rolland garros 2005 [topic unique]

EL MAGNIFICO, tu dis ça juste parce que tu es suisse

JPP REVIENS, avec argentina jetais roumain maintenant suisse

si non je trouve que nadal a un gros cul

Roland-Garros: Karatantcheva, la précoce...
En disposant dimanche en huitième de finale du tableau féminin de la Suissesse Emmanuelle Galgliardi (7-5, 6-3), Sesil Karatantcheva, qui ne pointe qu'au 98e rang mondial au classement WTA, est entrée à quinze ans et dix mois dans le cercle très fermé des quarts de finaliste les plus précoces de Roland-Garros. Elle figure désormais au septième rang, devancée par Monica Seles (15 ans et 6 mois en 1989), Arantxa Sanchez (15 ans et 5 mois en 1987), Gabriela Sabatini (15 ans et 2 semaines en 1985), Mary-Joe Fernandez (14 ans et 9 mois en 1986), Kathy Rinaldi (14 ans 2 mois et 7 jours en 1981) et enfin Jennifer Capriati (14 ans 2 mois et 6 jours en 1990).

ouais je l'ai vue joué face a galgliardi, et c'est l'archetype du genre de joueuses qu'on aura ds les année a venir : pas monstrueusemnt phy (type mauresmo ou williams) mais qui surprennent pa jeu assez puissant et une prise de risque interessante. c'est le cas des deux russes qui jouaient aussi apres bovina vs. petrova.

Roland-Garros: Karatantcheva, la précoce...
En disposant dimanche en huitième de finale du tableau féminin de la Suissesse Emmanuelle Galgliardi (7-5, 6-3), Sesil Karatantcheva, qui ne pointe qu'au 98e rang mondial au classement WTA, est entrée à quinze ans et dix mois dans le cercle très fermé des quarts de finaliste les plus précoces de Roland-Garros. Elle figure désormais au septième rang, devancée par Monica Seles (15 ans et 6 mois en 1989), Arantxa Sanchez (15 ans et 5 mois en 1987), Gabriela Sabatini (15 ans et 2 semaines en 1985), Mary-Joe Fernandez (14 ans et 9 mois en 1986), Kathy Rinaldi (14 ans 2 mois et 7 jours en 1981) et enfin Jennifer Capriati (14 ans 2 mois et 6 jours en 1990).

ouais je l'ai vue joué face a galgliardi, et c'est l'archetype du genre de joueuses qu'on aura ds les année a venir : pas monstrueusemnt phy (type mauresmo ou williams) mais qui surprennent pa jeu assez puissant et une prise de risque interessante. c'est le cas des deux russes qui jouaient aussi apres bovina vs. petrova.

JPP REVIENS, avec argentina jetais roumain maintenant suisse

si non je trouve que nadal a un gros cul :shock:

non moi je pense que tu es bresilien et que tu tournes du coté du bois de boulogne la nuit:mrgreen:

EL MAGNIFICO, tu aimes reluquer les culs de joueurs?

si cest celui de sharapova je ne dis pas non

de conchita martinez aussi

EL MAGNIFICO, nous au moins on a des representant...

en toute boisson et en vin cest sa

cest nul rolland garros cette annee

cest nul rolland garros cette annee

le tableau féminin est en plein changement depuis quelque temps, et surtout depuis l'an dernier. L'arrivée des joueuses russes ou de l'Europe de l'Est, bouleverse tout.
Le tableau masculin est bizarre cette année. Nadal arrive plus tôt que prévu. Les argentins et les espagnols sont moins présents que d'habitude, et y a quelques surprises (Davydenko come Harazi il y a quelques années). C'est vrai que ce Roland Garros est bizarre. Mais bon allez ROger!

Elles deviennent quoi les soeurs Williams

Aurelsaviola, les espagnols ne sont pas moins présent que l'an dernier où les argentins avaient tout tuer. Mais hier on a peut etre eu notre revanche !

Mais pour l'instant les deux favoris du tournoi : Nadal et Federer sont encore en jeu, le problème c'est que s'ils se rencontrent c'est en demi. Mais on sait déjà qu'il y aura un espagnol en demi. De plus ça sera pas la première année qu'une surprise arrive en finale, je me rappelle d'un hollandais il me semble il y a quelques années... Et a part Hanescu et Puerta se sont toutes des têtes de séries, je vois vraiment pas ce qui est bizarre, en tout cas chez les hommes.

Baioko, l'une a declare forfait et lautre elimine en 1/8 par Karatantcheva une gamine de 15 ans

Baioko, l'une a declare forfait et lautre elimine en 1/8 par Karatantcheva une gamine de 15 ans

A 15h00, en ce dimanche 5 juin 1983, 15 000 spectateurs chanceux ont pris place et comme le titre alors L’Equipe, « Cinquante millions de Noah » regardent la télévision. Face au tenant du titre, Mats Wilander, Noah peut y croire au vu de sa forme. Deux heures plus tard, Noah possède quatre balles de match. Le Suédois sauve une première balle sur un brillant lob. Sur la deuxième balle de service de Noah, le Scandinave tente un coup droit qui passe loin derrière la ligne. 3 sets à 0 (6-2, 7-5, 7-6), le moment est historique. Yannick Noah lève les bras, s’agenouille, puis se dirige vers son père Zacharie pour l’enlacer sous les hourras du public.

Plus qu’un exploit sportif, le joueur au look rasta aura fait taire, un temps, les diatribes sur la communauté noire. « J’étais le jeune pas blanc, un peu arrogant, l’athlète qui bringue dans une France de 1983 tout de même raciste. » Sur la terre de son exploit, Noah atteindra encore deux quarts de finale, des matches perdus en 1984 et 1987 contre le même joueur, Wilander…

maria

EL MAGNIFICO,