gob a écrit:Oko et di maggio bannis 15 jours.
Comme Oko est revenu sous le pseudo DZ, ban définitif.
Avis aux amateurs de nouveaux dérapages.
On peut continuer cette interessante discussion.
merci.
Di Maggio bannit 15 jours pour avoir défendu le drapeau français ! Drôle d'époque et drôle de principe !!!....
Enfin et juste pour cloturer le débat (en ce qui me concerne) j'aimerai juste publier cet article :
La nouvelle Intifada française
Réaction de l'intellectuel Alexandre Del Valle aux émeutes des banlieux de ce déjà célèbre novembre 2005. Soyons précis, très précis. Des milliers de voitures brûlées, des dizaines de policiers blessés, des pharmacies, des écoles primaires, des entreprises et des bus incendiés, des commissariats et même des églises attaqués..., sans oublier deux morts, dont un sauvagement assassiné par des dealers devant sa femme et ses enfants, puis une femme handicapée aspergée d'essence puis attaquée à coups de cocktails molotov lorsque son autobus était littéralement pris d'assaut par des émeutiers cagoulés...les derniers bilans des événements insurrectionnels survenus dans les banlieues début novembre 2005 sont accablants. Mais le pire est à venir... Car en ayant attendu 10 jours avant de déclencher le couvre-feu, puis en répondant aux violences barbares fortement connotées de communautarisme islamique et de haine anti-française et anti-judéo-chrétienne par de nouveaux milliards et des déclarations compassionnelles concernant la « pauvreté des banlieues » et les « victimes de l'exclusion », les responsables politiques ont répondu clairement au test qui a été lancé par les émeutiers : « ils ont cédé, donc la prochaine fois, on frappera encore plus fort... » Loin de s'arrêter, le bilan s'alourdit chaque jour, le nombre de voitures brûlées ayant quadruplé depuis le déclenchement de ce qu'il faut bien nommer la « nouvelle Intifada française ». Une Intifada si difficile à enrayer par les pouvoirs publics - qui n'osent envoyer des renforts de l'armée ou des brigades spéciales pour mater tout net la rébellion - que l'on a d'autres solutions à présent que de solliciter les imams les plus intégristes de l'UOIF et de la FNMF pour calmer des émeutiers fedayin, majoritairement « musulmans », nous dit-on. Des jeunes français vaguement musulmans en effet, et issus de l'immigration islamo-africaine, que les fossoyeurs de la République ont hélas toujours tenu à assigner à islamité. Des « Jeunes » que l'on a cru pendant près de quarante ans pouvoir intégrer en les traitant avec un paternalisme hypocrite quasi-néocolonial reposant sur le postulat terrible selon lequel « les Lumières ce n'est pas pour eux » : car ceux là mêmes qui ont lutté contre les Curés et les Rabins en France, ceux là même qui ont tenu à déchristianiser la France et sont même allés jusqu'à exiger de ne pas mentionner les origines judéo-chrétiennes de l'Europe dans le projet de Traité constitutionnel rejeté en mai 2005, ceux là même qui ont été les vigilants continuateurs anticléricaux du Ministère Combes et qui masquent leur inaction derrière des pseudo « Fronts républicains », ont été les premiers à livrer nos jeunes concitoyens français « musulmans » en pâture à des Imams. En réalité, les « jeunes casseurs » en question sont tous sauf de bons Musulmans pratiquants. S'ils se sentent « Muslims », ce n'est pas parce qu'ils sont pieux mais parce qu'ils voient dans l'islamisme de type Intifada ou Black Muslim une idéologie virile et révolutionnaire justifiant leur nihilisme dévastateur et leur haine sans fondements. L'Islam n'est pour eux qu'une appartenance ethno-communautariste rassemblant la masse de rebelles réfractaires à l'Ordre républicain et « gaulois ». Mais cette dangereuse identification ne s'est pas opérée naturellement. Elle est l'aboutissement de décennies de travail de sape fomenté par les professionnels rouges de la « révolution permanente » qui sont parvenus à instaurer l'amalgame ravageur Pauvres-Banlieues-Fils d'immigrés=Musulmans=Victimes...
Comme Rachid Kaci l'a parfaitement expliqué dans sa République des Lâches (les Syrtes) et ainsi que je l'avais annoncé dans le Totalitarisme islamiste à l'assaut des démocraties (Les Syrtes), les organisations trotskistes et autres cellules révolutionnaires d'extrême gauche dressant maintes passerelles avec les temples du politiquement correct médiatique (Le Monde, le Monde diplomatique, etc) ont en effet démagogiquement distillé dans les « banlieues de l'Islam », au nom de l'« antiracisme » et de « l'intégration » une pensée victimiste visant à faire croire que les « Musulmans » dans leur ensemble seraient « persécutés » ; que nous serions tous des fils de tortionnaires en Algérie et que seule une insurrection générale et un retour au communautarisme islamique pourraient les « libérer » du carcan intolérant de la République « islamophobe » et « laïcarde ». D'où l'étrange alliance objective entre une partie de l'extrême gauche et nombre d'organisations islamistes les plus obscurantistes. Un front « rouge-vert » extrêmement dangereux qui a consisté à semer dans les consciences des jeunes fils d'immigrés musulmans le virus de la haine révolutionnaire, le venin du victimisme déresponsabilisant, la tentation insurrectionnelle tant glorifiée à travers la figure victimaire rebelle par excellence que sont les Fedayin palestiniens à la fois chers aux agitateurs d'extrême gauche et aux organisations islamistes. Tout cela multiplié par la spirale déresponsabilisante de l'Etat Providence-Assistanat-déclin de l'esprit civique qui, depuis Mai 68, a détrôné le sens de l'effort et le goût du Travail au profit d'un traitement social du chômage, de la « désobéissance civile » et des « politiques de la Ville ».
