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Thorgal a écrit:iamaseb, tu penses pas que l'Etat serait plus efficace et donc plus utile dans son rôle d'Etat-Providence en recentrant ses missions et se consacrant pleinement à certains services publics non-marchands : éducation, recherche, aide aux familles (dont crèches, prestations familiales mieux distribuées...), grands plans de formations professionnelles, etc... plutôt qu'en s'éparpillant dans des services marchands ooi est obligé de se comporter en entreprise classique par la force des choses ? Regardes par exemple France Télécom quand il était en situation de monopole public : aucune concurrence et tarifs exhorbitants qui pénalisaient les citoyens. EDF va commencer également à baisser ses prix à ses clients (nous, les citoyens) uniquement en raison de l'arrivée de concurrents sur le marché. C'est ça le comportement des services publics marchands : tant qu'ils sont en monopole, ils pratiquent le tarifs qu'ils veulent : où est l'intérêt des citoyens ?
Exemple : Electricité aux US, chemin de faire en angletterre.
Thorgal a écrit:tu fais de l'idéologie là. Je sui loin d'être le défebseur du capitalisme pur et dur mais le capitalisme ne conduit pas au monopole privé. Les lois anti-concentrations existent et sont plutôt strictes, tout comme les dispositions communautaires lourdement sanctinnées par des anemdes quand elles sont violées. D'ailleurs tu aurais peu d'exemples à citer...
petite parenthèse :Exemple : Electricité aux US, chemin de faire en angletterre.
J'adore
tu ne réponds pas à mes remarques sur la situation en France . Tu prends exemple avec les ricains pour tes arguments mais là sois honnête : tu donnes les comportements extrêmes pour faire une généralité. par exemple je n'apprécie pas du tout la droite en France, mais elle est loin d'être aussi libérale qu'ailleurs et notament aux USA, tu peux donc pas comparer les 2.
Réponds donc aux arguments sur la situation en france, sans caricatures.
même les électeurs de droite, en France, tiennent un peu aux SP. donc Rechercher une rentabilité des SP en france n'exclut pas la qualité des SP, tous comme la qualité des SP ne doit pas conduire nécessairement à leur situation déficitaire. Tu crois pas ?
Mieux vaut les fautes d'un état qui vit dans un esprit de charité
Sinon, tu peux comparé a beaucoup d'égard la politique actuel de notre gouvernement à celui de thatcher en Angleterre. Ne vas pas me dire qu'elle n'est pas libérale.
peops a écrit:iamaseb, Thorgal a raison tu fais de l'idéologie avec une dose de pseudo-économie. T'as déjà fais de la microéconomie ou de la macroéconomie??? Parce qu'alors je ne pourrai jamais t'expliquer où cela cloche, ça ne servirait à rien...
Le capitalisme en Chine a permis de sortir de la pauvreté des dizaines de millions de personne et te permet aujourd'hui de surfer (bien au chaud) sur internet. Tes exemples sur les effets du libéralisme (cheminde faire ) peuvent être démontés par les exemples des pays nordiques, Suède en tête. Tu peux critiquer ses disfonctionnements indiscutables mais ce système étant si néfaste à l'homme tu proposes quoi
PS : l'histoire de la décroissance c'est du Malthus réchauffé. Et sans croissance, les pauvres resteront pauvres...
peops a écrit:iamaseb, Thorgal a raison tu fais de l'idéologie avec une dose de pseudo-économie. T'as déjà fais de la microéconomie ou de la macroéconomie??? Parce qu'alors je ne pourrai jamais t'expliquer où cela cloche, ça ne servirait à rien...
Le capitalisme en Chine a permis de sortir de la pauvreté des dizaines de millions de personne et te permet aujourd'hui de surfer (bien au chaud) sur internet. Tes exemples sur les effets du libéralisme (cheminde faire ) peuvent être démontés par les exemples des pays nordiques, Suède en tête. Tu peux critiquer ses disfonctionnements indiscutables mais ce système étant si néfaste à l'homme tu proposes quoi
PS : l'histoire de la décroissance c'est du Malthus réchauffé. Et sans croissance, les pauvres resteront pauvres....
