[Ex] Vitinha

De toute manière que le joueur réussisse ou pas ça change pas grand-chose au fait que Yvan le Mee est une gigantesque escroquerie non ?

boodream, gigantesque peut être pas. Il a eu raison de hurler au futur flop quand on a recruté Strootman

J’entends son argument de dire que quand tu mets une telle somme sur la table tu t’attends à ce que ta recrue t’apporte de suite

Et on va voir ce qu’il va se passer dans les prochaines semaines

Je ne comprends même pas qu'on puisse commencer à ne serait-ce qu'esquisser une critique sur Vitinha. Le pauv' gamin arrivé y a quelques heures à Marseille, quittant son pays et sa famille en pleurs, titu dès sa qualif (alors que le staff disait vouloir le protéger - ça c'est la faute de Tudor qui a voulu faire souffler Sanchez à tort ou à raison), qui arrive après une nuit à l'hôtel, dans une équipe qu'il ne connait pas, et il devait faire quoi ? Un match digne du ballon d'or ?
Et son prix d'achat on s'en cague complet pour le moment, vu qu'il n'y a pas de bilan à faire sur lui.

Ouaip, ça part un peu dans tous les sens sur Vitinha, apparemment les journa..., pardon, les supporters parisiens de l'équipe 21 se sont fait plaisir.

J'ai été assez étonné de le voir bombardé titulaire comme ça, en plus en alignant Payet qui n'est quand même pas souvent titulaire. C'était un peu casse gueule l'animation offensive. Faut être patient.

C’est sur que quand tu vois le match de Moffi et de Vitinha, tu peux penser que le premier était plus adapté à notre jeu.
On verra sur la durée .

Pardon mais Moffi a fait quoi à part se faire bouffer par Gigot tout le match ?

Ça me fait penser à Alonzo après la 1ere frappe de Vitinha a la 35e "Oui mais voilà la différence avec Moffi, lui il connaît le championnat, on a Vitinha qui a sa 1ere occasion a la 35e minute c'est pas normal", pendant que Moffi n'avait toujours pas touché un ballon dans la surface...

Je te rejoins, je trouve que Vitinha bouge bien plus proposant des soluces devant, ce que Moffi n'a pas fait (et pourtant il connait mieux le championnat et l'OM que le Portugais).

gigi, on va me sauter à la gorge mais j'ai l'impression en le voyant qu'on a recruté le petit frère de Benedetto j'espère qu'il me fera vite mentir

gigi, on va me sauter à la gorge mais j'ai l'impression en le voyant qu'on a recruté le petit frère de Benedetto j'espère qu'il me fera vite mentir

Disons que Pipa cumulait trop de tares. Outre la crevette que c’était et le système pas adapté à son profil, il était sur la pente descendante à son âge et n’avait aucune expérience en Europe pour être préparé mentalement à se farcir des golgoths. Vito a par exemple déjà été dépucelé par Chancel au Portugal

On peut espérer qu’il se fasse moins difficilement au contexte. Après, est-ce qu’il lui faudra du temps et un bodybuilding à la Ocampos, c’est possible.

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Rony Lopes sur Vitinha: « C’est une excellente signature pour Marseille (..) Je pense qu’il a tout pour réussir. J’espère qu’il marquera beaucoup de buts, qu’il jouera beaucoup de minutes et qu’il sera titulaire. J’espère qu’il sera dans le onze de départ». #TeamOM

(Eleven)

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L'OM compte sur Vitinha pour se relancer en Coupe

Titularisé face à Nice 5 février, puis remplaçant, le buteur devrait avoir la possibilité de lancer réellement son aventure marseillaise ce mercredi soir.

D'une parade sur sa ligne, le gardien parisien Gianluigi Donnarumma a cruellement gommé une des rares inspirations olympiennes dimanche dernier : une reprise de Vitinha dans les ultimes instants du Classique (0-3). Mais il n'a pas tout effacé, le geste du Portugais de 22 ans était bon, le placement excellent, il transpirait l'envie d'écrire le vrai début de son récit olympien, trois semaines après une première (et seule) titularisation ratée contre Nice (1-3).

