Ainsi, le véritable danger pour le Wall Street Journal, porte-parole de Wall Street et des super-riches, c'est de voir une saignée des profits des grades entreprises pour améliorer les conditions désespérées des survivants de l'ouragan.
Ainsi, le plus grand danger pour rester crédible c'est de garder un semblant de neutralité. Quel torchon ce site...
Jodko.