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12 Déc 2005, 18:10

Mouais

Pourtant, l'économie au Mexique se décentralise grandement

tu veux dire le Venezuela?

Au Mexique, c'est Vicente Fox, le président et il est plutôt libéral, assez potes avec Bush je crois

12 Déc 2005, 18:17

Aurelsaviola a écrit:
Mouais

Pourtant, l'économie au Mexique se décentralise grandement

tu veux dire le Venezuela?

Au Mexique, c'est Vicente Fox, le président et il est plutôt libéral, assez potes avec Bush je crois


Oui et pardon, je viens de voir que j'avais écrit n'importe quoi. Le Mexique se libéralise à vitesse grand V certes, mais Chavez est président du Vénézuela donc rien à voir (au temps pour moi)!

Allez, une sieste et ça repart! :wink:

12 Déc 2005, 18:17

svinzinho a écrit:......et les gauchistes ont bien plus leurs place dans un stade, car ils defendent une idée de monde plus juste et égalitaire. Les fachos, la haine et la mort.

Donc ne les comparons pas sur pas sur les chiffres de staline et d'hitler.


Quatre-vingt cinq à cent millions de morts : tel est le bilan des crimes du communisme, selon les auteurs du « Livre noir du communisme ».

Donc t'as raison ne comparons pas, Staline est bien pire, c'est pas la peine d'en parler, ça ferait de la peine là haut au Ché !!!.... :roll:

Au fait en parlant de détournement de symboles, la croix gammée est un svastika pointant vers la droite, à l'origine symbole indien pourvu de vertu bénéfique, détourné pour représenter la supériorité de la race aryenne ! :wink:

12 Déc 2005, 18:33

Drolix a écrit:
iamaseb a écrit:Drolix, de mon point de vue, tu fais beaucoup de raccourcis entre Cuba, Communisme et fascisme.
Peux tu nous en dire un peu plus sur l'histoire de cuba, et en quoi elle est marxiste ?
Il me sera alors plus facile de te répondre, peut-être de te renseigner, où l'inverse.


Le communisme est une utopie qui a ete interprete de differentes facons il me semble. On a eu le Leninisme, Le Maoisme, Le Castrisme etc.

L'Histoire de Cuba en detail, je ne la connais point, je sais juste qu il y a des constantes pour les regimes a vocations communistes.

1 . Les regimes se sont etablies apres une revolution ou un coup d'etat. Les allemands ou les italiens ont vote pour leur bourreaux, les russes, les khmers ou les cubains il ne me semble pas.
2 . Chaque "chef" impose SA vision des choses a son pays.
3 . Chaque regime oublie qu ils sont la pour aider le peuple, et font tout, quelqu en soit le prix, pour faire triompher l'ideologie du regime.
4 . Collectivisation, abandon du capitalisme

Le fascisme est par definition : Doctrine, système politique que Mussolini établit en Italie en 1922 (totalitarisme, corporatisme, nationalisme et respect des structures capitalistes).

Certains choses les rapprochent, d autres les eloignent.

Quoiqu il en soit, je pense tres honnetement, qu il vaut mieux eviter de vivre sous l un de ces deux regimes. Et que les deux sont condamnables de la meme maniere selon moi.

Alors apres le mec qui fait un salut romain / fasciste ou qui porte un tshirt che guevarra ( comme les jeunes sarkoziens ) ils meritent une baffe et un cours d histoire de rattrapage.



Tu parles ici du fait que les régimes fascistes aient été mis en place par la voix du peuple.

Tu trouves que cela les rend plus légitime ou que cela permet d'excuser plus facilement les atrocités commises? Perso je pense le contraire car cela montre bien que le peuple a été grandement trompé par des gens en qui il avait confiance en début (mais le peuple est con parfois lol).

Après, les révolutions qui ont mis Lénine ou Castro au pouvoir ont été des révolutions populaires, c'est à dire du peuple qui à force de se sentir exploiter ou oppresser par des classes gouvernantes a pris les armes. Donc quelque part aussi lors de ces révolutions c'est le peuple qui a décidé (ou une partie du peuple voir la majorité dirons nous).

Tu crois vraiment qu'il y avait des élections dans le Cuba d'avant castro ou la Russie Tzarienne?? Donc à partir de là le peuple n'avait pas d'autre choix que de prendre les armes.
La chance des allemands des années 30 ou des italiens des années 20 est qu'eux avaient le choix. Guidés par un contexte de guerre perdue et d'envie de revanche pour les uns, par une crise économique et un nationalisme exacerbé pour les autres, ils ont très mal choisi!