C’est-à-dire que de la même manière que les bourgeois, les classes défavorisés se sont manifesté. Le problème, c’est que le communisme demande un effort humain, vers plus d’humanité… Personnellement, je ne crois pas que les classes défavorisées aient été conscientes de ce que représentait la dictature du prolétariat. En fait le but de cette dictature de la majorité est d’éduquer des valeurs humaines à l’homme. Mais cela requiert d’abord la volonté de l’homme à devenir ce qu’il n’est pas. C’est-à-dire d’avoir conscience du but qu’il s’est fixé. Or, je ne crois pas qu’il fût conscient de ceci. A partir de là, comment empêcher toute dérive. Et c’est ce qui c’est produit. La dictature du prolétariat s’est retournée contre celui-ci. Cf Staline, et les gens ayant pris conscience de cette dérive, se sont vu chassé, ou même tué…tandis que les autres était asservis, et reproduisait en quelque sorte le même schéma capitaliste. C’est-à-dire que les deux systèmes étaient au final assez proche l’un de l’autre, classes favorisés (nomenklatura), pauvreté… Par contre certaines choses étaient quand même présentes dans le système communsite, comme l’éducation et la santé accéssible pour tous ce qui est contraire est monde capitaliste sous la joute néo-liberale...
es-tu d'accord avec moi pour dire qu'il est possible de modérer certains effets du capitalisme par une juste intervention de l'Etat ? Autrement dit, dans l'absolu, considères-tu que le PS peut faire une politique moins dure que l'UMP ou alors même pas ? réponds en toute objectivité. Je te demande pas de voter l'un ou l'autre mais d'analyser de manière impartiale, sans a priori.
Je vais te répondre en toute objectivité/sincérité.
Le capitalisme repose sur un système inégalitaire, mise en place par les plus fort pour leurs intérêts. C'est la nature même du capitalisme.
Est-ce que je pense qu'on peut limiter ses effets ? Sans doute qu'on peut en effet prendre des mesures à l'encontre de ce système. Mais ces mesures seront toujours fragiles et remis en cause dans un tel système.
Maintenant, même si c'était pas ta question, au deuxième tour je vote pour le PS (quand celui-ci arrivait au second tour). Tout simplement parce qu'ils ont quand même la volonté de limiter les dégâts (En général ils commencent bien, puis ils se "droitise"...).
Si j'ai pas été assez précis, dis-le moi.
Thorgal, ma signature c'est de Roosevelt...
Je te remet mon point de vue sommaire sur ce qui s'est passé là-bas :
Citation:
C’est-à-dire que de la même manière que les bourgeois, les classes défavorisés se sont manifesté. [b]Le problème, c’est que le communisme demande un effort humain, vers plus d’humanité… Personnellement, je ne crois pas que les classes défavorisées aient été conscientes de ce que représentait la dictature du prolétariat. En fait le but de cette dictature de la majorité est d’éduquer des valeurs humaines à l’homme. Mais cela requiert d’abord la volonté de l’homme à devenir ce qu’il n’est pas. C’est-à-dire d’avoir conscience du but qu’il s’est fixé. Or, je ne crois pas qu’il fût conscient de ceci. A partir de là, comment empêcher toute dérive. Et c’est ce qui c’est produit. La dictature du prolétariat s’est retournée contre celui-ci[b] Cf Staline, et les gens ayant pris conscience de cette dérive, se sont vu chassé, ou même tué…tandis que les autres était asservis, et reproduisait en quelque sorte le même schéma capitaliste. C’est-à-dire que les deux systèmes étaient au final assez proche l’un de l’autre, classes favorisés (nomenklatura), pauvreté…
Par contre certaines choses étaient quand même présentes dans le système communiste, comme l’éducation et la santé accéssible pour tous ce qui est contraire est monde capitaliste sous la joute néo-liberale...
Thorgal a écrit:Je vais te répondre en toute objectivité/sincérité.
Le capitalisme repose sur un système inégalitaire, mise en place par les plus fort pour leurs intérêts. C'est la nature même du capitalisme.
Est-ce que je pense qu'on peut limiter ses effets ? Sans doute qu'on peut en effet prendre des mesures à l'encontre de ce système. Mais ces mesures seront toujours fragiles et remis en cause dans un tel système.
Maintenant, même si c'était pas ta question, au deuxième tour je vote pour le PS (quand celui-ci arrivait au second tour). Tout simplement parce qu'ils ont quand même la volonté de limiter les dégâts (En général ils commencent bien, puis ils se "droitise"...).
Si j'ai pas été assez précis, dis-le moi.
ok je comprends mieux ta position, et m'aperçoit que tu n'est pas aveugle.
Sinon tu comparais Sarkosy à tatcher. dans la théorie c'est vrai qu'il est beaucoup plus libéral que la droite française traditionnelle. Mais à mon avis il brasse du vent et fait de la démagogie. exactement comme Chirac il y a 20 ans pour arriver au pouvoir, il fera pas la moitié de ce qu'il préconise aujourd'hui.Thorgal, ma signature c'est de Roosevelt...
c'est Roosevelt qui a écrit ça ? alors à mon avis tu détourne la phrase de son contexte ; je ne pense pas u'il pensait au communisme en disant ça.