Ce mercredi soir, Vitinha devrait débuter en pointe. « Je ne vous donnerai pas la composition, a maugréé hier Igor Tudor, d'une humeur massacrante. Vitinha s'entraîne bien, est en progression. » Depuis Nice, le Croate l'utilise avec parcimonie, il n'ose pas remplacer l'indispensable Alexis Sanchez, même à 3-0 pour l'adversaire à l'heure de jeu, comme face au PSG. Et l'idée de descendre le Chilien dans la ligne de deux derrière l'avant-centre, pour mieux installer Vitinha, ne le séduit pas.

Alors Vitor Manuel Carvalho Oliveira, son vrai nom, prend son mal en patience et se rajoute du rab de préparation physique à la Commanderie. L'aîné (28 ans) et défenseur Chancel Mbemba, bienveillant et optimiste confie : « Avec Porto, j'ai affronté le Braga de Vitinha, il est bon. Je connais ses qualités, je crois en lui. Quand il va saisir des opportunités et marquer, tout va aller à merveille. On lui laisse le temps. Il est venu ici, ce n'est pas facile, le Championnat de France est très différent du Championnat portugais. » Un intime de Vitinha raconte cette adaptation : « Il trouve le rythme en L1 très soutenu, il y a moins d'interruptions qu'au Portugal, de coups de sifflet de l'arbitre, ça n'arrête jamais, au niveau des courses et des duels. Il faut aussi assimiler un style Tudor qui ne ressemble pas à celui du coach de Braga, avec des mouvements caractéristiques. Mais il cherchait justement cela, une équipe intense, une ligue intense. Vitinha est un joueur très physique, qui se donne à fond, se trouve bien dans la répétition des courses et un pressing poussé. »

Pas perturbé par le prix de son transfert

Les retours de ses sessions d'entraînement sont corrects. Le buteur est assidu et multiplie les efforts. Une partie de sa famille ayant vécu dans l'Hexagone ou en Suisse, il comprend le Français mais enchaîne les cours pour bien le parler. Formé à Aguias Alvite puis à Braga, le gamin du Minho n'avait jamais quitté cette région du nord du Portugal plus de quelques jours et vit sa première véritable expérience loin des siens. Son agent le visite régulièrement, un collègue l'accompagne au quotidien, et Vitinha s'est trouvé un domicile. Il recevra bientôt dignement ses parents, déjà venus en coup de vent, et son frère.

Avec ses proches, il ne parle pas du montant de son transfert (25 M€, plus sept de bonus), une somme qui passionne les supporters et les suiveurs. « Ce n'est pas un sujet, confie-t-on dans son entourage. Depuis les premières offres reçues en 2022, on sait que les prix s'envolent pour un jeune capable de marquer un but tous les deux matches. Mais ça ne fait pas plus de responsabilités. Vous me parlez de Lucho (Gonzalez, qui avait mal vécu les attentes relatives au montant record de son transfert à l'OM en 2009) ? Mais il venait de Porto, avait de l'expérience, des matches de Ligue des champions, c'était un produit fini, qui devait prouver tout de suite. Vitinha est très jeune, il est en plein développement. Comme à Braga, il va franchir les étapes, vous verrez qu'il s'accomplira lors des deux prochaines saisons. »

L'Equipe

Les titres de L'Equipe, toujours aussi pourris. Y a pas à le RElancer, faut juste qu'il s'intègre au groupe, prenne ses marques et il sera lancé.
#Patience

Le titre de l’Equipe dit bien que l’OM compte sur son avant centre portugais pour se relancer(le club pas le joueur) après la défaite du PSG

C'est vrai. J'ai lu trop vite.

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Le mystère Vitinha; Recrue la plus chère de l'histoire, l'attaquant de l'OM est boudé par Tudor. Une situation qui interroge jusqu'au Portugal. Où l'on croit en lui

L'enthousiasme est retombé aussi rapidement qu'il est né, dans les dernières heures brûlantes du mercato de janvier, lorsque les supporters de l'OM se sont pris d'un amour fou pour un joueur dont, pour l'immense majorité d'entre eux, ils ignoraient l'existence quelques jours plus tôt. L'objet de cette passion exaltée ? Vitor Manuel Carvalho Oliveira, plus connu sous le sobriquet de Vitinha, arraché de haute lutte aux griffes anglaises par un Pablo Longoria pas peu fier de son coup. Même si celui-ci a eu un coût élevé et peut, potentiellement, devenir le transfert le plus onéreux de l'histoire du club, avec une base de 25 millions d'euros à laquelle peuvent se greffer 7 millions de bonus.

