a vu ses recettes dégringoler de 58 % en deuxième semaine. "Est-il possible pour un film d'être à la fois cérébral et stupide ?" s'exclame un critique américain sur le site spécialisé Indiewire. La réponse est oui.

Pourtant le scénario est alléchant. Une étudiante (Scarlett Johansson) se réveille après son enlèvement par la mafia coréenne. On lui a inséré un paquet de drogue dans l'estomac afin qu'elle l'achemine en Europe. Mais le contenu commence à se déverser dans son corps. Les effets secondaires de ce produit lui permettent d'utiliser ses capacités cérébrales au maximum. Depuis sa naissance, l'homme n'utilise qu'au maximum 10 % de sa matière grise, rappelle l'affiche placardée partout en France. Ce nouveau pouvoir permet à la jeune femme de développer des facultés jusqu'alors inconnues. Problème : elle va bientôt atteindre 100 % et personne ne sait ce que l'overdose de neurones provoque.


Délires bessoniens

Entre un Morgan Freeman dans son rôle éternel de vieux sage (voir Batman ou Transcendance), un Choi Min-sik (Old Boy) en cliché de Coréen sanguinaire et un flic sosie de Samy Naceri, les personnages ressemblent à des coquilles vides. Étudiante écervelée durant les cinq premières minutes du film, Scarlett Johansson se transforme en un coup de baguette magique en serial killeuse aux super-pouvoirs dignes du pire X-Men.

Jusque-là, rien de bien méchant. Sauf que Luc Besson a cru bon d'insérer des scènes de préhistoire, de création de la Terre et de l'Univers, et même d'avant (sic), comme s'il cherchait à devenir un néo-Terrence Malick. Le film ne dure qu'une heure trente, mais semble interminable, surtout lorsqu'il se pique d'illustrer son propos par des séquences de documentaires animaliers censées expliciter les métaphores complexes élaborées par Besson. Exemple : Scarlett Johansson poursuivie par des mafieux asiatiques = antilope innocente chassée par des guépards. On pardonnerait volontiers à notre Français son délire psychotrope s'il se contentait par ailleurs d'une réalisation mesurée. Mais la sobriété n'est pas son fort. Les voitures volent plus haut et explosent plus fort que dans Transformers et les murs de la Sorbonne volent en éclat à coup de lance-roquettes.

Il paraît que le scénario de Lucy trottait dans la tête de Luc Besson depuis une dizaine d'années. Dommage que cette longue gestation aboutisse à un film bâclé, une macédoine cinématographique indigeste de ses précédentes oeuvres. À l'image de son héroïne, qui avoue à propos de son cerveau surdéveloppé "Je ne sais pas ce que je vais en faire", Besson ne savait visiblement pas quoi faire de toutes ses idées.

[Odd]

une macédoine cinématographique indigeste de ses précédentes oeuvres

Bon, ça c'est fait.

[Toti]

Besson et cinéma dans la même phrase c'est déjà osé...