Je te remet mon point de vue sommaire sur ce qui s'est passé là-bas :
Citation:
C’est-à-dire que de la même manière que les bourgeois, les classes défavorisés se sont manifesté. [b]Le problème, c’est que le communisme demande un effort humain, vers plus d’humanité… Personnellement, je ne crois pas que les classes défavorisées aient été conscientes de ce que représentait la dictature du prolétariat. En fait le but de cette dictature de la majorité est d’éduquer des valeurs humaines à l’homme. Mais cela requiert d’abord la volonté de l’homme à devenir ce qu’il n’est pas. C’est-à-dire d’avoir conscience du but qu’il s’est fixé. Or, je ne crois pas qu’il fût conscient de ceci. A partir de là, comment empêcher toute dérive. Et c’est ce qui c’est produit. La dictature du prolétariat s’est retournée contre celui-ci[b] Cf Staline, et les gens ayant pris conscience de cette dérive, se sont vu chassé, ou même tué…tandis que les autres était asservis, et reproduisait en quelque sorte le même schéma capitaliste. C’est-à-dire que les deux systèmes étaient au final assez proche l’un de l’autre, classes favorisés (nomenklatura), pauvreté…
Mais il est là le problème du communisme ! tu pointes du doigt ses effets mais tu n'en tires pas les conséquences !
Le communisme sur le papier c'est merveilleux comme système économique, politique et démocratique. Mais chaque application est une vraie catastrophe sans commune mesure avec les dégats du capitalisme.
Or, il ne s'agit pas de multiplier les expériences communisme à travers le monde jusqu'à tomber une sur éventuelle formule miracle: pendant ce temps, des millions de gens n'ont pas le temps d'attendre et en patissent. Tu penses pas qu'il est temps de mettre fin à cette utopie stérile pour l'homme ?Par contre certaines choses étaient quand même présentes dans le système communiste, comme l’éducation et la santé accéssible pour tous ce qui est contraire est monde capitaliste sous la joute néo-liberale...
le seul point positif ça été l'alphabétisation de la population , notament à Cuba. Mais ça c'est le stricte minimum et les sociétés occidentales le font aussi bien et même mieux. Et n'oublies pas que les pays communistes qui ont amélioré nettement leur système éducatif sont très rares. Regarde la situation en face, les éxpériences communistes montrent que la théorie reste de la fiction : URSS, ses démocraties populaires, Chine, Corée de nord, Cuba, les Kmers Rouges etc... que des échecs et les poulations qui trinquent (aucune liberté, Goulag, situation économique et sociale en trompe l'oeil...)
Tout ça pour revenir à la question centrale : toutes les tentatives le montrent, le communisme ne peut pas fonctionner à l'échelle d'un état car l'Homme n'est pas fait pour ; et même la dictature du prolétariat, en parlant seulement efficacité, ne change pas l'Homme et donc ne marche pas.
En fait pour moi, l'être humain évolue, et donc le système dans lequel il vit aussi. L'être humain influence le système, et le système influence l'homme.
Avant on était nomade, on ne vivait pas ensemble, on était très instinctifs...
Il n’y avait pas de justice, pas de solidarité, pas de partage…
Depuis, il y a eu un système féodal, basé sur le sang...
Par la suite, il y une révolution de la classe bourgeoise (avec l'aide du peuple) qui a remis en cause le système des rois...
Mais aussi remise en cause des corporations, instauration de la justice...
Bref l’homme a changé par rapport à l’homme des cavernes…
Si l’évolution me semble positif elle est pour moi le fruit de l’intelligence et de l’humanité. En ce sens qu’elle n’est pas divine. Ce n’est pas une chose automatique. C’est-à-dire que si on ne fait pas d’effort on peut revenir en arrière.
Dans notre histoire récente, on est donc passé au capitalisme. Pour moi c’est une avancé dans le sens où ce n’est pas le lien du sang qui fait que les biens sont accessibles. Le pouvoir politique est désormais disponible à la classe bourgeoise, plus nombreuse que les seuls nobles. Donc de ce point de vue il y un progrès puisque plus nombreux sont ceux qui ont accès au pouvoir.
Maintenant le système capitalisme a remis en cause de nombreuses valeurs et vertus.