Et que penses tu des régimes capitalistes (et dictatoriaux) qui ont été mis en place par un coup d'état militaire (révolution menée par les militaires durant laquelle le peuple n'avait pas son mot à dire sous peine d'etre exterminé) et par le soutien militaire et économique d'autres pays?
Franco, Salazar, Videla, Pinochet.... la liste est longue! Et je pense que c'est le pire qui puisse arriver à un peuple...

12 Déc 2005, 18:40

Quel abruti ce Di Canio... :|

12 Déc 2005, 18:46

Di Maggio a écrit:
svinzinho a écrit:......et les gauchistes ont bien plus leurs place dans un stade, car ils defendent une idée de monde plus juste et égalitaire. Les fachos, la haine et la mort.

Donc ne les comparons pas sur pas sur les chiffres de staline et d'hitler.


Quatre-vingt cinq à cent millions de morts : tel est le bilan des crimes du communisme, selon les auteurs du « Livre noir du communisme ».

Donc t'as raison ne comparons pas, Staline est bien pire, c'est pas la peine d'en parler, ça ferait de la peine là haut au Ché !!!.... :roll:

Au fait en parlant de détournement de symboles, la croix gammée est un svastika pointant vers la droite, à l'origine symbole indien pourvu de vertu bénéfique, détourné pour représenter la supériorité de la race aryenne ! :wink:



Il y a quand meme ici un certains nombre de personnes (dont tu fais parti) qui ont de gros problèmes de compréhension et qui font des amalgames énormes.

Il te parle de gauchiste, tu lui réponds Staline...
J'ai expliqué plus haut (je ne dis pas avoir la science infuse mais au moins moi j'argumente mes propos!) que Staline était économiquement un communiste (enfin il prétendait l'être et l'a adapté) et politiquement un dictateur semblable aux dictateurs fascistes tels mussolini.

Tu ne peux pas aparenter les crimes de staline au communisme (qui n'était qu'un système économique et un système économique n'a jamais tué personne concretement)...
Tu peux apparenter les crimes de Staline au fait qu'il était un dictateur totalitaire qui est l'opposé même du mot gauchiste...

De meme, on ne peut pas aparenter les crimes de Pinochet, Franco au capitalisme mais au fait qu'ils étaient deux dictateurs!

De plus, le livre que tu cites a un titre racoleur et rempli d'amalgames pour les mêmes raisons:

La politique de Staline et le communisme sont deux choses totalment différentes...

12 Déc 2005, 18:57

Prophète a écrit:Quel abruti ce Di Canio... :|



Et c'est pas le seul malheureusement...

Sinon, ca rime a quoi cette comparatif de taille de quequette entre le communisme et le nazisme ? A savoir qui a la plus grosse entre la peste et le choléra, ou a faire de la provoc que meme moi je trouve completement nauseabonde ?



Jodko.

12 Déc 2005, 19:43

timolovitch a écrit:
Obi1 a écrit:Fab38, ho c'est pas que sur lyon, les plus gros sont chez les putes on le sais

à rennez ils sont pas mal aussi les BS :lol: d'ailleur j'ai une video de eux magnifique :lol:


balance là! 8)

ps: tu parles des brigades sud de nice mais c'est quoi rennez?


rennez c'est rennes avec une faute de frappes :oops:

12 Déc 2005, 19:48

Obi1 a écrit:
timolovitch a écrit:
Obi1 a écrit:Fab38, ho c'est pas que sur lyon, les plus gros sont chez les putes on le sais

à rennez ils sont pas mal aussi les BS :lol: d'ailleur j'ai une video de eux magnifique :lol:


balance là! 8)

ps: tu parles des brigades sud de nice mais c'est quoi rennez?


rennez c'est rennes avec une faute de frappes :oops:


Ok!

et ta vidéo est sur les bs ou sur les clubs de supp de rennes (rck?)?

parce que le sujet m'interesse.. Perso, j'ai déjà vu des croix celtiques à rennes et surement quelques fachos mais de là à dire qu'un groupe de supp' est politisé à l'extreme droite...

Donc voilà, pour les bs pas de prob ni de doutes mais à rennes j'aimerais bien savoir sur quoi tu t'appuies pour affirmer qu'il y a des fachos...

12 Déc 2005, 20:00

timolovitch, c'est les BS pas les RCK

sinon renseigne toi plus sur les BS

Image

On peut voir leur ND ici avec Porcinet leur capo/président ( en short a gauche )

PS : envoi moi ton MSN par MP

12 Déc 2005, 20:19

Obi1 a écrit:timolovitch, c'est les BS pas les RCK

sinon renseigne toi plus sur les BS

Image

On peut voir leur ND ici avec Porcinet leur capo/président ( en short a gauche )

PS : envoi moi ton MSN par MP


Ok j'avais pas vu la photo avant de voir la vidéo...

