abble a écrit:trop peu d'entreprise sont créeés en france, alors qu'un réseau existe pour aider à la construction de projets économiques. nous sommes à la ramasse sur ce point par rapport à d'autres pays. si le projet est viable pourquoi ne pas tenter le coup, qu'elle meilleure réponse apporter à une employeur qui ne fait pas confiance, que de créer sa propre boîte.
as tu par hasard essayé de monter un dossier pour une aide à la création d'entreprise?
parceque moi oui et je peux te dire que pour remplir les critéres ,faut se lever tôt, (tres tres tôt)
non sans dec', c'estd e la poudre aux yeux cette aide...
Ayant une petite expérience du secteur, je me permet de te signaler qu'il existe non pas une aide, mais une multitude, autant financières (prêts d'honneur, subventions, exos fiscales et sociales, maintien des droits sociaux pendant et après la création) qu'en terme d'accompagnement au projet (étude de marché, business plan, recherche de financement, conseil en gestion...). Par contre il est clair qu'en retour, il y a une exigence forte pour eviter les dépots de bilan au bout de 6 mois, qui laissent les créateurs dans une situation encore plus dramatique qu'avant. Le système n'est pas parfait, loin de là, mais il fonctionne bien mieux que ce que tu sembles penser, il ne faut juste pas hésiter à se faire aider par des professionnels de la création d'entreprise dont c'est le métier, qui connaissent les rouages, et qui font ça gratuitement en plus.
Point qui n'a rien à voir :
Borloo constate l'échec du modèle d'intégration français
[2005-11-10 19:40]
PARIS (Reuters) - Jean-Louis Borloo estime que le modèle français d'intégration a échoué, à la lumière des violences dans les banlieues, et plaide pour une immigration concertée avec les pays d'origine.
"On voit que la France est en train de muter. Elle a cru pendant longtemps que son modèle égalitaire était suffisant. Et bien ce n'est pas vrai!", a dit le ministre de l'Emploi, de la Cohésion sociale et de l'Intégration.
Il s"exprimait en marge de la quatrième conférence ministérielle sur la migration en Méditerranée occidentale qui a réuni, mercredi et jeudi à Paris, autour de lui huit ministres du Travail et des Affaires sociales (Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie, Tunisie, Espagne, Italie et Malte).
Pour Jean-Louis Borloo, "il faut accentuer, accélérer" les mesures d'intégration et lutter contre "l'immigration illégale".
"La migration non organisée est fatale pour tout le monde", a affirmé le ministre selon lequel il n'est pas surprenant qu'à un moment donné la France, premier pays d'immigration d'Europe, connaisse des difficultés.
Plaidant pour un traitement du flux migratoire par la concertation, il a estimé que "l'immigration c'est autre chose que : combien tu me donnes de visas et en échange de quoi".
Evoquant les difficultés des jeunes dans les quartiers sensibles, il a plaidé pour du "sur-mesure individuel".
"Est-ce qu'il y a de la discrimination en France? oui", a déclaré Jean-Louis Borloo, stigmatisant une administration qui "par ses concours très formatés ne permet pas d'avoir une administration qui ressemble au pays".
Les jeunes des banlieues "se sentent dévalorisés par rapport à la société traditionnelle qu'ils côtoient", a-t-il dit.
Il faut donc trouver pour chacun d'eux, de leur famille "un parcours personnalisé qui ne soit pas forcément le parcours traditionnel du Gaulois, avec une sur-valorisation du diplôme écrit, de ce type de culture".
"Ce n'est pas forcément faire des études de cinq années à la Fac dans un truc qui ne sert pas toujours", a-t-il estimé, plaidant pour la formule de l'apprentissage.
Jean-Louis Borloo a souligné que le nombre d'apprentis en France était passé de 550.000 il y a vingt ans à 320.000 actuellement. "On a relancé un plan de 200.000 millions pour repasser à 500.000 apprentis. On est à 12% de plus cette année", a-t-il dit.
Je ne sais pas vous, mais certaines phrases me font bondir.