« Tout les liens complexe et variés qui unissent l’homme féodale à ses supérieurs naturels, elle (la bourgeoisie) les a brisés sans pitié pour ne laisser substituer d’autre bien, entre l’homme et l’homme, que le froid intérêt, les dures exigences du paiement comptant. Elle a noyé les frissons sacrés de l’extase religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque, de la sentimentalité petite bourgeoise dans les eaux glacés du calcul égoïste. Elle a fait de la dignité personnelle une simple valeur d’échange ; elle a substitué aux nombreuses liberté, si chèrement conquises, l’unique et impitoyable liberté du commerce […] Les hommes sont forcés enfin d’envisager leurs conditions d’existence et leurs rapports réciproques avec des yeux désabusés ». @ Marx, manifeste du parti communiste.
C’est une chose que l’on a vue dans les faits. Les inégalités se sont multipliées… La classe dirigeante s'est approprié le travail (voir post précédent)...
Conjointement, des progrès en productivité ont eu lieu. Est-ce que cela résulte du capitalisme, et de la concurrence, je ne sais pas. Mais en fait là n’est pas la question, mais plutôt, pourquoi malgré tout ces progrès l’être humain n’en a pas profité (je parle des classes les plus défavorisé et jusque dans les années 1900-1930).
Une crise est née de ce capitalisme. (Les deux guerres mondiales y sont-elles totalement étrangères ?) Mais surtout elle a vue l’apparition d’une résistance, le marxisme (au sens large).
C’est-à-dire que de la même manière que les bourgeois, les classes défavorisés se sont manifesté. Le problème, c’est que le communisme demande un effort humain, vers plus d’humanité… Personnellement, je ne crois pas que les classes défavorisées aient été conscientes de ce que représentait la dictature du prolétariat. En fait le but de cette dictature de la majorité est d’éduquer des valeurs humaines à l’homme. Mais cela requiert d’abord la volonté de l’homme à devenir ce qu’il n’est pas. C’est-à-dire d’avoir conscience du but qu’il s’est fixé. Or, je ne crois pas qu’il fût conscient de ceci. A partir de là, comment empêcher toute dérive. Et c’est ce qui c’est produit. La dictature du prolétariat s’est retournée contre celui-ci. Cf Staline, et les gens ayant pris conscience de cette dérive, se sont vu chassé, ou même tué…tandis que les autres était asservis, et reproduisait en quelque sorte le même schéma capitaliste. C’est-à-dire que les deux systèmes étaient au final assez proche l’un de l’autre, classes favorisés (nomenklatura), pauvreté… Par contre certaines choses étaient quand même présentes dans le système communsite, comme l’éducation et la santé accéssible pour tous ce qui est contraire est monde capitaliste sous la joute néo-liberale...
Le bloc communiste a directement influencé nos politiques. C’est-à-dire que la classe dirigeante craignant la montée du communisme à du se socialisé en quelque sorte. C’est de là qu’est venue, la hausse des impôts, la part grandissante de l’état, la politique du New Deal… Et c’est d’ailleurs sous cette politique que les inégalités ont diminuée (1950-1960). Ce qui n’empêche pas à cette époque les libéraux/néo-libéraux de s’exprimer. D’ailleurs, Keynes pourtant capitaliste était traités de socialiste par ces mêmes néolibéraux. Ils ont même fait des rapprochements douteux sur le nazisme et le socialisme...
Donc d’un point des inégalités on progressait. On avait une évolution intéressante.
Malheureusement, les néo-libéraux sont revenus au pouvoir aux Etats-Unis, en profitant de la pauvreté culturelle des gens, et profitant des piliers religieux et autre, c'est-à-dire tout ce qui concerne l’ordre moral.
« Lors de la campagne de 1980, nous avons été capables de faire que l’establishment, qui est perçu comme mauvais, ce soit l’Etat. En d’autres termes l’Etat tentaculaire [big Government] devint l’ennemi, pas le big business. Si les gens pensent que leur problème c’est que l’Etat se mêle de trop de choses, alors nous avons fait notre travail. En revanche, s’ils en viennent à se dire que le vrai problème c’est que les riches ne paient pas assez d’impôts, que les républicains protègent les promoteurs immobiliers, etc… alors les choses vont favoriser les démocrates. Je pense ici au lectorat du National Enquirer [un journal à scandale vendu à bas prix dans les supermarchés]. On y trouve toujours des histoires sur tel ou tel milliardaires qui possède cinq Cadillac et n’a pas payé d’impôts depuis 1974. Mais il y aussi des articles sur un type assis sous une véranda et sirotant de l’alcool acheté avec des coupons alimentaires […] Les populistes ont toujours été progressistes en matière économique. Aussi longtemps que les questions principales ont porté sur ce terrain –comme à l’époque du new deal-, le candidat progressiste pouvait escompter un maximum de suffrages populistes. Mais les populistes sont conservateurs sur les sujets de société. […] Quand les questions de société et de culture perdent en importance, les populistes n’ont plus de raison de voter républicain ». @ George H.Bush
Ajoutez à cela l’effondrement du « communisme », la société capitaliste n’avait plus besoin d’être social. On assiste donc à un retour en arrière, comme en 1900.