En effet ils ont l'air fachos et ça me fait drole vu que je connais bien l'un des mecs de la photo!

ps: quand tu me dis bs je pense à nice pas au breizh stour je sais pas quoi lol

12 Déc 2005, 20:42

Le dramaturge britannique, Harold Pinter, prix Nobel de littérature 2005, a prononcé mercredi à l’Académie suédoise un discours de remerciements passionné, véridique et courageux.

[...]

Il continua ensuite par décrire les massacres et la dévastation infligés en 1980 au Nicaragua par les terroristes de la Contra avec le soutien des Etats-Unis. « Je dois vous rappeler » dit-il « qu’à l’époque le président Reagan avait fait la déclaration suivante : ’Les Contras sont l’équivalent moral de nos Pères fondateurs.’ »

Pinter détailla le rôle joué par les Etats-Unis au Nicaragua et en Amérique centrale dans son ensemble. Relevant les acquis sociaux conquis par le régime Sandiniste des nationalistes de gauche qui renversa en 1979 le dictateur Somoza bénéficiant du soutien des Etats-Unis ­ abolition de la peine de mort, réforme agraire, progrès réalisés dans l’alphabétisation et l’éducation publique, santé publique gratuite ­ il dit :

« Les États-Unis accusèrent ces franches réussites d’être de la subversion marxiste-léniniste. Aux yeux du gouvernement américain, le Nicaragua donnait là un dangereux exemple. Si on lui permettait d’établir les normes élémentaires de la justice économique et sociale, si on lui permettait d’élever le niveau des soins médicaux et de l’éducation et d’accéder à une unité sociale et une dignité nationale, les pays voisins se poseraient les mêmes questions et apporteraient les mêmes réponses. Il y avait bien sûr à l’époque, au Salvador, une résistance farouche au statu quo.

« Le Président Reagan qualifiait couramment le Nicaragua de ’donjon totalitaire’. Ce que les médias, et assurément le gouvernement britannique, tenaient généralement pour une observation juste et méritée. Les ’donjons totalitaires’ se trouvaient en fait tout à côté, au Salvador et au Guatemala. Les États-Unis avaient, en 1954, fait tomber le gouvernement démocratiquement élu du Guatemala et on estime que plus de 200 000 personnes avaient été victimes des dictatures militaires qui s’y étaient succédé.

« Les États-Unis ont fini par faire tomber le gouvernement sandiniste. Cela leur prit plusieurs années et ils durent faire preuve d’une ténacité considérable, mais une persécution économique acharnée et 30 000 morts ont fini par ébranler le courage des Nicaraguayens. Ils étaient épuisés et de nouveau misérables. L’économie ’casino’ s’est réinstallée dans le pays. C’en était fini de la santé gratuite et de l’éducation gratuite. Les affaires ont fait un retour en force. La ’Démocratie’ l’avait emporté.

« Mais cette ’politique’ ne se limitait en rien à l’Amérique centrale. Elle était menée partout dans le monde. Elle était sans fin. Et c’est comme si ça n’était jamais arrivé.

« Les États-Unis ont soutenu, et dans bien des cas engendré, toutes les dictatures militaires droitières apparues dans le monde à l’issue de la Seconde Guerre mondiale. Je veux parler de l’Indonésie, de la Grèce, de l’Uruguay, du Brésil, du Paraguay, d’Haïti, de la Turquie, des Philippines, du Guatemala, du Salvador, et, bien sûr, du Chili. L’horreur que les États-Unis ont infligée au Chili en 1973 ne pourra jamais être expiée et ne pourra jamais être oubliée. » [Note de l’éditeur : Il existe d’autres pays qui pourraient être ajoutés à la liste de Pinter, dont l’Argentine, l’Iran et le Paskistan].

Passant aux méthodes de propagande bien affinées et sophistiquées de l’establishment américain, Pinter dit : « Le langage est en fait employé pour tenir la pensée en échec. Les mots ’peuple américain’ fournissent un coussin franchement voluptueux destiné à vous rassurer. Ce qui bien sûr ne vaut pas pour les 40 millions de gens qui vivent en dessous du seuil de pauvreté ni aux 2 millions d’hommes et de femmes incarcérés dans le vaste goulag de prisons qui s’étend d’un bout à l’autre des États-Unis. »

[...]



http://www.legrandsoir.info/article.php ... ticle=3009

Le reste est aussi très bien !

