MassaliaLive.com

[Cecco]

De toutes façons, il peut encore nous qualifier pour la finale, et LA il aura l'occasion de faire sa Germain.

[Dragan]

On n’en a pas trop parlé mais je pense que sa Madjer (pied gauche) sur un centre extér pied droit de Luis Henrique en 1ere mi temps va au fond si le défenseur de l’atalanta la sort pas derrière lui

Et la c’était le but de l’année

[richardB]

Sans lui, on est pas là, c'est quand même à peu près la seule satisfaction de la saison et pourtant il a pris cher en début d'année.

Juste envie de lui dire Merci

[Serber]

À son niveau il a pas le droit. C’est encore plus criminel que Germain de louper un truc pareil connaissant son pedigree et l’investissement qu’il représente

Plus criminel que Germain, c’est pas possible.
Mais il y avait bien mieux à faire. Si il feinte la frappe Scalvini et Musso sont partis chez Quick. Harit est seul également.

[Dragan]

Germain n'était pas un buteur comme l'est Aubam ni n'avait son pedrigree ou n'était le + gros salaire de l'histoire du club.

A ce niveau là, Aubameyang doit la mettre. Que ce soit du pied gauche ou dans son contrôle en se la plaçant pied droit. Mais un 2 contre 1 comme ça avec Harit, à la fin ça doit faire but dans la position où il est.

Je réitère ce que j'ai dit hier soir à froid. Ca me fout encore + les boules quand je revois l'action

[Dragan]

Le 2 contre 1 Harit Aubam me refait penser au 2 contre 1 Meriem / Drogba en demie finale face à Newcastle

Espérons qu’on s’en morde pas les couilles jeudi prochain

[tsi-na-pah]

"Bons commentateurs " Le pouvoir de la nostalgie.

[oukimaya]

J étais dans le virage , proche but , je me rappelle avoir saute sur tout le monde

[boodream]

"Bons commentateurs " Le pouvoir de la nostalgie.

[Dimeco63]

Putain ça c'est vraiment mythique, 20 ans après ça me fait encore marrer.
Ce qui rend nostalgique c'est que leurs commentaires seraient impossible aujourd'hui, tout le.monde est tellement 1er degré maintenant

[superolive]

boodream, c'était une autre époque, celle où on pouvait voir les matchs de coupe d'europe sur TF1.

On pourra aussi ressortir les vieilles K7 de Thierry Roland qui confondait les joueurs noirs. OK.

Mais on était bien content de voir ces matchs gratos, de regarder Téléfoot le dimanche matin pour voir les résumés des matchs et les buts.

je ne dis pas que c'était mieux avant, ce n'est pas ma came dans la vie.
J'en garde néanmoins un excellent souvenir. Rien de plus.

[boodream]

superolive, moi je les kiffais hein

[dxd92]

"Bons commentateurs " Le pouvoir de la nostalgie.

Le mec est un attardé sur Twitter en dehors d'être fan de l'OM, donc rien d'étonnant

[tsi-na-pah]

"Bons commentateurs " Le pouvoir de la nostalgie.

Mais qui est ce Laurent ?

Je connaissais pas. Merci !

Au delà des remarques de Roland sur tout ce qui n'est pas blanc, ils apportaient pas grand chose à tout amateur de foot. Après TF1 visait un public généraliste.

[Dragan]

Information

HOMME PROVIDENTIEL; Auba, joue-la comme Drogba ? Le Gabonais, meilleur buteur de C3, a ce soir l'occasion de se rattraper de son occasion ratée à l'aller. Il marcherait ainsi sur les traces de son aîné qui avait envoyé l'OM en finale en 2004 grâce à un doublé contre Newcastle.

Alors que l'un portera la flamme olympique près d'un stade Vélodrome qu'il a tant de fois incendié par son talent, l'autre essaiera de suivre ses traces 20 ans et trois jours plus tard, à presque 600km de Marseille. Jusque-là, les saisons de Didier Drogba (en 2003-04) et de Pierre-Emerick Aubameyang se ressemblent, dans les statistiques (32 buts, 7 passes décisives pour l'Ivoirien, 27 réalisations, 9 assists pour le Gabonais, série en cours) et dans leur habitude prise de tirer l'OM vers le haut en C3. Pour clore le parallèle, Drogba, avant de jouer la finale contre Valence blessé, avait écrasé Newcastle presque à lui tout seul grâce à un doublé (2-0 au retour), après avoir été muet à l'aller. "Auba" enverra-t-il à son tour les siens à Dublin au bout d'une saison où il a été tour à tour descendu puis encensé, en attendant l'idolatrie s'il qualifie les Olympiens ce soir ?

Il y a une petite semaine, il avait raté un face-à-face à la 42e minute, une action que l'OM espère ne pas regretter sous les coups de 23h ou minuit, à la façon du duel manqué de Valère Germain, en finale de Ligue Europa 2018 contre l'Atlético de Madrid. "J'ai trouvé qu'il manquait d'indulgence envers lui-même, son occasion n'est pas si facile et il est sur son mauvais pied", défend son ancien sélectionneur Patrice Neveu.