Il n'y a donc aucune surprise à constater que les quartiers qui s'en prennent violemment aux voitures-symboles de la société qui travaille, puis aux « Flics » et aux « Gaulois » sont les mêmes que ceux qui ont brûlé des écoles juives, attaqué des synagogues depuis la nouvelle Intifada Al Aqsa, et défié l'Ordre établi au nom d'une « révolte » dont ils comprennent à peine eux-mêmes les contours. Et ceux qui les soutiennent au nom du victimisme sont les mêmes que ceux qui orchestrent l'occupation des Eglises par les « Sans Papiers », en réalité des personnes violant la loi républicaine. Il n'est pas non plus trop étonnant que les responsables de Gauche et d'extrême-gauche s'en prennent plus aux dérapages de Nicolas Sarkozy sur les « racailles » ou le « karsher » qu'aux actes de néo-barbarie commis par les Bandes encagoulées défiant la République et dont les premières victimes sont leurs propres familles et les habitants (majoritairement musulmans !) de leurs propres quartiers saccagés. Il est vrai que le Ministre de l'Intérieur, en réhabilitant le sens de l'effort et du Travail puis en qualifiant les voyous par leurs noms ne peut qu'être détesté et diabolisé par les Bobos cinquantenaires installés dans les médias et les partis de Gauche qui ont crié « CRS SS » en Mai 68 et n'ont jamais totalement rompu avec l'idéologie de la Révolution permanente tant que celle-ci ne dévaste pas leurs riches quartiers de la Rive gauche. Toujours est-il que ce mélange victimiste-révolutionnaire rouge-vert est une véritable bombe qui risque d'emporter avec elle la République. Cette bombe est d'autant plus dangereuse et destructrice que si elle n'est pas d'origine proprement islamique, ses artificiers premiers que sont les révolutionnaires d'extrême-gauche pro-palestiniens lui ont donné une coloration « islamique ». Ceci n'a été que trop favorisé par la sur-médiatisation de l'Intifada palestinienne et l'identification « Gaza-Banlieues », elle-même liée à l'amalgame « Occident-Sioniste-Etat répressif ». Piégés par cette stratégie d'Intifada légitimée par un pseudo « antiracisme » et culpabilisés par la nouvelle arme mise au point par les Rouges-Verts qu'est l'accusation « d'islamophobie », nos leaders politiques croient pouvoir calmer la nouvelle Intifada française en courtisant les organisations islamiques. Aussi les préfets et les responsables politiques de la première République laïque du monde, reçoivent-ils maintenant en grande pompe les « autorités islamiques » en les investissant du rôle de l'appel au calme et du rétablissement de l'ordre « républicain »...
Extraordinaire ruse de l'Histoire, formidable manifestation d'hypocrisie, c'est désormais une organisation pro-palestinienne radicale et fondamentaliste, l'UOIF, qui a soutenu moralement les Jihads palestinien, tchétchène, bosniaque et adhère à une vision salafiste de l'Islam justifiant la peine de mort pour l'apostasie puis la lutte armée pour défendre l'islam (voir le livre de chevet de l'UOIF « Le licite et l'illicite »), qui appelle au calme et déclare que « le Coran condamne la violence »... A l'instar du Premier Ministre turc Recep Taiyyp Erdogan qui estime que toutes « ces révoltes sont dues à la loi française républicaine qui interdit le voile » (sic), comme si nos concitoyens issus de l'immigration maghrébine étaient tous des pratiquants scrupuleux, l'UOIF et les principales organisations islamistes françaises et européennes ont en réalité exactement la même stratégie que celle de l'Ayatollah Khomeyni en 1979 ou le Hamas palestinien depuis 1996 : utiliser un climat insurrectionnel fomenté au départ par l'extrême gauche tiersmondiste et « anti-impérialiste » pour en prendre finalement le contrôle. La conclusion est terrible mais bien réaliste : le fait que l'on courtise les Imams obscurantistes pour rétablir l'ordre post-républicain est à mettre en parallèle avec l'ouverture des négociations d'adhésion avec la Turquie réislamisée d'Erdogan : la mentalité néo-munichoise progresse en France et en Europe, et l'esprit de la Dhimmitude fait son chemin, au plus grand bénéfice des pseudos « islamistes modérés » qui, en Turquie (AKP d'Erdogan) comme dans les Banlieues (Frères musulmans), ont beau jeu de dénoncer « l'islamophobie » et escomptent récupérer les nouvelles Intifada qui se profilent. Le postulat munichois est le même dans les deux cas : « mieux vaut avoir les islamistes avec soi que contre soi »...
Bonus track
Cette vidéo est un extrait de l’émission “Le Vrai journal” de Karl Zéro, diffusé le 6/11/2005. Durant les émeutes on entend des “Allah Akhbar” et surtout un autre slogan que le journaliste traduit par “Sarközy fasciste” mais qui en réalité est : “Sarközy sale J…”
Mais là bien sur c'est pas grave !!!
Voir l’extrait de l’émission
http://media.putfile.com/French-riots
Enfin un grandmerci à tout ceux qui m'ont envoyé un message de soutien par mail !!!...
PS : Argentina, je te rassure, je ne suis pas "rageux" et je n'ai pas eu de problème particulier dans ma jeunesse, d'ailleurs dans ma "jeunesse" on vivait tous ensemble et on s'en tapait de la race, la religion ou la couleur, mais bon, faire de petites racailles les "porte parole" du mal être des cités, c'était quand même un peu gros non ?.....