10 Nov 2007, 17:06
Fidel Cienaga a écrit:8) C'était une question les amis, juste une question ...
Ca m'intrigue de savoir quel plaisir vous prenez à lire ces choses, mais apparemment ce n'est pas très avouable.
Ah, c'est ça que tu attends ? Je suis tombé amoureux de la petite Hermione, 13 ans, toussa...
Plus sérieusement, Harry Potter, ce n'est pas non plus Les aventures de Rose l'hippopotame... C'est construit, l'univers est riche, il y a des types psychologiques, du suspense, et on peut fort bien y prendre du plaisir à tout âge. Comme adulte, on a de plus un regard analytique, on essaye de comprendre en quoi ça peut fasciner les gamins. Essaye, tu verras bien si ça t'amuse...
10 Nov 2007, 17:08
moi, en tout ca je prend du plaisir à le lire, l'intrigue tout ça... 
10 Nov 2007, 17:17
nico6711, oui mais toi t'es dans la cible, oublie pas que fourcroy pourrait etre ton grand-pere...
10 Nov 2007, 17:19
loursin, et les amours, ça va ? 
10 Nov 2007, 17:20
parfait merci
10 Nov 2007, 17:22
loursin, tu m'en vois ravi. 
Elle s'appelle comment ? Dextre ou Senestre ?
Elle s'appelle comment ? Dextre ou Senestre ?
10 Nov 2007, 17:28
10 Nov 2007, 18:14
Le Siège de L'Aigle de Fuentes
10 Nov 2007, 18:17
Oser comparer le petit prince et Harry machin, c'est 
!
!
10 Nov 2007, 18:19
etienne, tu préfère qui ? le Prince ou Harry ?
10 Nov 2007, 18:36
etienne a écrit:Oser comparer le petit prince et Harry machin, c'est
C'est clair.
Je m'étais totalement emmerdé en lisant le petit prince, alors que Potter, malgré quelques lourdeurs, je trouve ça sympathique et rafraîchissant.
Mais c'est sûr que dans les milieux tendances, il est de bon ton de critiquer sans avoir lu.
10 Nov 2007, 18:40
JPP REVIENS, 
10 Nov 2007, 19:12
C'est Potter ?
10 Nov 2007, 19:25
perso quand j'ai lu le 7° tome cet été, j'ai été franchement déçu.
J'ai trouvé certains passages d'une longueur... ça et le fait qu'il retrouve de son côté "livre pour enfant"
Je trouvais que le personnage d'Harry devenait de plus en plus matûr au fil des tomes, et j'espérais voir un Homme dans cet ultime opus, et j'ai cru lire les aventures de harrinounet perdu sans son doudou, gaffeur, faible de caractère, cocu jusqu'à la moelle... bref, après la déception de la première lecture, je vais peut être réessayer de me le farcir, en essayant de l'aborder d'un oeil neuf. Mais j'avoue avoir hurlé de colère/déception/dépit à la fin du bouquin cet été (le dernier chapitre )
J'ai trouvé certains passages d'une longueur... ça et le fait qu'il retrouve de son côté "livre pour enfant"
Je trouvais que le personnage d'Harry devenait de plus en plus matûr au fil des tomes, et j'espérais voir un Homme dans cet ultime opus, et j'ai cru lire les aventures de harrinounet perdu sans son doudou, gaffeur, faible de caractère, cocu jusqu'à la moelle... bref, après la déception de la première lecture, je vais peut être réessayer de me le farcir, en essayant de l'aborder d'un oeil neuf. Mais j'avoue avoir hurlé de colère/déception/dépit à la fin du bouquin cet été (le dernier chapitre )
21 Nov 2007, 16:09
Je n'ai rien lu, mais je pense que c'est quand même le bon topic.
Je cherche une référence sur l'histoire des Sudètes, et je n'en connais pas. Idéalement, une histoire diachronique, qui partirait de leur implantation en Bohème, raconterait leur rôle politique pendant la période de l'Empire austro-hongrois, les débuts de la Tchécoslovaquie, leur relation au nazisme, leur expulsion par Bénes sur une sorte de pogrom officiel, jusqu'à éventuellement leur retour en Autriche ou en Allemagne.
Je cherche une référence sur l'histoire des Sudètes, et je n'en connais pas. Idéalement, une histoire diachronique, qui partirait de leur implantation en Bohème, raconterait leur rôle politique pendant la période de l'Empire austro-hongrois, les débuts de la Tchécoslovaquie, leur relation au nazisme, leur expulsion par Bénes sur une sorte de pogrom officiel, jusqu'à éventuellement leur retour en Autriche ou en Allemagne.
21 Nov 2007, 17:58
je suis entrain de lire des bouquins sur l'irlande ecrit par des universitaires basse en france
la question irlandaises de wesley hutchinson (ellipses)
que sais je ? l'irlande de jennifer heurley edition puf
La Question d'Irlande de Jean Guiffan Editions Complexe
Guerre de religion et terrorisme en Irlande du Nord : Mensonges et Manipulation de Docteur Esther Resta Editeur : L'Harmattan
la question irlandaises de wesley hutchinson (ellipses)
que sais je ? l'irlande de jennifer heurley edition puf
La Question d'Irlande de Jean Guiffan Editions Complexe
Guerre de religion et terrorisme en Irlande du Nord : Mensonges et Manipulation de Docteur Esther Resta Editeur : L'Harmattan
22 Nov 2007, 00:34
fourcroy a écrit:loursin, tu m'en vois ravi.
