« Le Coca Cola est un condensé de poisons divers, un concentré d’oubli à court terme pour les consommateurs. Un député commence à se demander si cela ne devrait pas être interdit.
Une description de la composition du breuvage miracle pour décaper les fours encrassés.
Alors faites provision de ce liquide où de son clone. Et à votre mauvaise santé. TCHIN TCHIN TCHIN !
Le 8 AVRIL, le député UMP Yves Bur parvenait à faire voter un amendement visant à supprimer dans les lycées et collèges les en-cas et les distributeurs de boissons sucrées responsables en grande partie de l’explosion de l’obésité juvénile.
Fureur du syndicat des vendeurs de distributeurs automatiques, même si le déferlement des publicités vantant les mérites de la junk food américaine entraîne, par un véritable formatage des jeunes cerveaux, beaucoup de "maladies" qui ne sont que des empoisonnements par les graisses et les sucres.
Au centre névralgique de cette toile universelle se tient une araignée rouge et blanche : Coca Cola et, à deux pas d’elle, une autre rouge et bleu : Pepsi Cola.
Si ni l’un ni l’autre ne sont dénoncés pour l’empoisonnement planétaire et quotidien dont ils sont responsables, c’est parce que cela reviendrait à attaquer de front l’hydre industrielle et chimique qui n’en finit pas d’étendre son pouvoir sur tous les peuples et toutes les sociétés.
Pourtant c’est sous licence médicale qu’en 1894 un pharmacien de Columbus (Ohio), nommé John Pemberton, commercialise un fortifiant qu’il appelle French Wine Cola ou Vin Français au Cola.
La cocaïne des feuilles de coca et la caféine de la noix de cola ont en effet des fonctions "tonifiantes" qui remportent rapidement l’adhésion.
Au cours du siècle qui suivra, la formule du Coca-Cola changera plusieurs fois. Mais à cause du "gimmick" publicitaire attaché dès l’origine à la légende de la marque ? ! « Notre formule est secrète nous ne la révélons jamais » ; Si secrète d’ailleurs qu’elle est bouclée dans un coffre-fort au siège de Coca Cola à Atlanta ?, il lui est difficile de contester les accusations d’empoisonnement souvent lancées. La composition inscrite sur les emballages est donc au moins incomplète. Et celles que, par déductions savantes, de nombreux chimistes proposèrent furent toujours récusées par Coca Cola. Il semble néanmoins que la formulation du spécialiste américain Mark Pendergrast, dans son livre « For God, Country and Coca Cola », soit la plus proche de la réalité, même si elle aussi n’est pas admise par la marque. Elle serait due à Asa Candler qui l’aurait imposée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale à partir de l’ancienne recette.
Candler aurait introduit de la glycérine comme conservateur, retiré la cocaïne, diminué la caféine, remplacé l’acide citrique par de l’acide sulfurique comme acidifiant et le sucre par du sirop de maïs (comme adoucisseur ?) même ainsi le Coca Cola a un PH de 2,5 ! Les parfums seraient passés de six à sept, la vanille, un temps vanilline, réintroduite et le sirop de lime préféré au jus de lime. Coca Cola refuse aussi cette recette.
On y assure que la glycérine, aussi bien végétale qu’animale, a été supprimée, au prétexte officiel qu’il eût fallu alors fabriquer aussi des cokes à partir de viandes casher et hallal, ce qui eût été trop compliqué. Admettons l’excuse ! On y ajoute, sur une pirouette beaucoup moins convaincante, que « la cocaïne n’a jamais été un ingrédient ajouté ». Quand elle a toujours été un ingrédient de base !
Les feuilles de coca, dès l’origine, furent à la racine de la boisson et elles le sont restées à ce jour, au moins comme parfum essentiel, au même titre que la poudre de cola, très riche en caféine.
Un cocktail miracle
Nous voici donc déjà au coeur de "l’affaire" Coca Cola. Il ne semble pas contestable qu’un procédé de "décocaïnisation" des feuilles de cola soit utilisé par l’entreprise. Ni que la société US Stepan importe chaque année, par dérogation spéciale, 175 tonnes de feuilles de cocaïne pour le compte de l’usine de Maywood dans le New Jersey. Il rentre dans chaque gallon (4,5 litres) de Coca Cola 1,1g de feuille de coca. Mais, même après traitement, il reste dans la boisson elle-même des traces de cocaïne. Et, de toute façon, la question n’a jamais été résolue de la destination de la cocaïne extraite des 175 tonnes de feuilles.
