gaby87, ce que je veux dire, tu considères comme une fatalité le fait de ne pas avoir le niveau? C'est d'un minimum d'implication dont tu as besoin. Enfin, c'est pas grave hein?
En ce qui concerne mon weekend, il n'était pas mal non plus.
J'ai une tendance alcoolique depuis quelques semaines, et j'ai fait des abus en buvant tous les jours et me réveillant dans un état lamentable presque tous les jours.
Le mercredi, c'était une petite mise en bouche: 3 pintes
Jeudi: un pote me traîne dehors, parce que ça faisait des mois que je l'évitais: 3 bouteilles de rosé à deux, une bouteille de bière de 2 litres, le tout sur les quais, à côté du pont des arts. Ensuite, vu comme j'étais parti, je décide de l'accompagner chez lui finir la soirée, malgré les obligations du lendemain (aller chercher mon pote polonais à la gare à 8h). On a bu une demi-bouteille de vodka russe aromatisée au miel, et j'ai fait la connaissance (douloureuse) du Jägermeister. Je me suis réveillé sur le sol à 9h, et mon pote m'a dit que je lui ai cassé ses chiottes.
Vendredi: On commence avec plein de potes à enfiler les bouteilles de rouge et de blanc (2 de chaque pour 5), puis les bières (presque 4 leffes triple chacun), puis on décide de bouger à Grands Boulevards (trois pintes) et ensuite à République dans un petit troquet ouvert toutes la nuit où j'ai pris trois autres pintes.
Samedi: Le groupe entier se sépare. Je décline l'invitation de la soirée dans les catacombes (l'idée de rentrer tout sale m'a horrifié), mais je me retrouve avec tous les potes qui ont fait le même choix que moi. Grosse soirée à Saint-Michel, dans trois bars (5 ou 6 pintes chacun jusqu'à 2h), avant de finir au Great Canadian Pub où on s'est finis à la Guinness (3 pintes pour moi), et fin de soirée en happy ending, avec la défaite de ces connards de Boston, et la hongroise qui finit chez moi.
Dimanche: Après-midi à Bastille avec la Hongroise dans un bar espagnol: 2 pichets de 1L de sangria, et 2 pintes en happy hour. Ensuite, les potes nous rejoignent vers 21h avant de prendre le bus de nuit. La soirée se termine chez le pote à qui j'ai ruiné les chiottes, où j'ai traîné la hongroise et son pote américain en vacances à Paris depuis quelques jours. Pendant que quelques-uns se mettaient minables avec la weed, moi, je me suis fait une bouteille et demie de rouge, et j'ai entamé une deuxième bouteille de vodka russe au miel. J'ai fini dans les bras de la hongroise, à dormir comme un porc.
Lundi, je me suis réveillé à 19h, du fait du manque de sommeil des jours derniers, et j'ai refusé de boire au restaurant auvergnat près de chez moi. Je suis au vert depuis...