EL MAGNIFICO, pourrais tu me dire lequel de ces bouquins est le plus intéressant sur l'Irlande? (quand t'auras fini de les lire of course. ^^)
je comptais lire que sais je ? l'irlande de jennifer heurley edition puf
^^
22 Nov 2007, 00:40
EL MAGNIFICO a écrit:je suis entrain de lire des bouquins sur l'irlande ecrit par des universitaires basse en france
la question irlandaises de wesley hutchinson (ellipses)
que sais je ? l'irlande de jennifer heurley edition puf
La Question d'Irlande de Jean Guiffan Editions Complexe
Guerre de religion et terrorisme en Irlande du Nord : Mensonges et Manipulation de Docteur Esther Resta Editeur : L'Harmattan
J'ai feuilleté le premier, et j'ai lu les deux tiers du second
Toi qui est Irlandais (enfin il me semble) cela te rentranscrire la vérité du conflit?
22 Nov 2007, 18:22
dsl j'ai commence seulement Guerre de religion et terrorisme en Irlande du Nord
Re: Tu lis quoi ???
09 Jan 2008, 08:36
Parallèles et paradoxes, livre d'entretiens entre Daniel Barenboim, chef d'orchestre Israélien vivant principalement à Berlin et à Chicago et Edward Saïd, intellectuel d'origine palestinienne décédé à New York en 2003.
Il y est beaucoup question de musique, de sa pratique et de son histoire, et la politique est le fil rouge de l'ouvrage. Barenboim revient longuement sur Wagner et l'antisémitisme, l'homme et l'oeuvre, son interdiction en Israël. Il parle aussi de l'expérience de Weimar, où, à l'occasion du 250ème anniversaire de Goethe, il avait réuni de jeunes musiciens israéliens et arabes et la façon dont ceux-ci avaient vécu d'être pour une fois assis à un même pupitre à jouer la même note avec la même expression.
Il est aussi question d'ouverture à l'Autre et de Culture, de "musique allemande" et du nationalisme, de la différence entre dire que Brahms est intrinsèquement germanique et soutenir que seuls des Allemands peuvent le comprendre ou l'interpréter.
Sur le plan musical, Barenboim tient des propos très éclairants sur l'interprétation comme art de l'illusion, sur l'inanité de ce qu'on appelle à tort "authenticité", sur l'expressivité de l'accumulation chez Bruckner et sur plein d'autres sujets. On apprend comment Beethoven manipule ses auditeurs dans le premier mouvement de sa quatrième symphonie, ce qu'est le poids du son, pourquoi les indications métronomiques laissées par les auteurs sont toujours trop rapides et le rapport avec les accords d'Oslo, que la musique a ceci de commun avec Dieu que l'on ne peut en parler que par ses effets et comment un orchestre fait pour jouer un crescendo. Il est aussi question de l'accessibilité de la musique et j'ai enfin compris pourquoi j'ai toujours trouvé Bartok plus facile à écouter que le dernier Beethoven. Bref, un livre intéressant, pour mélomanes.
Il y est beaucoup question de musique, de sa pratique et de son histoire, et la politique est le fil rouge de l'ouvrage. Barenboim revient longuement sur Wagner et l'antisémitisme, l'homme et l'oeuvre, son interdiction en Israël. Il parle aussi de l'expérience de Weimar, où, à l'occasion du 250ème anniversaire de Goethe, il avait réuni de jeunes musiciens israéliens et arabes et la façon dont ceux-ci avaient vécu d'être pour une fois assis à un même pupitre à jouer la même note avec la même expression.
Il est aussi question d'ouverture à l'Autre et de Culture, de "musique allemande" et du nationalisme, de la différence entre dire que Brahms est intrinsèquement germanique et soutenir que seuls des Allemands peuvent le comprendre ou l'interpréter.
Sur le plan musical, Barenboim tient des propos très éclairants sur l'interprétation comme art de l'illusion, sur l'inanité de ce qu'on appelle à tort "authenticité", sur l'expressivité de l'accumulation chez Bruckner et sur plein d'autres sujets. On apprend comment Beethoven manipule ses auditeurs dans le premier mouvement de sa quatrième symphonie, ce qu'est le poids du son, pourquoi les indications métronomiques laissées par les auteurs sont toujours trop rapides et le rapport avec les accords d'Oslo, que la musique a ceci de commun avec Dieu que l'on ne peut en parler que par ses effets et comment un orchestre fait pour jouer un crescendo. Il est aussi question de l'accessibilité de la musique et j'ai enfin compris pourquoi j'ai toujours trouvé Bartok plus facile à écouter que le dernier Beethoven. Bref, un livre intéressant, pour mélomanes.