12 Déc 2005, 21:08

iamaseb a écrit:Le dramaturge britannique, Harold Pinter, prix Nobel de littérature 2005, a prononcé mercredi à l’Académie suédoise un discours de remerciements passionné, véridique et courageux.

[...]

Il continua ensuite par décrire les massacres et la dévastation infligés en 1980 au Nicaragua par les terroristes de la Contra avec le soutien des Etats-Unis. « Je dois vous rappeler » dit-il « qu’à l’époque le président Reagan avait fait la déclaration suivante : ’Les Contras sont l’équivalent moral de nos Pères fondateurs.’ »

Pinter détailla le rôle joué par les Etats-Unis au Nicaragua et en Amérique centrale dans son ensemble. Relevant les acquis sociaux conquis par le régime Sandiniste des nationalistes de gauche qui renversa en 1979 le dictateur Somoza bénéficiant du soutien des Etats-Unis ­ abolition de la peine de mort, réforme agraire, progrès réalisés dans l’alphabétisation et l’éducation publique, santé publique gratuite ­ il dit :

« Les États-Unis accusèrent ces franches réussites d’être de la subversion marxiste-léniniste. Aux yeux du gouvernement américain, le Nicaragua donnait là un dangereux exemple. Si on lui permettait d’établir les normes élémentaires de la justice économique et sociale, si on lui permettait d’élever le niveau des soins médicaux et de l’éducation et d’accéder à une unité sociale et une dignité nationale, les pays voisins se poseraient les mêmes questions et apporteraient les mêmes réponses. Il y avait bien sûr à l’époque, au Salvador, une résistance farouche au statu quo.

« Le Président Reagan qualifiait couramment le Nicaragua de ’donjon totalitaire’. Ce que les médias, et assurément le gouvernement britannique, tenaient généralement pour une observation juste et méritée. Les ’donjons totalitaires’ se trouvaient en fait tout à côté, au Salvador et au Guatemala. Les États-Unis avaient, en 1954, fait tomber le gouvernement démocratiquement élu du Guatemala et on estime que plus de 200 000 personnes avaient été victimes des dictatures militaires qui s’y étaient succédé.

« Les États-Unis ont fini par faire tomber le gouvernement sandiniste. Cela leur prit plusieurs années et ils durent faire preuve d’une ténacité considérable, mais une persécution économique acharnée et 30 000 morts ont fini par ébranler le courage des Nicaraguayens. Ils étaient épuisés et de nouveau misérables. L’économie ’casino’ s’est réinstallée dans le pays. C’en était fini de la santé gratuite et de l’éducation gratuite. Les affaires ont fait un retour en force. La ’Démocratie’ l’avait emporté.

« Mais cette ’politique’ ne se limitait en rien à l’Amérique centrale. Elle était menée partout dans le monde. Elle était sans fin. Et c’est comme si ça n’était jamais arrivé.

« Les États-Unis ont soutenu, et dans bien des cas engendré, toutes les dictatures militaires droitières apparues dans le monde à l’issue de la Seconde Guerre mondiale. Je veux parler de l’Indonésie, de la Grèce, de l’Uruguay, du Brésil, du Paraguay, d’Haïti, de la Turquie, des Philippines, du Guatemala, du Salvador, et, bien sûr, du Chili. L’horreur que les États-Unis ont infligée au Chili en 1973 ne pourra jamais être expiée et ne pourra jamais être oubliée. » [Note de l’éditeur : Il existe d’autres pays qui pourraient être ajoutés à la liste de Pinter, dont l’Argentine, l’Iran et le Paskistan].

Passant aux méthodes de propagande bien affinées et sophistiquées de l’establishment américain, Pinter dit : « Le langage est en fait employé pour tenir la pensée en échec. Les mots ’peuple américain’ fournissent un coussin franchement voluptueux destiné à vous rassurer. Ce qui bien sûr ne vaut pas pour les 40 millions de gens qui vivent en dessous du seuil de pauvreté ni aux 2 millions d’hommes et de femmes incarcérés dans le vaste goulag de prisons qui s’étend d’un bout à l’autre des États-Unis. »

[...]



http://www.legrandsoir.info/article.php ... ticle=3009

Le reste est aussi très bien !



Les Etats Unis ont quand meme eu des présidents débilissimes..

Entre Reagan et Nixon qui insultait Allende de fils de pute en public et qui faisait de sa liquidation une affaire personnelle ("je vais m'occuper de ce fils de pute") ils sont plus d'une fois tombés bien bas!