"Je ne m'inquiète même pas, disait aussi Amine Harit jeudi dernier. S'il en a une deuxième comme ça au match retour, il la mettra au fond. Il était énervé car il cherche toujours la perfection mais on a confiance en lui à 200 %."

Un discours repris à son compte par Jordan Vérétout, qui a bien conscience de tout ce que son attaquant lui a apporté cette saison : "C'est un joueur exceptionnel, un équipier formidable qui nous conseille grâce à son expérience. On ne lui en veut pas du tout sur l'occasion, il nous a montré de quoi il était capable toute l'année. Demain (aujourd'hui), s'il a cette opportunité-là, il la mettra au fond. Il fera le match parfait pour nous emmener en finale."

L'ancien Olympien Sead Kolasinac, qui sait ce dont son ex-partenaire à Arsenal est capable dans les grands rendez-vous, préférait lui dédramatiser l'influence d'Aubameyang sur la qualification : "On connaît tous ses qualités, il les montre depuis tant d'années dans différents championnats mais on a bien fait face à lui à l'aller. Ce n'est pas seulement de lui que l'on doit se méfier, c'est toute l'équipe qui est dangereuse." Le Bosnien est aussi bon en langue de bois devant les micros que rugueux sur le terrain. Le deuxième meilleur buteur de l'OM cette saison n'a scoré que six fois, 21 de moins que le natif de Laval, et joue en défense (Chancel Mbemba), Aubameyang est donc de très loin le plus gros danger pour l'Atalanta et le plus grand motif d'espoir pour les équipiers de Leonardo Balerdi.

Décisif à chaque match à élimination directe, sauf à l'aller

On en revient à Drogba, puisque Demetrius Ferreira, l'un des dix joueurs autour de l'Ivoirien lors de l'épopée de 2004, fait aussi le parallèle avec son ancien équipier. "Quand tu as quelqu'un comme lui ou Didier dans l'équipe, on se bat tous pour lui parce qu'on sait que s'il y a une ou deux occasions, il va la mettre au fond. C'est celui qui peut faire la différence, sur lequel repose tous les espoirs, comme avec Drogba il y a 20 ans."

Plutôt bien muselé à l'aller, Pierre-Emerick Aubameyang avait, avant cela, été décisif à chaque match à élimination directe, soit six de suite (Shakhtar, Villarreal et Benfica). À 90km de Milanello, où il a été formé, il tentera de reprendre sa belle série ce soir, sans oublier de beaucoup courir pour le collectif. "Il ne ménage pas ses efforts. C'était plus dur à l'aller mais l'adversaire avait du répondant, développe Patrice Neveu. Il fait partie de ceux capables de faire basculer la qualification, c'est un joueur de grand match, j'ai le souvenir qu'il avait gagné la Cup avec Arsenal presque tout seul (en 2020, un doublé en demi-finale contre Manchester City, un autre en finale face à Chelsea)."

Qui sait aussi être décisif en Ligue Europa puisqu'il est le meilleur buteur de l'histoire de la compétition, celui de l'édition 2023-24, et qu'il avait été le guide des Gunners à ce stade en 2019, inscrivant quatre pions à Valence. Un seul pourrait suffire au stade Atleti Azzurri d'Italia, et un doublé renforcerait le mimétisme avec Didier Drogba. Son aura à Marseille n'en serait que renforcée, alors qu'il est à chaque but plus populaire que le match précédent après des mois de critiques acerbes assez logiques vu son statut. Et qu'il n'est, comme à son époque le goleador ivoirien, pas sûr du tout de prolonger l'aventure provençale au-delà d'une unique saison (malgré un contrat jusqu'en 2026), aussi aboutie qu'elle soit. À lui et ses partenaires de la rendre inoubliable ce soir.

La Provence

[Dragan]

[The Flankeur]

Dragan, la dermiere image du tweet fait tellement de peine
Gendouzi qui enlace Auba

[Dragan]

Fantomatique sur les 2 matchs à l’extérieur les plus importants de la saison au Panatinaikos et ce soir à Bergame.

Après avoir loupé son match aller au Vélodrome et nous avoir bouffé la feuille à l’aller.

À 700 000 par mois c’est pas possible.

[Dragan]

Statistiquement c'est une très grosse saison 28 buts (dont au moins 7 sur pénaltys quand même) / 11 passes (dont 16b - 4 sur pénaltys minimum que je compte / 8 p en L1).

auba.png

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[Dragan]

Information

Pierre-Emerick Aubameyang : "J'ai un goût d'inachevé" avec le Gabon

L'attaquant de l'OM Pierre-Emerick Aubameyang a remporté lundi le prix Marc-Vivien Foé 2024. À cette occasion, il a répondu aux questions de France 24 et RFI, se livrant sur son parcours, sa relation avec son père et celle avec la légende Didier Drogba. Entretien.



Onze ans après un premier trophée, Pierre-Emerick Aubameyang a de nouveau reçu le prix Marc-Vivien Foé, qui récompense le meilleur joueur africain de Ligue 1. L'occasion pour le Gabonais de tirer le bilan de cette longue carrière lors d'une interview avec France 24 et RFI.