Braga se frotte encore les mains d'avoir réussi le plus joli coup de son histoire. "Chaque saison, le club est habitué à faire quelques coups, il voulait en faire un cet hiver, retrace Antonio Soares, journaliste de sport au quotidien portugais Diario de Noticias. Le transfert de Vitinha à l'OM, en plus de battre le record de vente du club, est une très bonne affaire." Laquelle a pris de court tout le monde, ou presque. Aston Villa, Southampton et, surtout, Brighton croyaient posséder, en plus des liquidités, une longueur d'avance. "Je pensais qu'il irait en Angleterre vu les rapports des agents avec les clubs de Premier League", abonde Fernando Urbano, reporter au quotidien sportif A Bola. "Il intéressait pas mal de monde, certains pensaient qu'il irait dans l'un des trois grands clubs portugais", complète Soares.

Il a fêté ses 23 ans

avec ses proches

Ce sera Marseille et le championnat de France, finalement, avec une première titularisation contre Nice, quelques heures seulement après s'être posé sur le sol provençal et avoir déclenché un début d'hystérie collective à l'aviation générale de Marignane. Las, ses premiers pas ne confirment pas les immenses attentes placées en lui. Pis, ses apparitions deviennent de plus en plus rares, maigrelettes depuis ses 45 minutes initiales contre le Gym auxquelles se sont ajoutées 44 minutes réparties en cinq apparitions. Son principal fait d'arme ? Son occasion face au PSG, repoussée par Gianluigi Donnarumma.

Dimanche, les amoureux de l'OM ont quitté le Vélodrome dépités par le scénario et la fin de match contre Strasbourg qu'ils venaient de vivre. La colère s'est muée en incompréhension, notamment face au sort réservé à l'attaquant portugais, scotché sur le banc, comme à Toulouse. "Comment peut-on s'en passer vu l'argent investi sur lui ?, interroge un habitué de l'arène du Vel'. Le club ne peut pas l'avoir engagé pour préparer la saison prochaine. À ce tarif-là, il doit jouer tout de suite."

Vitinha, lui, attend son heure, étranger à ces débats-là. Mercredi, il a célébré ses 23 ans avec quelques proches venus en Provence pour être à ses côtés. C'est la première fois qu'il quitte sa région et il doit s'acclimater à une nouvelle culture, un nouveau football, de nouvelles consignes. Il garde foi en lui et se sent bien. "Il n'y a pas de problème, insiste-t-on dans son entourage. Il est toujours concentré et travaille dur. C'est une question d'opportunité, mais cela dépend de l'entraîneur. C'est un travailleur acharné et talentueux. Son heure viendra." Dans les petits papiers du nouveau sélectionneur de la Seleçao, Roberto Martinez, qui dévoilera sa première liste aujourd'hui, Vitinha pâtit de ses débuts cahoteux et paraît en retrait. Ce qui ne l'empêche pas de conserver une belle cote sur sa terre natale. Où l'on croit en sa réussite sous le maillot ciel et blanc.

"L'OM est un club pour lui, il aime beaucoup les supporters chauds. Vitinha a un profil agressif, c'est un joueur chaud ! Je n'ai pas de doute sur sa réussite. Il est différent des autres attaquants portugais : son jeu est très vertical, il a une grosse frappe, est capable de marquer avec deux ou trois occasions. Ici, on croyait qu'il allait jouer plus. Quand il va s'adapter, il sera performant. C'est une question de temps", devine Urbano.

"Il est jeune, il faut lui laisser le temps, renchérit Soares. Il existe un écart entre les championnats portugais et français. Et l'OM est un club très exigeant, avec beaucoup de pression, plus qu'à Braga. Un club avec un groupe plus compétitif où il est difficile de percer aux côtés d'un Alexis Sanchez. On verra le vrai Vitinha la saison prochaine." Le Portugais est lié à l'OM jusqu'en 2027. D'ici là, l'enthousiasme peut renaître sur une simple étincelle.

La Provence

Quand ils rentrent dans le stade ? Parce que sur la pelouse ils rentrent pas.

Donc il doit s'aguerrir mais en regardant les matchs depuis le banc? Logique croate