Pourtant en un siècle on a encore augmenté notre productivité, et celle-ci ne sert toujours pas à diminuer les inégalités.
Mais c’est surtout le fait qu’on retourne en arrière qui m’inquiète. Les guerres peuvent revenir, et la nostalgie des Rois aussi…
Donc, pour moi, tu l’auras compris, si on veut s’améliorer, il faut qu’on prenne conscience de certains choses, et conscience de ce que l’on ne sait pas. Je t’avoue, je n’ai pas la solution idéale à tous nos maux. Qui plus est on ne peut être sûr à 100 % de ce que l’on avance, et qu’il est dangereux de tomber dans ce piège et se renfermer dans une seul logique (chose qui se passe actuellement).
C’est pourquoi aujourd’hui je veux débattre. Mais aussi oser le pragmatisme, c’est-à-dire prendre des risques, même si on se trompe .
Par contre, on doit voir ce qui ne marche pas.(Comme le néo-libéralisme).
« Mieux vaut les fautes d’un Etat qui vit dans un esprit de charité que les omissions délibérées d’un Etat gelé dans la glace de son indifférence » @ Roosevelt.
Franchement, si tu regardes réélement les choses, le capitalisme à fait autant de dégats que le "pseudo" communisme.
peops a écrit:iamaseb,Franchement, si tu regardes réélement les choses, le capitalisme à fait autant de dégats que le "pseudo" communisme.
Celle là c'est un pur collector. Quand tu vas lire le livre que je t'ai conseillé (il n'y pas de maths, que des chiffres que tu seras surpris de voir ), tu vas comprendre que tout ce que tu racontes est plus qu'idéologiquement orienté : c'est de la mauvaise foi ou de l'inculture.
Regarde ce qu'a oser écrire Peops : " Et sans croissance, les pauvres resteront pauvres..."
N'est-ce pas très grave de tenir un tel propos ?
Qu'est-ce que cela veut dire ? Que l'être humain est incapable de partager, de se sacrifier ? En gros, seul la croissance peut permettre au pauvre de voir sa situation s'améliorer ?
En premier lieu, même la croissance n'as pas aidé les pauvres, puisque le pouvoir d'achat des pauvres a baisser durant les 30 dernières années, que ceux-ci sont de plus en plus nombreux (proportionnellement ?)
toutes les tentatives le montrent, le communisme ne peut pas fonctionner à l'échelle d'un état car l'Homme n'est pas fait pour ; et même la dictature du prolétariat, en parlant seulement efficacité, ne change pas l'Homme et donc ne marche pas.
Même si on pense que l'on ne peut pas réussir un système "parfait", cesser de lutter pour celui-ci peut revenir à laisser la place pour le système le plus imparfait qu'il soit.
Franchement, si tu regardes rééllement les choses, le capitalisme à fait autant de dégats que le "pseudo" communisme.
Thorgal a écrit:mais le mot croissance n'est pas un gros mot ; le système communiste aussi recherche la croissance ! la recherche de la croissance ce n'est que la recherche de créer plus de richesses. après, les 2 conceptions divergent seulement sur la façon de générer cette croissance puis son utilisation.
donc sans croissance, sans richesses à partager, pas de développement structurel possible. c'est ce qu'à voulu dire peops. il a raison. qu'est-ce que t'avais compris d'autre ?
exactMoundir33 a écrit:Thorgal a écrit:mais le mot croissance n'est pas un gros mot ; le système communiste aussi recherche la croissance ! la recherche de la croissance ce n'est que la recherche de créer plus de richesses. après, les 2 conceptions divergent seulement sur la façon de générer cette croissance puis son utilisation.
donc sans croissance, sans richesses à partager, pas de développement structurel possible. c'est ce qu'à voulu dire peops. il a raison. qu'est-ce que t'avais compris d'autre ?
c'est faux, il y a actuellement beaucoup de richesses à partager.
Meme sans croissance, les pauvres peuvent voir leur situation s'ameliorer grace à un meilleur partage des ressources et richesses
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