Modérateur: Modérateurs
Aurelsaviola a écrit:
Citation:
Ca doit être facile d'être juif là-bas tiens...
pas que dans les dictatures. Sachant que dans pas mal de pays arabes (style la Syrie & Co), un bon juif est un juif mort
tes sources pour dire cela?
ou alors tu parles pour ne rien dire?
Moundir33, si tu savais le temps qu'il faut pour realiser un cours, tu comprendrais peut-etre qu'on a pas forcement envie de le laisser libre comme ça à la disposition de tout le monde.
Les gars qui bossent, ils ont une excuse. Mais ce n'est pas pour autant qu'on doit caser nos cours sur le net. C'est le meilleur moyen de n'avoir personne dans la salle. Parce qu'ils sont pas cons, pourquoi iraient-ils "s'emmerder" 2h en amphi alors qu'ils pourraient être tranquilos à la cafèt...
Le gars qui par obligation ne peut pas assister à une intervention, il vient voir le prof et lui demande. Evidemment, il obtiendra le manuscrit en fin d'intervention. Tu le donnes avant, c'est comme si tu le donnais sur le net.
Distribuer tes manuscrits de cours au début, voici un aussi bon moyen de déresponsabiliser les etudiants et d'avoir du chahut, si tu as la chance d'avoir des etudiants dans la salle...
Bien evidemment, un cours n'est pas incompatible avec des questions, c'est juste que les étudiants n'osent pas, même s'il le prof le precise à chaque debut de séance...
je suis plutot d'accord avec moundir. Meme si un prof est reticent a mettre ses cours sur le net, il pourrait au moins donner des poly comme axe le dit. Si la raison principale de venir en cours est la prise de note et que le prof n'est pas capable d'amener une valeur ajoutée par sa presence, y a qd meme un gros pb.Coyote a écrit:Moundir33, si tu savais le temps qu'il faut pour realiser un cours, tu comprendrais peut-etre qu'on a pas forcement envie de le laisser libre comme ça à la disposition de tout le monde.
Les gars qui bossent, ils ont une excuse. Mais ce n'est pas pour autant qu'on doit caser nos cours sur le net. C'est le meilleur moyen de n'avoir personne dans la salle. Parce qu'ils sont pas cons, pourquoi iraient-ils "s'emmerder" 2h en amphi alors qu'ils pourraient être tranquilos à la cafèt...
Le gars qui par obligation ne peut pas assister à une intervention, il vient voir le prof et lui demande. Evidemment, il obtiendra le manuscrit en fin d'intervention. Tu le donnes avant, c'est comme si tu le donnais sur le net.
Distribuer tes manuscrits de cours au début, voici un aussi bon moyen de déresponsabiliser les etudiants et d'avoir du chahut, si tu as la chance d'avoir des etudiants dans la salle...
Bien evidemment, un cours n'est pas incompatible avec des questions, c'est juste que les étudiants n'osent pas, même s'il le prof le precise à chaque debut de séance...
beenie a écrit:je suis plutot d'accord avec moundir. Meme si un prof est reticent a mettre ses cours sur le net, il pourrait au moins donner des poly comme axe le dit. Si la raison principale de venir en cours est la prise de note et que le prof n'est pas capable d'amener une valeur ajoutée par sa presence, y a qd meme un gros pb.Coyote a écrit:Moundir33, si tu savais le temps qu'il faut pour realiser un cours, tu comprendrais peut-etre qu'on a pas forcement envie de le laisser libre comme ça à la disposition de tout le monde.
Les gars qui bossent, ils ont une excuse. Mais ce n'est pas pour autant qu'on doit caser nos cours sur le net. C'est le meilleur moyen de n'avoir personne dans la salle. Parce qu'ils sont pas cons, pourquoi iraient-ils "s'emmerder" 2h en amphi alors qu'ils pourraient être tranquilos à la cafèt...
Le gars qui par obligation ne peut pas assister à une intervention, il vient voir le prof et lui demande. Evidemment, il obtiendra le manuscrit en fin d'intervention. Tu le donnes avant, c'est comme si tu le donnais sur le net.
Distribuer tes manuscrits de cours au début, voici un aussi bon moyen de déresponsabiliser les etudiants et d'avoir du chahut, si tu as la chance d'avoir des etudiants dans la salle...
Bien evidemment, un cours n'est pas incompatible avec des questions, c'est juste que les étudiants n'osent pas, même s'il le prof le precise à chaque debut de séance...
j'emets un pt bemol.Moundir33 a écrit:J'avais un prof il mettait ses cours en ligne et d'autres sont à "l'ancienne", ils prennent le micro et lisent leur cours d'un bout à l'autre. Là faut m'expliquer l'interet du cours, j'irai bcp plus vite à lire chez moi que d'écouter une lecture. Peut etre le prof ressent une certaine gloire de voir des gens venir l'écouter lire.
Le prof qui mettait ses cours en ligne était plutot jeune et avait fais une partie de son parcours dans un pays anglo-saxon, ca explique peut etre pourquoi.
Faire un cours prend bcp de temps, je suis entierement de temps, mais je vois pas le rapport. Des etudiants qui viennent c'est pour l'autosatisfaction du prof? Si l'objectif est de transmettre un savoir je vois pas pourquoi on m'oblige à venir.
Les cours sont souvent photocopiés à la fin du semestre, ou ya meme des gens qui viennet avec un ordi et tapent le cours et le vendent. Autant que le prof donne lui meme son cours.
Et je suis pas d'accord non plus avec l'histoire du chahut. Si je suis en cours avec le cours devant les yeux, je serais plus à meme de suivre et de m'interresser à ce que dit le prof. Et puis le silence vient surtout du fait du prof. Si il est interressant voire captivant et bien son amphi sera plein et silencieux.