12 Déc 2005, 21:12

iamseb sérieux arrete de poster des trucs de 10 km de long c'est vraiment casse couille a lire

Je voulais juste poser une question: tout ceux qui parlent du ché, combien ont lu sa bio??
je la recommande, ça dépasse le simple portrait que tout le monde connait.

12 Déc 2005, 21:18

Il aura encore une amende qui pour lui ne sera qu une pacotille

faudrait une grande suspension pour qu il comprenne

12 Déc 2005, 21:33

kenny a écrit:iamseb sérieux arrete de poster des trucs de 10 km de long c'est vraiment casse couille a lire

Je voulais juste poser une question: tout ceux qui parlent du ché, combien ont lu sa bio??
je la recommande, ça dépasse le simple portrait que tout le monde connait.


J'ai lu sa biographie et j'ai vu le film "carnet de voyage" (moyen) qui relate sa jeunesse et son voyage à travers l'amérique latine en compagnie de son ami. Je dis que le film est moyen mais il est interessant car il te montre guévara sous un autre angle que celui d'un révolutionnaire et demystifie le personnage (le rend humain avec son asme, ces émotions...)
Combien de gens savent qu'il était en fait fils de bourgeois de buenos aires et destiné à une carrière médicale après avoir étudié la médecine?

Il aurait pu se contenter de cette vie facile et décidée d'avance mais il a choisit un autre chemin en luttant dangereusement pour ses idéaux. C'est pour cela que certains l'admirent et que d autres le haissent!

12 Déc 2005, 21:35

kenny a écrit:iamseb sérieux arrete de poster des trucs de 10 km de long c'est vraiment casse couille a lire.


Je préfère les posts de iamaseb à ceux certes courts mais stupides et remplis de haine ou de betises de certains ici... :wink:

12 Déc 2005, 22:06

Le club n'a pas été fondé par Mussolini ? et ce n'est pas sa petite fille qui le dirige actuelement ?


c est abusé les conneries que l on peut lire des fois!!

renseignez vous avant de dire n importe quoi....... :roll:

12 Déc 2005, 22:50

kenny a écrit:iamseb sérieux arrete de poster des trucs de 10 km de long c'est vraiment casse couille a lire

Je voulais juste poser une question: tout ceux qui parlent du ché, combien ont lu sa bio??
je la recommande, ça dépasse le simple portrait que tout le monde connait.


(je suis en train de lire voyage à motocyclette - dont j'ai posté un extrait ici même - puis je verrais le film après).

Dans le même lien que je t'ai posté, il y a ce passage que j'aime bien :

Pinter commença une présentation de son oeuvre dramatique et de son approche à l’art par les observations suivantes :

« En 1958 j’ai écrit la chose suivante : « Il n’y a pas de distinctions tranchées entre ce qui est réel et ce qui est irréel, entre ce qui est vrai et ce qui est faux. Une chose n’est pas nécessairement vraie ou fausse ; elle peut être tout à la fois vraie et fausse. »

Je crois que ces affirmations ont toujours un sens et s’appliquent toujours à l’exploration de la réalité à travers l’art. Donc, en tant qu’auteur, j’y souscris encore, mais en tant que citoyen je ne peux pas. En tant que citoyen, je dois demander : Qu’est-ce qui est vrai ? Qu’est-ce qui est faux ? »

Pinter poursuivit en donnant un aperçu du processus complexe et insaisissable de création de ses pièces de théâtre, en expliquant clairement que son souci majeur était l’utilisation de la langue, de l’intrigue et des personnages dans le but de découvrir d’importantes vérités humaines et sociales.

Au sujet de la relation entre l’art, le langage et la vérité il dit : « Le langage, en art, demeure donc une affaire extrêmement ambiguë, des sables mouvants, un trampoline, une mare gelée qui pourrait bien céder sous vos pieds, à vous l’auteur, d’un instant à l’autre.

« Mais, comme je le disais, la quête de la vérité ne peut jamais s’arrêter. Elle ne saurait être ajournée, elle ne saurait être différée. Il faut l’affronter là, tout de suite. »


La recherche de la vérité a parfois un coût, mais elle le vaut. L'ignorance ne demande aucun effort, mais le coût a payer est bien plus grand.

12 Déc 2005, 22:53

La recherche de la réalité à parfois un coût, mais elle le vaut.



Je ne suis pas sur qu'Orson Scott Card pense comme toi. C'est un sujet qui mériterait un topic à lui tout seul.


Jodko.
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