crikken a écrit:jod.ko, ne pas appliquer la peine de mort, c'est se porter complice d'un crime.... regarde le cas pierrot le fou, un gars diagnostiqué comme barge qui envoie des lettres d'amour à le gamine de son compagnon de cellule, agée de 3 ans (je te passe ici le contenu), et bien ce gars est relaché et tue deux jours aprés...
je dis que ce gars, qui avait déjà violé et tué, devait être tué. pourquoi lui laisser une chance... en a t'il laissé à ses victimes.... au non de quoi une société serait elle plus juste^parce qu'elle n'appliquerait pas la peine de mort...
jer dis au contraire que ne pas l'appliquer c'esr être complice. pour poursuivre ton raisonnement au nom de quoi un homme pourrait priver un autre de sa liberté... donc plus de prison;plus de peine sanction...
je m'étais déjà longuement exprimé sur ce sujet, et malheureusement chaque fait divers sordide me conforte dans mon idée. à un moment faut arrêter de se masturber le cerveau avec des considérations métaphysiques, y'a sur cette terre des gars qui sont en réel danger pour les autres, qu'on ne peut soigner et qui récidive...
La différence entre une privation de liberté et la peine de mort, c'est que la deuxième est d'une définitude un peu trop définitive... Il y a des récidives, mais il y a aussi des erreurs judiciaires... Il ne s'agit pas pour moi de rentrer dans un décompte nauséabond des pour et contre, de combien on peut tolérer d'erreur judiciaires pour compenser les non-récidives... Cependant, je pense que le problème c'est qu'il est simplissime de trouver un quasi unanimité autour des cas extrèmes, mais pour ce qui est de l'autre limite, à partir de quand mérite t on la mort ? Faut il laisser 10 ou 15 personnes choisies au hasard négocier comme des marchands de tapis pour savoir en fonction de la performance de deux gugusses en robe si un péquin mérite la chaise ou la prison...
Et pour ce qui est de Pierrot le fou, l'anathème est peut etre plutot à mettre sur les spécialistes qui l'ont déclaré sain...
est il normal que la moitié des peines de moins de 1 an ne soient pas éffectuées?
Trop de condamnation, pas assez de place en prison...
est il normal d'avoir un taux de récidive si important chez les anciens déténus?
Je ne suis pas sur qu'il y ait une notion de normalité à ce sujet...
est il normal que tout le poids d'une enquete ou d'une remise en liberté repose sur les épaules d'un seul homme?
En cas de décision collégiales, soit de fait elle reposera encore sur les épaule d'un seul, soit les délais de procédure vont encore être démultipliées..
comment concilier présomption d'innoncence et "prévention"?
Toute la difficulté de légiférer et de faire appliquer la loi résumée ici.
Jodko.
Il faut que cette jeunesse soit une jeunesse de révolution et non une jeunesse de révoltés.