Coca Cola possède une longue et trouble relation avec la CIA dans les affaires internationales de drogue. Au point que l’accoutumance de très jeunes organismes à des doses homéopathiques de cocaïne fait l’objet de suspicions légitimes. Surtout lorsqu’on commence à voir subrepticement apparaître dans les supermarchés des sirops ? de cerise par exemple ? parfumés eux aussi à la cocaïne.
L’an dernier, Coca Cola fut la cible d’un boycottage planétaire du syndicalisme socialiste mondial relayé par la nébuleuse gauchiste. Non pas à propos de l’empoisonnement de centaines de millions de gens, mais parce qu’il était accusé de se comporter en patron-voyou en Colombie où il est très fortement implanté et où il aurait voulu remplacer ses usines d’embouteillage par des centres de distribution.
Les protagonistes du boycottage invitaient d’ailleurs sur Internet à consommer du... Pepsi et faisaient à celui-ci une publicité d’enfer !
En revanche, Coca comme Pepsi ont subi de gros revers en Inde où le premier avait investi 1,2 milliard de dollars et le second 1,5 milliard. La découverte par un organisme scientifique indien de taux de pesticides aberrants jusqu’à dépasser de 41 % les normes internationales a fait s’effondrer les ventes.
C’est ce qui survint également en Belgique récemment avec des taux de dioxine insupportables. Acheminer depuis Atlanta par avions cargos spéciaux le sirop de base et fabriquer sur place, avec des eaux parfois très polluées, n’est pas exempt de risques.
Aux Etats-Unis les eaux fluorées posent, elles, des problèmes de santé graves. Le neurochirurgien anglais Russel Blaylock a pris depuis plusieurs années la tête d’une croisade contre le fluor qu’il accuse d’être responsable d’un nombre considérable de déficiences osseuses et de cancers du cerveau.
Dans le cas des boissons dites soft, la combinaison du fluor avec l’aluminium des emballages est particulièrement toxique. L’acide sulfurique utilisé comme acidifiant exerce lui aussi une réaction toxique sur l’aluminium. Chez les femmes enceintes et les grands consommateurs de Coca Cola, les effets peuvent être extrêmement graves.
Aux Etats-Unis toujours ; où la consommation est de 800 litres/an de soft drinks par personne, l’action du fluor et de l’acide sulfurique sur les emballages plastiques est encore plus délétère. Provoquant la libération du Bisphénol A, incorporé au plastique, un perturbateur avéré d’hormones aux effets dévastateurs sur le système génital (Rivarol n° 2619).
Mais ce n’est pas tout. Si la dose de caféine a été réduite il y a une cinquantaine d’années, un litre de Coca Cola contient néanmoins l’équivalent de trois tasses de café, le sirop de maïs correspondant à 22 morceaux de sucre.
Quid du Coca-Cola Light !
Celui-là remplace les sirops de maïs du classic par du benzoate de potassium comme activateur de goût, de l’acide citrique, du citrate de potasse, de la saccarine, du diméthylpolysoloxane et, pour couronner le tout, de l’aspartame.
UN COKTAIL MIRACLE QUI, TOUT A LA FOIS DETRUIRA LE CERVEAU ET ASSURERA AU CONSOMMATEUR - DROGUE, AU MIEUX UN DIABETE PRECOCE, AU PIS UN ENCHAINEMENT ACCELERE DE DEFAILLANCES ET DE CARENCE PHYSIQUES DONT PEU PARVIENDRONT A SE REMETTRE.
Mais qui osera le dire ?
L’empire Coca Cola qui, depuis Richard Nixon, détient une partie du pouvoir américain, s’appuie sur une puissance de feu publicitaire qu’aucun media ne se permettra de repousser : en 2003, le seul budget de Sprite s’éleva à 7 millions de dollars, celui de Diet Coke à 25 millions de dollars, celui de Powerade à 60 millions de dollars. « Things go better with Coke », chantent-ils. Tout va tellement mieux avec Coca Cola...
PS. Faut-il préciser que les Mecca-Cola et autres Qubbla Cola fabriqués par les islamistes en réaction contre l’impérialisme américain et très répandus dans les épiceries et restaurants maghrébins ou pakistanais de l’Hexagone sont tout aussi nocifs pour la santé de leurs consommateurs ?
Pour vos recherches personnel pour en savoir plus voyez les associations des mots clés sur Google ( Nom des grandes fortunes illuminati avec des présidents et leur Souff ,les cartels de la drogue en bolivie ,US STEPAN qui est le fabricant légal de cocaïne au USA et CIA. »
Article du site Styvoo.
Moi qui boit beaucoup de Light, ça calme!