L'entretien a été réalisé quelques jours avant la demi-finale perdue de Ligue Europa contre l'Atalanta Bergame.

France 24 - RFI : Quel est le sentiment qui domine au moment de recevoir ce prix ?

Pierre-Emerick Aubameyang : Je suis très heureux de remporter ce prix. C'est la deuxième fois. Après tant d'années, revenir en France et gagner à nouveau ce prix, c'est une fierté énorme. C'est tout aussi gratifiant que la première fois. Je suis très fier du parcours effectué depuis. Ce prix signifie beaucoup pour moi.

Vous terminez devant Achraf Hakimi et Nabil Bentaleb, mais aussi Wilfried Singo et votre coéquipier Chancel Mbemba. Vous auriez voté pour qui ?

Forcément pour Mbemba. L'an passé, il avait été extraordinaire et il avait gagné le prix. Cette année, il a encore fait une saison énorme. Il marque des buts qui nous font extrêmement du bien. Donc j'aurais voté pour lui.

Quels sont vos souvenirs de votre premier trophée ?

Je me souviens que j'avais reçu ce trophée sur Paris et c'était vraiment émouvant puisque c'était la fille de Marc-Vivien Foé qui m'avait remis ce prix.

J'étais heureux et j'étais content aussi de ma saison. C'était un aboutissement de la saison parce qu'on avait beaucoup travaillé à Sainté pour obtenir des trophées, non seulement collectifs mais aussi personnels. Donc c'était la récompense d'une belle saison.

Vous êtes arrivé à l'OM à 34 ans alors que beaucoup de joueurs de votre âge sont partis en Arabie saoudite chercher les pétrodollars. Qu'est-ce qui vous a motivé ?

Je suis un passionné de football avant tout. Je ne voulais pas partir vers des destinations tropicales pour des gros chèques. Même si je ne néglige pas totalement cet aspect, j'avais à cœur de laisser une bonne image de moi en partant d'Europe et ne pas rester sur une saison ratée à Chelsea. L'OM a été mon défi.

Avec vos 27 buts cette saison, vous vous rapprochez du record de Didier Drogba avec l'OM. Qu'est-ce que ça vous fait d'être comparé à lui ?

Je pense qu'il n'y a pas de comparaison possible : Drogba reste Drogba. C'est une légende. Après, je suis très heureux et très fier que les gens y pensent. Mais on est deux joueurs complètement différents. Lui, c'est la légende, et moi, je veux continuer à écrire mon histoire.

J'ai eu l'occasion de lui dire que c'était mon idole quand j'étais plus jeune. Je ne sais pas s'il s'en rend compte mais c'est quelqu'un qui a inspiré énormément du monde et notamment moi, dans ma carrière et mon parcours africain. Il a inspiré une génération par son talent et son travail.

L'OM a une forte connexion avec l'Afrique : Kondogbia (Centrafrique), Mbemba (RD Congo), Sarr (Sénégal)… Est-ce que c'est une identité que vous ressentez davantage que dans d'autres clubs où vous êtes passé ?

On le ressent. L'OM a même sorti une collection de vêtements spéciale Afrique et je trouve que c'est magnifique. On se retrouve dans le vestiaire, on peut partager nos expériences, de ce qu'on vit quand on va en sélection...

C'est le club de France où j'ai le plus ressenti ça sans que je sache l'expliquer. Je pense que l'OM et la ville de Marseille sont comme ça. Ils savent recevoir, d'où qu'on vienne.

Votre père était international gabonais. Quel rôle a-t-il joué dans votre carrière ?

Il a joué un rôle crucial. Il m'a facilité la tâche puisqu'il avait vécu une carrière de footballeur. En tant que papa, personne ne veut voir son fils échouer au même endroit que soi. Ça a été un privilège de l'avoir à mes côtés. Sans lui, je n'aurais pas fait la carrière que j'ai faite.

Il m'a donné tellement de bons conseils. Mais au fond, je pense que le plus important a été l'éducation qu'il m'a donnée. Elle m'a forgé. Il ne me faisait pas de cadeau. Il a toujours été dur car il savait que si je voulais être footballeur, il me fallait avoir cette carapace pour pouvoir faire carrière.

Que ce soient mon père ou ma mère, je pense que tout ce qu'ils m'ont inculqué ont fait de moi le joueur que je suis.

Quel bilan faites-vous de vos quinze ans en sélection nationale, notamment si on reprend la comparaison avec Drogba ?

Il y a un goût d'inachevé. Mais on ne peut pas comparer les deux situations : Didier Drogba avait de sacrés joueurs avec lui. Nous, nous sommes une petite nation, qui essaie de grandir petit à petit. Il y a eu des complications mais je reste fier de mon parcours avec le Gabon.

Dans un coin de ma tête, j'aimerais quand même gagner un trophée majeur avec mon équipe nationale. Ce serait l'aboutissement d'une carrière.

Pierre-Emerick Aubameyang à la Coupe du monde 2026 ?

Ça serait beau. Se qualifier pour la Coupe du monde serait un bel exploit pour le Gabon.

https://www.france24.com/fr/sports/2024 ... c-le-gabon