Et il faudrait arreter de separer l'education en deux camps, les profs contre les élèves, on devrait aller dans le meme sens.
« Première, deuxième, troisième génération, on s’en fout, on est chez nous ! ! ! ».
Un système tellement discriminatoire, arrogant et intolérant à l’encontre de toute autre manifestation culturelle autre que la sienne, qu’il aura finalement provoqué, par effet boomerang, une terrible explosion de violence que les autorités du pays ne peuvent plus calmer.
le spectacle peu reluisant donné par une classe politique française dépassée par les faits et totalement prise au dépourvu.
Il n’est pas normal que dans un Etat qui ne cesse de donner des leçons au monde entier, des jeunes ultra-diplômés soient confinés à la misère et au chômage du fait de leur appartenance raciale et religieuse. Car, il ne faut pas se méprendre, la discrimination en France est d’autant plus forte pour les Arabes et les Noirs, qu’ils sont diplômés. Les cas où un père immigré analphabète dispose d’une meilleure situation sociale que son fils français sans travail, titulaire d’un diplôme d’ingénieur ou d’un doctorat d’Etat, sont légion dans notre chère République française. Situation ô combien rageante lorsque des immigrés primo-arrivants venus d’Europe de l’Est, baragouinant tout juste le français, n’éprouvent aucune peine à être embauchés pour occuper les postes à responsabilités qui auraient dû revenir aux diplômés arabes et africains.
Le constat est sans appel, le système français « d’intégration » n’est pas en panne, il est moribond.
Aujourd’hui, ce sont ces interlocuteurs qui font défaut à un Premier ministre en recherche désespérée de potentiels médiateurs pour désamorcer la crise.
sur 577 députés siégeant à l’Assemblée nationale, pas un seul n’est musulman ou originaire de l’immigration arabe ou africaine.
L’intégration, qu’il faudrait en réalité nommer assimilation.
la perte chez beaucoup des repères essentiels de la vie en société est de plus en plus courante et précoce.
A force d’avoir voulu éliminer au nom de la République, les particularismes culturels et religieux pendant trois décennies,
l’on a fini par créer des hybrides devenus à la fois totalement étrangers à la culture de leurs parents et clairement exclus de la société française censée les « intégrer ». Au final, en plus des handicaps économiques et sociaux, cette politique « d’effacement » a conduit à une perte profonde de personnalité engendrant des êtres très faibles psychologiquement et en butte à une véritable perte de repères et valeurs pourtant essentiels.
Le respect du bien d’autrui, du bien public, de l’intégrité des personnes, de l’estime pour soi-même ne font plus partie de l’univers mental de beaucoup.
en France des lois liberticides et islamophobes interdisent aux musulmanes portant le voile de suivre une scolarité normale.
La France gère sa politique des banlieues et des minorités non européennes comme elle gérait les peuples qu’elle a colonisés.
Cela explique peut-être pourquoi les enfants français de l’immigration arabe et africaine, même diplômés et brillants, restent toujours perçus comme des corps étrangers dangereux et potentiellement fomentateurs de complots contre l’unité nationale.
beenie a écrit:j'emets un pt bemol.Moundir33 a écrit:J'avais un prof il mettait ses cours en ligne et d'autres sont à "l'ancienne", ils prennent le micro et lisent leur cours d'un bout à l'autre. Là faut m'expliquer l'interet du cours, j'irai bcp plus vite à lire chez moi que d'écouter une lecture. Peut etre le prof ressent une certaine gloire de voir des gens venir l'écouter lire.
Le prof qui mettait ses cours en ligne était plutot jeune et avait fais une partie de son parcours dans un pays anglo-saxon, ca explique peut etre pourquoi.
Faire un cours prend bcp de temps, je suis entierement de temps, mais je vois pas le rapport. Des etudiants qui viennent c'est pour l'autosatisfaction du prof? Si l'objectif est de transmettre un savoir je vois pas pourquoi on m'oblige à venir.
Les cours sont souvent photocopiés à la fin du semestre, ou ya meme des gens qui viennet avec un ordi et tapent le cours et le vendent. Autant que le prof donne lui meme son cours.
Et je suis pas d'accord non plus avec l'histoire du chahut. Si je suis en cours avec le cours devant les yeux, je serais plus à meme de suivre et de m'interresser à ce que dit le prof. Et puis le silence vient surtout du fait du prof. Si il est interressant voire captivant et bien son amphi sera plein et silencieux.
Et il faudrait arreter de separer l'education en deux camps, les profs contre les élèves, on devrait aller dans le meme sens.
Y a qd meme des eleves qui en ont strictement rien a faire et meme a des niveaux eleves. Ceci dit, ca s'explique aussi qu'on peut tres bien apprendre sans forcement venir au cours. Comme tu l'as dit, parce que le prof sert a rien. Le pb est que c'est lui qui corrige et derriere il se venge.
Si les cours n'etaient pas obligatoire, uniquement les eleves interessés viendraient et ca se ressentira sur l'ambiance
sinon concernant les pays anglo saxons, je confirme. C'est quasi automatique un support de cours.
ok pour le lycéetonton-seb a écrit:Je n'enseigne pas à la fac mais en lycée, et je ne donne jamais de poly.
Je fais écrire mes élèves car :
J'ai du calme dans ma classe mais surtout je ne suis pas sûr qu'il lisent les poly, alors qu'en écrivant ils en retiendront un minimum.
terrible explosion de violence que les autorités du pays ne peuvent plus calmer.
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